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[Klain the great dwarf]

Dans la moiteur d'un après-midi, sans vent, sans bruit, sans vie, Klain décida de descendre dans la ville la plus proche.
Le fait de piocher est agréable, mais discuter autour d'une bonne bière l'est on ne peut plus.
Polly, son petit poney, si petit qu'il pouvait aisément rentrer dans la poche d'un troll, n'aurait pas volé un lavage intégral.
Mais le maître non plus, la dernière averse, brève, n'avait même pas touchée notre nain. C'est ainsi que bon grès, mal grès, il s'approcha du garde. Celui-ci préféra s’écarter un peu.
-Bien le bonjour seigneur soldat !
-Salutations Messire Chev … Nain ! Qui êtes vous et quelles sont vos intentions en notre ville ? dit-il l’air quelque peu offusquer par les effluves de notre nain.
-Je suis Klain, propriétaire de la plus grande mine de l’ouest, homme d’armes, montreur de singe, tueur d’ours et nain de mon état, et mon état actuel est une forte déshydratation ! Où est l’auberge la plus proche que je puisse festoyer et me décrasser ? Je m’attarde peu et suis pressé !
-Bonne idée … Prenez à gauche après cette maison des plaisirs et c’est en face de vous, mais je vous préviens, on y accueille les hommes, les animaux, et aussi ce qui s’y trouve entre les deux !

Klain lui jeta quelques piécettes, et dit magnanime :
-Merci mon brave, et s’en alla du trot alerte de Polly.
Le garde maugréât un peu, mais ramassa tout de même les pièces.
Klain arriva cahin-cahan à l’auberge.
Il confia Polly et une pièce au garçon d’écurie, et remettant sa cape et son couvre chef droit, il entra.

-Holà tavernier, ta bière est bien brassée ? Il me faut de quoi me décroûter, roupiller, et partir en paix avec très peu de frais. Annonce tes prix, mais avant offre une tournée à ces braves gens.
Notre affreux nain, sortit une pépite grosse comme un ongle, porta la bière fraîchement servie à la bouche et la bu d’une seule gorgée.
-Alors mon brave, les prix ?!...



Une fois décrassé, le nain n'était plus le même.
A part les taches de bière sur son pourpoint, il brillait de propreté, même la barbe était brossé.
-Hola l'ami, de trop mariné dans l'eau, j'ai peur de rouiller, quelle boisson me recommande tu pour me soigner? et puis le plat du jour si possible!
Voila de quoi de ravir!
La petite pépite rebondit sur le comptoir.
-Voila une avance pour tout ce que j'vais boire!

C'est alors quand assécheur de taverne, appelé Attila, se tourna vers lui:
Attila était un démon très moche (encore plus que la moyenne) mais il était très athlétique. Il mesurait dans les 2m affichant un poids de 117Kg sur la balance. Il avait 3 paires de bras ( et une de jambes seulement).
Les parents d'Attila avaient été tués alors qu'il était très jeune et il avait vite du apprendre à se débrouiller tout seul. Il avait eu peu de compagnie si ce n'est son grand-ami Pedro qu'il avait croisé un jour sur le champ de bataille. Le jeune Pedro était plus jeune et plus frêle que lui; il avait décidé de le protéger dans la mesure du possible. En tout cas la franche camaraderie qui régnait dans cette auberge lui plaisait et c'est pour cela qu'il adorait venir y picoler avec tous ses amis poivrots de toutes races.

-Avec une telle richesse tu vas pouvoir faire boire pas mal de monde...
J'espère que tu vas payer des tournées souvent.
-Allez pour qu'on devienne amis je te paies un verre de ce que tu veux!

Après quelques étibières klain jauge le nouveau venu... du mieux qu'il peut!
-Bien dit mon ami, boire tout seul annonce malheur! et puis c'est pas de refus ma chope est vide!
-Tiens, prend un siège et buvons, jte raconterai quelqu'unes de mes histoires de mineurs et de chasseurs d'ours(et oui, quand on est éclaireur c'est plus facile à suivre un ours) une fois bien imbibé!
-Et attention, j'surveille ma bourse à pépite et coupe la main au premier voleur qui passe dans l'coin! mais toi, t'as bonne mine...
Sur ce, il réassèche sa chope qui en a vu d'autre...

Attila s'asseoit confiant, il n'est pas un voleur et même si par erreur il perd une main il lui en resterait 5... il commence à boire avec le nain.
-Allez mon ami raconte je t'écoute j'ai du temps et plus rien à écouter car notre ami Blorg le barde est parti.

Le nain commence à prendre l'air tragique...
Le regard dans le lointain, bien qu'il louche un peu, et s'installe confortablement sur le tabouret, dos au mur...
-Ha! la mine... ma première était abandonnée depuis longtemps, j'avais pas de matériels, et un depart précipité du à la jalousie d'un mari cocu, et de tous ses amis, ont fait que j'ai du prendre le large à toute vitesse, mais à l'époque Polly était bien plus rapide!
Il lève la main pour attirer le serveur et la bière!
-Donc ma première mine était abandonnée, du moins c'est ce que j'ai cru.
-J'étais fatigué, j'avais mal au bas du dos, et pas envie d'avoir mal ailleurs, tu peux me croire...alors je suis rentré...
Le patron amène la bière...
-Il y avait une réserve de bois à l'entrée, je pris une bûche plus fine que les autres, et l'alluma... l'intérieur n'était pas folichon, poussière, araignées gros comme le poing, des...
-Hééééé ma bière!, Ce n'est pas parce que tu as 6 mains qu'il faut que tu les remplisse avec ma chope!
-Renvoie ma bière ou tu auras pas la suite ....... bien j'accepte des excuses. Patron! une tournée! il fait bien chaud...
-Où en étais-je?

-Désolé mais j'ai 6 mains et elles sont toutes autant attirées par les bonnes bières qu'on sert ici (enfin les alcoolisées....). J'essaierais de ne plus le refaire continue donc ton histoire.

-oui, oui, attend un peu, faut que je vide avant de reremplir...

C'est alors que sokaris, un noble béonide se manifesta...
Sokaris est un béo mystérieux, seuls le connaissent ses frères de la montagne car l'ayant élevé, mais il reste pour un grand nombre, une énigme. Il est calme et serein et respecte toute créature vivante mais il n'hésite pas à se défendre lorsque la situation l'y contraint. Il préfère cependant la discussion à la violence gratuite et ne sous estime jamais ses adversaires.

Son visage trahit sa quiétude, mais sous ses peaux de bêtes se cachent une musculature puissante qu'il préfère caché aux yeux de tous.
Attendant impatiemment ce que lui avait annoncé son frère turak,il tendit l'oreille afin d'écouter le récit de ce personnage bien étrange, et cependant sympatique.

Plam!
-J'arrive! breeeuuuh! C'est pas un temps à mettre un nain dehors!
Il dépose sa petite laine sur un porte-manteau spécial petite personne (mais grand personnage pour la plus part), se prend une table en passant mais arrive quand même à bon port.
-Je parlais des araignées? bien. Alors, alors....
Il prend sa pipe, son herbe maison, du champs derrière son village dit-il, l'allume tout en préparant sa narration.
-Oui mon ami, des araignées grosses comme le poing. Mais surtout, ça sentait aigre et fort, et toute la mine sentait cette éffluve,... bon moi, j'ai rien contre le fait que ça parfume naturellement sur toute en chacun, mais là... j'me suis dit "Klain mon p'tit gars, ça sent quelque chose de louche".
-J'avais attaché ma Polly à une grosse pierre, les poutres m'inspiraient pas vraiment confiance, et Polly roulait des yeux terrorisés, il ne manquait plus qu'on se prenne la mine sur la tête... *pouf pouf!, un bouffée envahie l'air ambiant, c'est que c'est de la bonne!* et même pour les nains c'est pas agréable...
-Ainsi donc que je te le narre, je pris ma flamme, ma hache, et ma hargne et m'enfonça dans la mine. Les gars du coin sont partis bien vite me dis-je, il y avait des pelles des pioches des brouettes dans tous les coins!
-Mais surtout ...

Attila à Sokaris:

-Bah! raconter c'est un métier, et puis on passe dans les villages, on se fait payer des bières, et les gens ne voyent pas l'homme en armes, sous l'homme d'art.
-Mais revenons au moment où j'eus l'angoisse et l'envie, la peur et la joie mélés dans la découverte de traces ...
-Il raconte bien et en plus il sait garder du suspens le bougre.

-BRRRRR !!!

La porte s'ouvrit à la voler sur Blorg zero prêt à s'envoler à la prochaine bourrasque
Heureusement la porte était solide

Blorg s'adresse au plafond :
-Hé la voie !! On ne m'emporte pas si facilement j'ai mes timbales qui font contre poids.
-Je croie qu'y en a un qui a roté dans le mauvais temple sinon je ne voie pas pourquoi les dieux conspuent avec autant d'ardeur ...
-Ah j'allais oublier ...
-A BOIRE POUR TOUS
-On dirait une ambiance d'entracte j'ai interrompue quelque chose ?

Blorg Zero se retourne avec prestance et parle à Sokaris
-Merci pour les fourrures, je te les rend et en plus je te dédie cette chanson : Une génèse.

Attila à Blorg:
-Bien le bonjour Blorg. Merci pour le verre.
-Bien le merci l'ami, je refuse jamais à boire, mais je te rendrai la pareille, fit en écho le nain.

*sokaris reprend ces fourrures, heureux de revoir son ami en bonne santé.*

-Assieds toi donc frère! Un nain nous contait son histoire et tu arrive à point nommé, le récit devenais fort atrayant!

*s'adressant au nain conteur*

-Je t'en prie l'ami, continu donc !

Poppu qui était dans ces bières (au figuré?...) se releva:
-c'est pas tout mais il faudrait se bitturer la tête un bon petit coup, parce que ces bien beau les histoires mais ici on est dans une auberge, et une auberge de poivrot en plus!!!

-hola, hola! d'accord ami aubergiste, voila une autre pépite, de quoi rassasier tous ceux qui ont soif dans l'auberge!

Le nain se lève en titubant, met ces mains en coupole et commence à gueuler:
-HHHHOOOOOOOooo! La companie, une tournée pour tous ceux qui peuvent encore se trainer au comptoir!
Il se rassoit, ou plutôt tombe sur sa chaise.

-Bien, les traces.... oui, les traces je m'en souvent bien, c'était des traces d'ours, taille normal, mais dorées!!!
-Oui dorées!
-Alors je les ai suivi, et plus je m'avançais, plus l'odeur était forte
-Et voila, et plein milieu de débrits divers et variés, et surtout d'ossements...
Le nain tire une grimace, boit la bière, et ça se voit que ça va déjà mieux.
-L'ours avait les poils dorés, il faut dire qu'il roupillait sur un tas d'or le bougre! Mais il hibernait sur son tas d'or, rassemblé par les mineurs, qu'ils l'avaient abandonnée sur place, à cause de l'ours me dis-je.
-J'allais pas tuer cette brave bête qui avait gardé cet or pour moi! Alors j'ai pris un sac, je l'ai rempli sans bruit, et suis reparti en quatrième vitesse!
-Avec cet or, je pouvais refaire ma vie ailleurs, et fuir les sbires du mari cocu! Et de temps en temps, j'y retourne pour me remplir les poches, mais uniquement l'hiver....

Il but longuement, et contempla le vide.

-Bien, l'histoire est fini, maintenant trinquons, on est là pour ça, pas pour mes histoires

Le Poppu ne se le fait pas dire deux fois!
-ha la tienne l'ami!!

Attila avait une idée derrière la tête...
-Merci pour ce récit.
-Si tu as besoin je peux t'accompagner dans ta grotte pour t'aider à porter les sacs la prochaine fois.

-houlà! faut que je passe dans la région pour m'en souvenir, et puis il doit plus rester grand chose... comme ma chope! Allez, une étibière pour chacun!

C'est alors que notre ami Blorg se manifesta:

La grotte de Klain
N’est plus plein
Car il est un nain
La bière il la tient
HIPS !


-Bravo l'ami! et merci pour cette ode a moi-même... mais tu dois surement avoir soif... allez, une de plus... je sens que je vais rester longtemps ici, et si tu as faim, il parait qu'il y a un bon cuisinier, je vais aller jeter un oeil... enfin le cuisinier a une drole de réputation, je vais quand même garder mon oeil...

Mais c'est une autre histoire...
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Dans la moiteur d'un après-midi, sans vent, sans bruit, sans vie, Klain décida de descendre dans la ville la plus proche.
Le fait de piocher est agréable, mais discuter autour d'une bonne bière l'est on ne peut plus.
Polly, son petit poney, si petit qu'il pouvait aisément rentrer dans la poche d'un troll, n'aurait pas volé un lavage intégral.
Mais le maître non plus, la dernière averse, brève, n'avait même pas touchée notre nain. C'est ainsi que bon grès, mal grès, il s'approcha du garde. Celui-ci préféra s’écarter un peu.
-Bien le bonjour seigneur soldat !
-Salutations Messire Chev … Nain ! Qui êtes vous et quelles sont vos intentions en notre ville ? dit-il l’air quelque peu offusquer par les effluves de notre nain.
-Je suis Klain, propriétaire de la plus grande mine de l’ouest, homme d’armes, montreur de singe, tueur d’ours et nain de mon état, et mon état actuel est une forte déshydratation ! Où est l’auberge la plus proche que je puisse festoyer et me décrasser ? Je m’attarde peu et suis pressé !
-Bonne idée … Prenez à gauche après cette maison des plaisirs et c’est en face de vous, mais je vous préviens, on y accueille les hommes, les animaux, et aussi ce qui s’y trouve entre les deux !

Klain lui jeta quelques piécettes, et dit magnanime :
-Merci mon brave, et s’en alla du trot alerte de Polly.
Le garde maugréât un peu, mais ramassa tout de même les pièces.
Klain arriva cahin-cahan à l’auberge.
Il confia Polly et une pièce au garçon d’écurie, et remettant sa cape et son couvre chef droit, il entra.

-Holà tavernier, ta bière est bien brassée ? Il me faut de quoi me décroûter, roupiller, et partir en paix avec très peu de frais. Annonce tes prix, mais avant offre une tournée à ces braves gens.
Notre affreux nain, sortit une pépite grosse comme un ongle, porta la bière fraîchement servie à la bouche et la bu d’une seule gorgée.
-Alors mon brave, les prix ?!...



Une fois décrassé, le nain n'était plus le même.
A part les taches de bière sur son pourpoint, il brillait de propreté, même la barbe était brossé.
-Hola l'ami, de trop mariné dans l'eau, j'ai peur de rouiller, quelle boisson me recommande tu pour me soigner? et puis le plat du jour si possible!
Voila de quoi de ravir!
La petite pépite rebondit sur le comptoir.
-Voila une avance pour tout ce que j'vais boire!

C'est alors quand assécheur de taverne, appelé Attila, se tourna vers lui:
Attila était un démon très moche (encore plus que la moyenne) mais il était très athlétique. Il mesurait dans les 2m affichant un poids de 117Kg sur la balance. Il avait 3 paires de bras ( et une de jambes seulement).
Les parents d'Attila avaient été tués alors qu'il était très jeune et il avait vite du apprendre à se débrouiller tout seul. Il avait eu peu de compagnie si ce n'est son grand-ami Pedro qu'il avait croisé un jour sur le champ de bataille. Le jeune Pedro était plus jeune et plus frêle que lui; il avait décidé de le protéger dans la mesure du possible. En tout cas la franche camaraderie qui régnait dans cette auberge lui plaisait et c'est pour cela qu'il adorait venir y picoler avec tous ses amis poivrots de toutes races.

-Avec une telle richesse tu vas pouvoir faire boire pas mal de monde...
J'espère que tu vas payer des tournées souvent.
-Allez pour qu'on devienne amis je te paies un verre de ce que tu veux!

Après quelques étibières klain jauge le nouveau venu... du mieux qu'il peut!
-Bien dit mon ami, boire tout seul annonce malheur! et puis c'est pas de refus ma chope est vide!
-Tiens, prend un siège et buvons, jte raconterai quelqu'unes de mes histoires de mineurs et de chasseurs d'ours(et oui, quand on est éclaireur c'est plus facile à suivre un ours) une fois bien imbibé!
-Et attention, j'surveille ma bourse à pépite et coupe la main au premier voleur qui passe dans l'coin! mais toi, t'as bonne mine...
Sur ce, il réassèche sa chope qui en a vu d'autre...

Attila s'asseoit confiant, il n'est pas un voleur et même si par erreur il perd une main il lui en resterait 5... il commence à boire avec le nain.
-Allez mon ami raconte je t'écoute j'ai du temps et plus rien à écouter car notre ami Blorg le barde est parti.

Le nain commence à prendre l'air tragique...
Le regard dans le lointain, bien qu'il louche un peu, et s'installe confortablement sur le tabouret, dos au mur...
-Ha! la mine... ma première était abandonnée depuis longtemps, j'avais pas de matériels, et un depart précipité du à la jalousie d'un mari cocu, et de tous ses amis, ont fait que j'ai du prendre le large à toute vitesse, mais à l'époque Polly était bien plus rapide!
Il lève la main pour attirer le serveur et la bière!
-Donc ma première mine était abandonnée, du moins c'est ce que j'ai cru.
-J'étais fatigué, j'avais mal au bas du dos, et pas envie d'avoir mal ailleurs, tu peux me croire...alors je suis rentré...
Le patron amène la bière...
-Il y avait une réserve de bois à l'entrée, je pris une bûche plus fine que les autres, et l'alluma... l'intérieur n'était pas folichon, poussière, araignées gros comme le poing, des...
-Hééééé ma bière!, Ce n'est pas parce que tu as 6 mains qu'il faut que tu les remplisse avec ma chope!
-Renvoie ma bière ou tu auras pas la suite ....... bien j'accepte des excuses. Patron! une tournée! il fait bien chaud...
-Où en étais-je?

-Désolé mais j'ai 6 mains et elles sont toutes autant attirées par les bonnes bières qu'on sert ici (enfin les alcoolisées....). J'essaierais de ne plus le refaire continue donc ton histoire.

-oui, oui, attend un peu, faut que je vide avant de reremplir...

C'est alors que sokaris, un noble béonide se manifesta...
Sokaris est un béo mystérieux, seuls le connaissent ses frères de la montagne car l'ayant élevé, mais il reste pour un grand nombre, une énigme. Il est calme et serein et respecte toute créature vivante mais il n'hésite pas à se défendre lorsque la situation l'y contraint. Il préfère cependant la discussion à la violence gratuite et ne sous estime jamais ses adversaires.

Son visage trahit sa quiétude, mais sous ses peaux de bêtes se cachent une musculature puissante qu'il préfère caché aux yeux de tous.
Attendant impatiemment ce que lui avait annoncé son frère turak,il tendit l'oreille afin d'écouter le récit de ce personnage bien étrange, et cependant sympatique.

Plam!
-J'arrive! breeeuuuh! C'est pas un temps à mettre un nain dehors!
Il dépose sa petite laine sur un porte-manteau spécial petite personne (mais grand personnage pour la plus part), se prend une table en passant mais arrive quand même à bon port.
-Je parlais des araignées? bien. Alors, alors....
Il prend sa pipe, son herbe maison, du champs derrière son village dit-il, l'allume tout en préparant sa narration.
-Oui mon ami, des araignées grosses comme le poing. Mais surtout, ça sentait aigre et fort, et toute la mine sentait cette éffluve,... bon moi, j'ai rien contre le fait que ça parfume naturellement sur toute en chacun, mais là... j'me suis dit "Klain mon p'tit gars, ça sent quelque chose de louche".
-J'avais attaché ma Polly à une grosse pierre, les poutres m'inspiraient pas vraiment confiance, et Polly roulait des yeux terrorisés, il ne manquait plus qu'on se prenne la mine sur la tête... *pouf pouf!, un bouffée envahie l'air ambiant, c'est que c'est de la bonne!* et même pour les nains c'est pas agréable...
-Ainsi donc que je te le narre, je pris ma flamme, ma hache, et ma hargne et m'enfonça dans la mine. Les gars du coin sont partis bien vite me dis-je, il y avait des pelles des pioches des brouettes dans tous les coins!
-Mais surtout ...

Attila à Sokaris:

-Bah! raconter c'est un métier, et puis on passe dans les villages, on se fait payer des bières, et les gens ne voyent pas l'homme en armes, sous l'homme d'art.
-Mais revenons au moment où j'eus l'angoisse et l'envie, la peur et la joie mélés dans la découverte de traces ...
-Il raconte bien et en plus il sait garder du suspens le bougre.

-BRRRRR !!!

La porte s'ouvrit à la voler sur Blorg zero prêt à s'envoler à la prochaine bourrasque
Heureusement la porte était solide

Blorg s'adresse au plafond :
-Hé la voie !! On ne m'emporte pas si facilement j'ai mes timbales qui font contre poids.
-Je croie qu'y en a un qui a roté dans le mauvais temple sinon je ne voie pas pourquoi les dieux conspuent avec autant d'ardeur ...
-Ah j'allais oublier ...
-A BOIRE POUR TOUS
-On dirait une ambiance d'entracte j'ai interrompue quelque chose ?

Blorg Zero se retourne avec prestance et parle à Sokaris
-Merci pour les fourrures, je te les rend et en plus je te dédie cette chanson : Une génèse.

Attila à Blorg:
-Bien le bonjour Blorg. Merci pour le verre.
-Bien le merci l'ami, je refuse jamais à boire, mais je te rendrai la pareille, fit en écho le nain.

*sokaris reprend ces fourrures, heureux de revoir son ami en bonne santé.*

-Assieds toi donc frère! Un nain nous contait son histoire et tu arrive à point nommé, le récit devenais fort atrayant!

*s'adressant au nain conteur*

-Je t'en prie l'ami, continu donc !

Poppu qui était dans ces bières (au figuré?...) se releva:
-c'est pas tout mais il faudrait se bitturer la tête un bon petit coup, parce que ces bien beau les histoires mais ici on est dans une auberge, et une auberge de poivrot en plus!!!

-hola, hola! d'accord ami aubergiste, voila une autre pépite, de quoi rassasier tous ceux qui ont soif dans l'auberge!

Le nain se lève en titubant, met ces mains en coupole et commence à gueuler:
-HHHHOOOOOOOooo! La companie, une tournée pour tous ceux qui peuvent encore se trainer au comptoir!
Il se rassoit, ou plutôt tombe sur sa chaise.

-Bien, les traces.... oui, les traces je m'en souvent bien, c'était des traces d'ours, taille normal, mais dorées!!!
-Oui dorées!
-Alors je les ai suivi, et plus je m'avançais, plus l'odeur était forte
-Et voila, et plein milieu de débrits divers et variés, et surtout d'ossements...
Le nain tire une grimace, boit la bière, et ça se voit que ça va déjà mieux.
-L'ours avait les poils dorés, il faut dire qu'il roupillait sur un tas d'or le bougre! Mais il hibernait sur son tas d'or, rassemblé par les mineurs, qu'ils l'avaient abandonnée sur place, à cause de l'ours me dis-je.
-J'allais pas tuer cette brave bête qui avait gardé cet or pour moi! Alors j'ai pris un sac, je l'ai rempli sans bruit, et suis reparti en quatrième vitesse!
-Avec cet or, je pouvais refaire ma vie ailleurs, et fuir les sbires du mari cocu! Et de temps en temps, j'y retourne pour me remplir les poches, mais uniquement l'hiver....

Il but longuement, et contempla le vide.

-Bien, l'histoire est fini, maintenant trinquons, on est là pour ça, pas pour mes histoires

Le Poppu ne se le fait pas dire deux fois!
-ha la tienne l'ami!!

Attila avait une idée derrière la tête...
-Merci pour ce récit.
-Si tu as besoin je peux t'accompagner dans ta grotte pour t'aider à porter les sacs la prochaine fois.

-houlà! faut que je passe dans la région pour m'en souvenir, et puis il doit plus rester grand chose... comme ma chope! Allez, une étibière pour chacun!

C'est alors que notre ami Blorg se manifesta:

La grotte de Klain
N’est plus plein
Car il est un nain
La bière il la tient
HIPS !


-Bravo l'ami! et merci pour cette ode a moi-même... mais tu dois surement avoir soif... allez, une de plus... je sens que je vais rester longtemps ici, et si tu as faim, il parait qu'il y a un bon cuisinier, je vais aller jeter un oeil... enfin le cuisinier a une drole de réputation, je vais quand même garder mon oeil...

Mais c'est une autre histoire...
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Tel qu'il l'avait annoncé après la destruction partielle de l'auberge de l'ami Poppu, Klain repartit sur les routes.

Non pas que ces amis l'offusquaient, mais il est comme ça le peti... le Nain, il aime la montagne parce qu'il le vaut bien. D'ailleurs il est comme elle, il lui faut dominer l'espace environnant, donc monter toujours plus, et quand on n'est pas bien grand... c'est encore plus diffile!!!

Il remonta sur sa Polly(un gros mouton qui ressemble à un poney), pris sa réserve de médicaments à base de plantes et sans un regard sur le drame de l'incendie de l'auberge, il partit.


Mais il n'alla pas bien loin: Une troupe de cavaliers semblait arriver dans sa direction. Il posa pied à terre et planqua son oreille au sol...
- 5 ou 6 pas plus à mon avis. Mais je n'aime pas les rencontres dans la nuit.
- Du calme Polly, on va les laisser passer, il ne manquerait plus que dans la bataille un de ces sagouins me perce ma gourde.
Le bruit s'éloigna, ils étaient passés.



Bien que baroudeur dans l'âme, Klain possède une petite cabane dans les forêts des Marches du Nord à la limite du cercle polaire. Sa folle jeunesse l'ayant souvent obligée à partir de façon précipité, cette cabane était un point de repli confortable pour faire passer le temps.
Le torrent charrie diverses pierres et gemmes des sommets, et il s'y cache des truites succulentes. La chasse est aisé, et les baies sont en grand nombre. Cet endroit représente le paradis sur le monde d'Xm pour notre nain.


Telle est la destination de notre ami.
Cependant la route n'est pas sans dangers. Et les loups en représente un. Ceux-ci ont l'habitude de vivre dans la toundra, sauf lors des grands froids, où ils se terrent dans les bois à l'affût de chair fraîches à se mettrent sous la dent. Quand on lui en parle, Klain repond:
-Les loups, j'ai l'habitude. Un coup d'éclair, une petite boule de feu et ils retournent se cacher!
Sauf quand ils ont bien faim. Très faim.


-Tu es bien nerveuse ce matin Polly! Tu roules des yeux,et... tu trembles ma parole?! Les loups n'est-ce-pas? Bon,accélèrons un peu, histoire de trouver un grotte avant la nuit qui tombe vite sous ces lattitudes!
Les loups les suivaient de loin. Ils passaient entre les arbres, quasi invisible pour une personne non excercée, mais ils n'attaquaient pas.
Puis un hurlement se fit entendre...

Le chef de la meute lança ainsi la chasse!
Klain talonna Polly, mais elle était déjà parti. Dans un bruit fluide, l'épée sortit du fourreau. Déjà un loup lui barrait le chemin. Polly chargea tel un taureau et l'envoya gémir un peu plus loin. Les autres se rapprochaient par derrière pour blesser les pattes du poney. Mais Klain veuillait! D'un coup il coupa une oreille et entailla l'épaule d'un loup. D'un revers il trancha la gorge d'un autre. Cependant une autre de ces bètes qui ne cherchent qu'à survivre dans ce monde, lui attrapa entre ses crocs son poignet, l'obligeant à lacher son arme. De la main gauche il jaillit un éclair, le loup partit en feu se rouler dans la neige, mais d'autres arrivèrent.

-Là mon petit Klain, tu as vidé ta dernière chope!
Un hurlement se fit entendre. Mais pas le même cette fois! Un hurlement de béonide! Il sortit alors 4 grands béonides, et devant la surprise des loups, ils répondirent des coups de haches, de gourdins et d'épées.
Des chasseurs à ne point douter! La bataille fut brutale mais courte!

-Ami Turak! Tu fais le ravitaillement pour cet hiver? demanda, soulagé, Klain.
-Oui, il nous faut des peaux et de la nourriture! Une semaine que l'on pousuivaient ces loups, et voilà Klain qui nous les amène!
-Tu sais, si je peux rendre service... Je te remercie, tu m'as sauvé la vie, que puis je faire pour te remercier!??
-Viens avec nous un peu plus au sud, la saison de la chasse n'est pas finie, mais nous avons un stock suffisant de fourrure pour retourner à la Montagne.
-Ma foi, je ne dis pas non, les barbeuks des béonides sont forts interrésant, j'accepte avec joie!



Ainsi Klain rejoignit le camps des béonides.
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Tel qu'il l'avait annoncé après la destruction partielle de l'auberge de l'ami Poppu, Klain repartit sur les routes.

Non pas que ces amis l'offusquaient, mais il est comme ça le peti... le Nain, il aime la montagne parce qu'il le vaut bien. D'ailleurs il est comme elle, il lui faut dominer l'espace environnant, donc monter toujours plus, et quand on n'est pas bien grand... c'est encore plus diffile!!!

Il remonta sur sa Polly(un gros mouton qui ressemble à un poney), pris sa réserve de médicaments à base de plantes et sans un regard sur le drame de l'incendie de l'auberge, il partit.


Mais il n'alla pas bien loin: Une troupe de cavaliers semblait arriver dans sa direction. Il posa pied à terre et planqua son oreille au sol...
- 5 ou 6 pas plus à mon avis. Mais je n'aime pas les rencontres dans la nuit.
- Du calme Polly, on va les laisser passer, il ne manquerait plus que dans la bataille un de ces sagouins me perce ma gourde.
Le bruit s'éloigna, ils étaient passés.



Bien que baroudeur dans l'âme, Klain possède une petite cabane dans les forêts des Marches du Nord à la limite du cercle polaire. Sa folle jeunesse l'ayant souvent obligée à partir de façon précipité, cette cabane était un point de repli confortable pour faire passer le temps.
Le torrent charrie diverses pierres et gemmes des sommets, et il s'y cache des truites succulentes. La chasse est aisé, et les baies sont en grand nombre. Cet endroit représente le paradis sur le monde d'Xm pour notre nain.


Telle est la destination de notre ami.
Cependant la route n'est pas sans dangers. Et les loups en représente un. Ceux-ci ont l'habitude de vivre dans la toundra, sauf lors des grands froids, où ils se terrent dans les bois à l'affût de chair fraîches à se mettrent sous la dent. Quand on lui en parle, Klain repond:
-Les loups, j'ai l'habitude. Un coup d'éclair, une petite boule de feu et ils retournent se cacher!
Sauf quand ils ont bien faim. Très faim.


-Tu es bien nerveuse ce matin Polly! Tu roules des yeux,et... tu trembles ma parole?! Les loups n'est-ce-pas? Bon,accélèrons un peu, histoire de trouver un grotte avant la nuit qui tombe vite sous ces lattitudes!
Les loups les suivaient de loin. Ils passaient entre les arbres, quasi invisible pour une personne non excercée, mais ils n'attaquaient pas.
Puis un hurlement se fit entendre...

Le chef de la meute lança ainsi la chasse!
Klain talonna Polly, mais elle était déjà parti. Dans un bruit fluide, l'épée sortit du fourreau. Déjà un loup lui barrait le chemin. Polly chargea tel un taureau et l'envoya gémir un peu plus loin. Les autres se rapprochaient par derrière pour blesser les pattes du poney. Mais Klain veuillait! D'un coup il coupa une oreille et entailla l'épaule d'un loup. D'un revers il trancha la gorge d'un autre. Cependant une autre de ces bètes qui ne cherchent qu'à survivre dans ce monde, lui attrapa entre ses crocs son poignet, l'obligeant à lacher son arme. De la main gauche il jaillit un éclair, le loup partit en feu se rouler dans la neige, mais d'autres arrivèrent.

-Là mon petit Klain, tu as vidé ta dernière chope!
Un hurlement se fit entendre. Mais pas le même cette fois! Un hurlement de béonide! Il sortit alors 4 grands béonides, et devant la surprise des loups, ils répondirent des coups de haches, de gourdins et d'épées.
Des chasseurs à ne point douter! La bataille fut brutale mais courte!

-Ami Turak! Tu fais le ravitaillement pour cet hiver? demanda, soulagé, Klain.
-Oui, il nous faut des peaux et de la nourriture! Une semaine que l'on pousuivaient ces loups, et voilà Klain qui nous les amène!
-Tu sais, si je peux rendre service... Je te remercie, tu m'as sauvé la vie, que puis je faire pour te remercier!??
-Viens avec nous un peu plus au sud, la saison de la chasse n'est pas finie, mais nous avons un stock suffisant de fourrure pour retourner à la Montagne.
-Ma foi, je ne dis pas non, les barbeuks des béonides sont forts interrésant, j'accepte avec joie!



Ainsi Klain rejoignit le camps des béonides.
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Cela fesait maintenant quelque mois que je me trouvais dans les rangs béonides, et franchement, je dois avouer que j'en suis très content.
La vie rude, mais proche de la nature (voire en train de la croquer), me fait du bien. Mon temps chez les humains me donnait rarement le plaisir que partage tous les éclaireurs, aller et venir dans ce monde d'harmonie... non il reste de la discorde, et ça c'est bien!

La forteresse fut propriété humaine durant de longs mois, mais sa défense n'était tout de même pas à négliger.

J'étais bien, entouré d'amis, et ouf! d'ennemis aussi. Mais mon départ de l'armée humaine, avant même de passer Général, n'avait pas vraiment de réelle motivation... à part peut-être...
L'appel de l'aventure...
Non, à chaque carrefour on en trouve.
Le fait que les humains étaient désorganisés...
Non, je suis parti sachant que nous étions alors soudé...
Le fait que j'aime bien l'attitude Béonide, l'esprit Béonide...
En partie... et aussi le fait que pour nous autres, Béonides, oui nous autres, une pierre est une pierre, elle appartient à la Terre, à Gaia.

Elles seront toujours à leur place dans les forteresses, et les Béonides pourront toujours les prendre quand l'envie de ridiculiser les autres races non alliés à la force béonide sera trop fort.

C'est pourquoi que je suis fier d'être Béonide.
D'être, en ce jour, un béonide à part entière!
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Cela fesait maintenant quelque mois que je me trouvais dans les rangs béonides, et franchement, je dois avouer que j'en suis très content.
La vie rude, mais proche de la nature (voire en train de la croquer), me fait du bien. Mon temps chez les humains me donnait rarement le plaisir que partage tous les éclaireurs, aller et venir dans ce monde d'harmonie... non il reste de la discorde, et ça c'est bien!

La forteresse fut propriété humaine durant de longs mois, mais sa défense n'était tout de même pas à négliger.

J'étais bien, entouré d'amis, et ouf! d'ennemis aussi. Mais mon départ de l'armée humaine, avant même de passer Général, n'avait pas vraiment de réelle motivation... à part peut-être...
L'appel de l'aventure...
Non, à chaque carrefour on en trouve.
Le fait que les humains étaient désorganisés...
Non, je suis parti sachant que nous étions alors soudé...
Le fait que j'aime bien l'attitude Béonide, l'esprit Béonide...
En partie... et aussi le fait que pour nous autres, Béonides, oui nous autres, une pierre est une pierre, elle appartient à la Terre, à Gaia.

Elles seront toujours à leur place dans les forteresses, et les Béonides pourront toujours les prendre quand l'envie de ridiculiser les autres races non alliés à la force béonide sera trop fort.

C'est pourquoi que je suis fier d'être Béonide.
D'être, en ce jour, un béonide à part entière!
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Petít chañt beô líbrèµént àdâþte:

Món ptì'ßëõ




C'ëst ùñ fämèux ßárbéûk dîgñè des ßêos !
Hîssë èt öh µòn ptï’ßeø
Dix huît béõs qüåtrë cëñt tònñëàux
Jê süîs heürëux d'ÿ étrë àllè tót

REFRAIN
Tièns bóñ lã ßrochè èt serré ßìéñ lës déñts
Hïssè ët øh µøñ ptï’béö
Sï nøt’dïëû véùt t’jóurs droît dêvånt
Nôùs bärßëùkèroñs jûsqù'åu ßäs dû rûíssèau

REFRAIN
Jé ßårbêûk pöür dê lòngs µóis en laïssåñt grôttë
Hìssè et øh µõn pti’béò
D'ÿ þènsér j'âvaïs le cõëur grôs
Eñ dõubláñt lès très tres gros tòñnêâùx

REFRAIN
Oñ prètéñd qüë lâ-ßäs la ßîèrè çoûlê â flot
Hïssë et òh µôn þtì’bëo
On tròuvé l'õr äu fönd dës ruìsséäûx
J'èn raµëñerâi plùsîeûrs lîngots

REFRAIN
Un jôür jè rèvïêndrâi chãrgë dë çådeàûx
Hissé èt oh µoñ ptí’ßeo
Aû þays j’råmeñèrâî dés þârçhös
Et óñ ßóíra bíen ássëz tøt

REFRAIN
Tîens bon lé càp et tíeñs ßôn le broc
Hìssé ët ôh µón ptï’bèö
Sur là terre quî faït le grôs dòs
J’ïràí çår jë sûïs fìer d’être bêö !
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!

[Klain the great dwarf]

Petít chañt beô líbrèµént àdâþte:

Món ptì'ßëõ




C'ëst ùñ fämèux ßárbéûk dîgñè des ßêos !
Hîssë èt öh µòn ptï’ßeø
Dix huît béõs qüåtrë cëñt tònñëàux
Jê süîs heürëux d'ÿ étrë àllè tót

REFRAIN
Tièns bóñ lã ßrochè èt serré ßìéñ lës déñts
Hïssè ët øh µøñ ptï’béö
Sï nøt’dïëû véùt t’jóurs droît dêvånt
Nôùs bärßëùkèroñs jûsqù'åu ßäs dû rûíssèau

REFRAIN
Jé ßårbêûk pöür dê lòngs µóis en laïssåñt grôttë
Hìssè et øh µõn pti’béò
D'ÿ þènsér j'âvaïs le cõëur grôs
Eñ dõubláñt lès très tres gros tòñnêâùx

REFRAIN
Oñ prètéñd qüë lâ-ßäs la ßîèrè çoûlê â flot
Hïssë et òh µôn þtì’bëo
On tròuvé l'õr äu fönd dës ruìsséäûx
J'èn raµëñerâi plùsîeûrs lîngots

REFRAIN
Un jôür jè rèvïêndrâi chãrgë dë çådeàûx
Hissé èt oh µoñ ptí’ßeo
Aû þays j’råmeñèrâî dés þârçhös
Et óñ ßóíra bíen ássëz tøt

REFRAIN
Tîens bon lé càp et tíeñs ßôn le broc
Hìssé ët ôh µón ptï’bèö
Sur là terre quî faït le grôs dòs
J’ïràí çår jë sûïs fìer d’être bêö !
_________________
Grøs naîn mêçènë dé la bîêre,
Pëtit béó µåìs gråñd mãngeùr,
Fìñ côñnâìsseûr d'herßes â pîpê,
Et bön vìvånt, jåµaís mêçõntént!