forumxm.com

[Balthazar]

mhouais bah la prochaine fois, ne prévoyez pas de telle attaque, le serveur n'apprécie pas

Ou visez les béo, se passera surment mieux :p

[Balthazar]

mhouais bah la prochaine fois, ne prévoyez pas de telle attaque, le serveur n'apprécie pas

Ou visez les béo, se passera surment mieux :p

[Chauff]

N'empèche, se lever tot comme ca un dimanche, ca frole le sacrilège... ^^

[Chauff]

N'empèche, se lever tot comme ca un dimanche, ca frole le sacrilège... ^^

[The Punisher]

Vous aurez dut rester dans votre lit les gas lol ^^
_________________
Chris_dark au service de sa majestait demoniaque
Record de degats :
tue(18178 degats) sur centarina

[Chauff]

Là, tu t'engages sur un sujet sensible, a tricky issue comme disait Nicky.

Le débat a mobilisé les scientifiques du monde entier, génies de renom de tout poil, depuis les grecs qui s'y connaissaient en la matière je ne vous le fait pas dire, jusqu'aux américains eux aussi très concernés :


Faut il garder ses gaz au lit ?

Deux écoles que dis je deux courants de pensée à la philosophie mais aussi à la vision du monte antinomique se disputent le primat dde découvertes époustouflantes ouvrant des perspectives etonnantes, pricipalement en matière d'aérospatiale et de balistique prouvant au monde entier que le sujet le plus trivial pouvait vous envoyer...sur la Lune !

Pour les premiers, il convient de garder le gaz sous le lit, ou plutot sous les draps sans quoi les contorsions seraient diablement délicates, au risque de provoquer une explosion génante en cas d'étincelle, ce qui arrive couramment de nos jours de nuit .

Pour les seconds, qui dorment en moyenne à plusi heurts, il faut en revanche passer la jambe de l'autre coté de la couette et moduler la flatulence, ce qui nécessite de nombreuses années de pratique mais s'avère fouttrement rentable pour le commun des mortels, le volume d'air de la pièce étant supérieur à celui de la couette, d'où l'expression populaire des cons joints de péthomanes : "tu manques pas d'air, Bob".



Pendant ces considérations, la recherche avance, espérons qu'elle soit à jamais florissante. Sur ce, je vous souhaites de bonnes parties de pétaradages, ca fait bouger la science.


Je vous remercie.


[ce message n'étant au aucun cas rp, question de réputation oblige...]

[Chauff]

Là, tu t'engages sur un sujet sensible, a tricky issue comme disait Nicky.

Le débat a mobilisé les scientifiques du monde entier, génies de renom de tout poil, depuis les grecs qui s'y connaissaient en la matière je ne vous le fait pas dire, jusqu'aux américains eux aussi très concernés :


Faut il garder ses gaz au lit ?

Deux écoles que dis je deux courants de pensée à la philosophie mais aussi à la vision du monte antinomique se disputent le primat dde découvertes époustouflantes ouvrant des perspectives etonnantes, pricipalement en matière d'aérospatiale et de balistique prouvant au monde entier que le sujet le plus trivial pouvait vous envoyer...sur la Lune !

Pour les premiers, il convient de garder le gaz sous le lit, ou plutot sous les draps sans quoi les contorsions seraient diablement délicates, au risque de provoquer une explosion génante en cas d'étincelle, ce qui arrive couramment de nos jours de nuit .

Pour les seconds, qui dorment en moyenne à plusi heurts, il faut en revanche passer la jambe de l'autre coté de la couette et moduler la flatulence, ce qui nécessite de nombreuses années de pratique mais s'avère fouttrement rentable pour le commun des mortels, le volume d'air de la pièce étant supérieur à celui de la couette, d'où l'expression populaire des cons joints de péthomanes : "tu manques pas d'air, Bob".



Pendant ces considérations, la recherche avance, espérons qu'elle soit à jamais florissante. Sur ce, je vous souhaites de bonnes parties de pétaradages, ca fait bouger la science.


Je vous remercie.


[ce message n'étant au aucun cas rp, question de réputation oblige...]

[Yamael]

j'ai pas bien vu le rapport avec le message précédant (ou même les autres) désolé...
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

j'ai pas bien vu le rapport avec le message précédant (ou même les autres) désolé...
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[pangolin]

Je trouve que cela embraye parfaitement avec un sujet dont nous avons traité dans la montagne,à savoir: la liberté n'est-elle qu'une illusion?
Tout dépend de la manière dont tu décides de définit tout d'abord la liberté et ensuite l'illusion.Afin de poser le problème,on va commencer par poser le problème de manière correcte en définissants avec précision les termes du sujet et par la suite nous analyserons les solutions possibles en fonction du sens que l'on donnera aux mots.Enfin nous essayerons dans une synthèse de formuler de manière compréhensive la réponse à cette question.Il est tout d'abord primordial de rappeler que cette question a une tendance anale-industrashtechnocore.Il est INDISPENSABLE de reconnaître la valeur obligatoire de la responsabilité justifiant de l'industriabilité,non sans un certain nombre de compromis qu'il faudra expliciter soit de manière implicite,soit de manière physico-ritale,de dénombrer la puissance de la dénigration d'autrui dans un tel message dénonçant une possibilité de disparités dans l'espace temps dans lequel nous allons dès à présent nous engouffrer.Car vous l'avez sans doute remarqué,à l'instant même où vous avez commencé à lire ce texte,vous êtes entré dans une faille spatio-temporelle,qui n'est que très peu éloigné de ce qu'on nomme dans le langage populaire "le trou du cul du monde".Se pose alors la question intrinsèque à l'existence dudit trou: est-il poilu ou non?Afin de répondre à cette question sous-jacente à la première et intrinsèque à la notion même de liberté,il convient de savoir de quels facteurs dépend la pilosité du Néant.Ce qui embraye indubitablement sur l'Etre,celui qui comble ce Néant.Quel meilleur moyen de définir un objet que de montrer du doigt ce qui lui manque afin de le rendre lisse,parfait,complet,et ainsi sa plénitude montrera à la face du monde le peu de choses indispensables qu'il aurait fallu donner afin d'atteindre,non sans un nombre incalculable d'embuches,la liberté.Mais cela ne suffit pas car on oublie l'essentiel de la nature et de la fonction même d'un tel bond en avant sur l'avenir cosmique de l'admittance de cette incroyable somme logique d'évènements!Le facteur prédominant reste en effet la distributivité,et non la commutativité,de la somme logique,qui permet une fois de plus d'avancer dans ce raisonnement plein d'intérêt pour celui qui ne le comprend pas.Car bien évidemment ce n'est pas chercher le sens total de ce qu'on pose de manière empirique,mais c'est le détail même microscopique,de quelques dizaines de microns,capté par le nombre infime de neurone qu'il pourrait rester à la fin du monde,que nous pourrons avancer dans la compréhension dudit monde.Mais il est toujours utile de garder plusieurs perspectives à l'esprit,ainsi la vision macroscopique de notre sujet permet aussi d'atteindre d'une autre manière la matière et l'essence même de ce qui est posé comme étant la seule possibilité parmi bon nombre d'absurdités.Que penser alors?Telle n'est pas réellement la question vraie serait plutôt "pourquoi penser?" et la réponse ne serait autre qu'un "parce que" suivi d'un bon nombre d'explications,dont le nombre peut se calculer à l'aide d'un polynôme de degré supérieur ou égal à quatre et d'un coefficient dominant d'au moins treize.Il suffit alors de procéder à une méthode proche de celle de Klachkowsky.Il apparaît dès lors évident que la liberté et l'illusion sont à la fois dissociables et indissociables,solubles et insolubles,ce qui s'accorde avec le fait que la question en elle-même est plus proche de la réponse que la réponse elle-même.Il suffit alors de trouver un système d'équation pour réduire le problème à une simple matrice carrée d'ordre quatre et de rang quatre,ce qui permet l'utilisation des formules de cramer afin de parvenir à un résultat que seul un nombre restreint d'êtres au monde serait capable de déchiffrer et d'interpréter à sa manière.Je conclurais donc en disant que le monde n'existe pas réellement,en lui-même,la notion même de monde est absurde si on considère que cela signifie l'existence d'un monde empirique dans lequel les êtres vivants se contentent de vivre,bien entendu s'il s'agit de la vie vivante.Dès lors l'existence du monde n'est soumise qu'à la réalité qu'on lui donne et à l'interprétation personnelle,il n'existe pas qu'un seul monde empirique,mais bel et bien autant que d'être vivants sur ce monde,avec chacun sa vision et donc chacun son monde,aussi proche des autres qu'ils puissent paraître.La réponse à ta question est donc tout simplement là: elle dépend uniquement de toi et de ta vision du monde,qui est unique.L'absence de réponse à ta question vient également de toi,et ta satisfaction quant à cette réponse vient une fois encore de toi.Mais bien évidemment,cela ne s'applique que pour toi,si quelqu'un d'autre entend ta réponse,il se peut alors que ce ne soit plus la bonne,à la fois pour lui,mais aussi pour toi car sa pensée profonde peut tout à fait t'ébranler jusqu'aux tréfond de ton âme et te révéler que ta manière de voir le monde vient subitement de changer.Cette réponse est donc également malléable,souple,et soumise au temps et à l'influence des autres,de toi-même,et de tout ce qui t'entoure de près ou de loin.Il convient désormais de définir ce qu'est l'intilité.Négation de l'utilité,contraire d'utilité ou inverse d'utilité?Car bien entendu ces différents termes n'ont pas la même signification bien qu'ils soient proche,il semble donc plus simple de trouver une définition qui ne s'appuye pas sur la négation,la contrariété ou l'inverse d'une proposition déjà existante,c'est pourquoi nous allons nous intéresser à la nature même de l'inutile,et non pas tout de suite à sa fonction.L'inutilité est partout,sa nature omniprésente nous préserve dès lors de sombrer dans l'utilité absolue,qui serait le comble pour ce monde dans lequel nous vivons,car sans inutilité,l'utilité n'aurait plus de sens et notre monde peut s'organiser autour de ces notions,il suffit pour cela d'attribuer une variable binaire à chacun d'entre elle et de les combiner par l'intermédiaire de différentes lois;bien évidemment il est inpensable d'utiliser ici l'algèbre de Boole,qui n'est pas assez puissante pour régler les détails nécessaires à l'assemblage notionnel de ces champs d'intérêt universel.Par contre,en s'appuyant sur les règles de Klechkovsky,on peut intégrer l'inutilité à partir du nombre d'électrons contenu dans son orbite de valence et le classer dans le tableau périodique,mais se pose alors un énorme souci: l'inutilité ne suit ni la règle du duet ni celle de l'octet et ne tend pas à chercher la perfection comme le font la majorité,voire la totalité des autres éléments!Il convient alors d'ajouter une énergie ionique inversement proportionnelle à l'exponentielle logarithmique d'une racine cubique dans l'équation qui régit la nature même de la notion d'inutilité,en commençant bien évidemment par la polymérisation et la traduction de la chaîne d'acides aminés consituant ce tout par un polynôme.Il suffit de résoudre matriciellement cette première équation obtenue à l'aide d'une matrice diagonale inversible telle que sa transposée soit égale à l'inverse du carré de l'hypoténuse du côté sinusoïdal d'un triangle tridimensionnel visible à travers un filin infini de cuivre recouvert d'une fine couche de zinc.Enfin,on peut observer au niveau des pédoncules de l'inutilité l'absence totale d'industries de laine ou autres,ainsi que la pondération par les chips de toute graisse animale par la graisse végétale,telle que celle de palmier ou de tournesol par exemple.On reconnaît bien là l'un des exemple du modèle de Lewis,tout à fait caricatural mais assez proche de la vérité vrai et de la réalité du monde qui entoure les personnalités telles que johnny Hallyday ou bien Zinedine Zidane.La dérivation du champ magnétique engendré par cette faille spatio temporelle nous entraîne alors vers un décalage beaucoup plus important,calculable uniquement à l'aide de champs vectoriels auxquels il faut donner une convention trigonométrique proche de clle des anneaux de saturne,par exemple.Je vous laisse potasser tout ça afin de trouver la nature de l'inutilité,il conviendra par la suite d'en déterminer la fonction par l'intermédiaire de variables verbatimisées.
Ainsi on définit la résistance d'entrée d'une valeur qui n'est autre que celle de l'étage inverseur d'une possible saturation en mémoire de la vie réelle d'un être qui,bien que empli de sympathie,se retrouve à quémander sur les routes ou sur les trottoirs de la Rue St-Jean.Exclusivement nous pourrons alors parler de l'algèbre indiciel,ce qui signifierait que notre monde ne tourne pas autour d'un point,mais bel et bien d'un oeil vivace qui se renouvelle sans cesse,grâce à l'énergie couplée que nous lui apportons par notre existence même.
Merci d'avoir participé à ce débat avec moi.
Bonsoir!
_________________
Karkachi_Kobalt (où Karkachi est une grosse bébète puante et Kobalt un volatile puant)
Organisateur du Désordre Organisé des Béoerserkers

[pangolin]

Je trouve que cela embraye parfaitement avec un sujet dont nous avons traité dans la montagne,à savoir: la liberté n'est-elle qu'une illusion?
Tout dépend de la manière dont tu décides de définit tout d'abord la liberté et ensuite l'illusion.Afin de poser le problème,on va commencer par poser le problème de manière correcte en définissants avec précision les termes du sujet et par la suite nous analyserons les solutions possibles en fonction du sens que l'on donnera aux mots.Enfin nous essayerons dans une synthèse de formuler de manière compréhensive la réponse à cette question.Il est tout d'abord primordial de rappeler que cette question a une tendance anale-industrashtechnocore.Il est INDISPENSABLE de reconnaître la valeur obligatoire de la responsabilité justifiant de l'industriabilité,non sans un certain nombre de compromis qu'il faudra expliciter soit de manière implicite,soit de manière physico-ritale,de dénombrer la puissance de la dénigration d'autrui dans un tel message dénonçant une possibilité de disparités dans l'espace temps dans lequel nous allons dès à présent nous engouffrer.Car vous l'avez sans doute remarqué,à l'instant même où vous avez commencé à lire ce texte,vous êtes entré dans une faille spatio-temporelle,qui n'est que très peu éloigné de ce qu'on nomme dans le langage populaire "le trou du cul du monde".Se pose alors la question intrinsèque à l'existence dudit trou: est-il poilu ou non?Afin de répondre à cette question sous-jacente à la première et intrinsèque à la notion même de liberté,il convient de savoir de quels facteurs dépend la pilosité du Néant.Ce qui embraye indubitablement sur l'Etre,celui qui comble ce Néant.Quel meilleur moyen de définir un objet que de montrer du doigt ce qui lui manque afin de le rendre lisse,parfait,complet,et ainsi sa plénitude montrera à la face du monde le peu de choses indispensables qu'il aurait fallu donner afin d'atteindre,non sans un nombre incalculable d'embuches,la liberté.Mais cela ne suffit pas car on oublie l'essentiel de la nature et de la fonction même d'un tel bond en avant sur l'avenir cosmique de l'admittance de cette incroyable somme logique d'évènements!Le facteur prédominant reste en effet la distributivité,et non la commutativité,de la somme logique,qui permet une fois de plus d'avancer dans ce raisonnement plein d'intérêt pour celui qui ne le comprend pas.Car bien évidemment ce n'est pas chercher le sens total de ce qu'on pose de manière empirique,mais c'est le détail même microscopique,de quelques dizaines de microns,capté par le nombre infime de neurone qu'il pourrait rester à la fin du monde,que nous pourrons avancer dans la compréhension dudit monde.Mais il est toujours utile de garder plusieurs perspectives à l'esprit,ainsi la vision macroscopique de notre sujet permet aussi d'atteindre d'une autre manière la matière et l'essence même de ce qui est posé comme étant la seule possibilité parmi bon nombre d'absurdités.Que penser alors?Telle n'est pas réellement la question vraie serait plutôt "pourquoi penser?" et la réponse ne serait autre qu'un "parce que" suivi d'un bon nombre d'explications,dont le nombre peut se calculer à l'aide d'un polynôme de degré supérieur ou égal à quatre et d'un coefficient dominant d'au moins treize.Il suffit alors de procéder à une méthode proche de celle de Klachkowsky.Il apparaît dès lors évident que la liberté et l'illusion sont à la fois dissociables et indissociables,solubles et insolubles,ce qui s'accorde avec le fait que la question en elle-même est plus proche de la réponse que la réponse elle-même.Il suffit alors de trouver un système d'équation pour réduire le problème à une simple matrice carrée d'ordre quatre et de rang quatre,ce qui permet l'utilisation des formules de cramer afin de parvenir à un résultat que seul un nombre restreint d'êtres au monde serait capable de déchiffrer et d'interpréter à sa manière.Je conclurais donc en disant que le monde n'existe pas réellement,en lui-même,la notion même de monde est absurde si on considère que cela signifie l'existence d'un monde empirique dans lequel les êtres vivants se contentent de vivre,bien entendu s'il s'agit de la vie vivante.Dès lors l'existence du monde n'est soumise qu'à la réalité qu'on lui donne et à l'interprétation personnelle,il n'existe pas qu'un seul monde empirique,mais bel et bien autant que d'être vivants sur ce monde,avec chacun sa vision et donc chacun son monde,aussi proche des autres qu'ils puissent paraître.La réponse à ta question est donc tout simplement là: elle dépend uniquement de toi et de ta vision du monde,qui est unique.L'absence de réponse à ta question vient également de toi,et ta satisfaction quant à cette réponse vient une fois encore de toi.Mais bien évidemment,cela ne s'applique que pour toi,si quelqu'un d'autre entend ta réponse,il se peut alors que ce ne soit plus la bonne,à la fois pour lui,mais aussi pour toi car sa pensée profonde peut tout à fait t'ébranler jusqu'aux tréfond de ton âme et te révéler que ta manière de voir le monde vient subitement de changer.Cette réponse est donc également malléable,souple,et soumise au temps et à l'influence des autres,de toi-même,et de tout ce qui t'entoure de près ou de loin.Il convient désormais de définir ce qu'est l'intilité.Négation de l'utilité,contraire d'utilité ou inverse d'utilité?Car bien entendu ces différents termes n'ont pas la même signification bien qu'ils soient proche,il semble donc plus simple de trouver une définition qui ne s'appuye pas sur la négation,la contrariété ou l'inverse d'une proposition déjà existante,c'est pourquoi nous allons nous intéresser à la nature même de l'inutile,et non pas tout de suite à sa fonction.L'inutilité est partout,sa nature omniprésente nous préserve dès lors de sombrer dans l'utilité absolue,qui serait le comble pour ce monde dans lequel nous vivons,car sans inutilité,l'utilité n'aurait plus de sens et notre monde peut s'organiser autour de ces notions,il suffit pour cela d'attribuer une variable binaire à chacun d'entre elle et de les combiner par l'intermédiaire de différentes lois;bien évidemment il est inpensable d'utiliser ici l'algèbre de Boole,qui n'est pas assez puissante pour régler les détails nécessaires à l'assemblage notionnel de ces champs d'intérêt universel.Par contre,en s'appuyant sur les règles de Klechkovsky,on peut intégrer l'inutilité à partir du nombre d'électrons contenu dans son orbite de valence et le classer dans le tableau périodique,mais se pose alors un énorme souci: l'inutilité ne suit ni la règle du duet ni celle de l'octet et ne tend pas à chercher la perfection comme le font la majorité,voire la totalité des autres éléments!Il convient alors d'ajouter une énergie ionique inversement proportionnelle à l'exponentielle logarithmique d'une racine cubique dans l'équation qui régit la nature même de la notion d'inutilité,en commençant bien évidemment par la polymérisation et la traduction de la chaîne d'acides aminés consituant ce tout par un polynôme.Il suffit de résoudre matriciellement cette première équation obtenue à l'aide d'une matrice diagonale inversible telle que sa transposée soit égale à l'inverse du carré de l'hypoténuse du côté sinusoïdal d'un triangle tridimensionnel visible à travers un filin infini de cuivre recouvert d'une fine couche de zinc.Enfin,on peut observer au niveau des pédoncules de l'inutilité l'absence totale d'industries de laine ou autres,ainsi que la pondération par les chips de toute graisse animale par la graisse végétale,telle que celle de palmier ou de tournesol par exemple.On reconnaît bien là l'un des exemple du modèle de Lewis,tout à fait caricatural mais assez proche de la vérité vrai et de la réalité du monde qui entoure les personnalités telles que johnny Hallyday ou bien Zinedine Zidane.La dérivation du champ magnétique engendré par cette faille spatio temporelle nous entraîne alors vers un décalage beaucoup plus important,calculable uniquement à l'aide de champs vectoriels auxquels il faut donner une convention trigonométrique proche de clle des anneaux de saturne,par exemple.Je vous laisse potasser tout ça afin de trouver la nature de l'inutilité,il conviendra par la suite d'en déterminer la fonction par l'intermédiaire de variables verbatimisées.
Ainsi on définit la résistance d'entrée d'une valeur qui n'est autre que celle de l'étage inverseur d'une possible saturation en mémoire de la vie réelle d'un être qui,bien que empli de sympathie,se retrouve à quémander sur les routes ou sur les trottoirs de la Rue St-Jean.Exclusivement nous pourrons alors parler de l'algèbre indiciel,ce qui signifierait que notre monde ne tourne pas autour d'un point,mais bel et bien d'un oeil vivace qui se renouvelle sans cesse,grâce à l'énergie couplée que nous lui apportons par notre existence même.
Merci d'avoir participé à ce débat avec moi.
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Karkachi_Kobalt (où Karkachi est une grosse bébète puante et Kobalt un volatile puant)
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[corsibar]

la culture c'est comme le nutella moins on en a plus on l'étale
_________________
Je me sent coupable d'avoir assassiné mon double dans le ventre de ma mère et de l'avoir mangé.
Je me sent coupable d'avoir attenté a mon entité vitale en ayant tenté de me pendre avec mon cordon ombilicale...

[Oannès]

Je m'amusais au collège, à écrire des plâtrées d'incohérences juste pour le fun ^^ C'est loin le collège...
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Oannès]

Je m'amusais au collège, à écrire des plâtrées d'incohérences juste pour le fun ^^ C'est loin le collège...
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[uther_pendragon]

Pangolin, tu penses quoi de la culture des petis pois au moyen-âge ?
_________________
La mort n'est que le commencement...

[Guilhem]

Noooon, ne lui demandez surtout pas son opinion là-dessus!

[Guilhem]

Noooon, ne lui demandez surtout pas son opinion là-dessus!

[Poppu]

[Poppu]

[Tyrahell]

Ma question est:

POURQUOI?

[Tyrahell]

Ma question est:

POURQUOI?

[Tiganoff]

Je laisserai M. Orangina rouge répondre...

[Tyrahell]

Oui mais tiendra t il compte des circonstance sociologique pour expliquer l'acte?
La chose en elle meme n'etant pas grand chose sans le contexte qui l'entoure?
Comment peut on vouloir perdre autant de temps!!

[Tyrahell]

Oui mais tiendra t il compte des circonstance sociologique pour expliquer l'acte?
La chose en elle meme n'etant pas grand chose sans le contexte qui l'entoure?
Comment peut on vouloir perdre autant de temps!!

[Tiganoff]

La question n'est pas comment peut on perdre du temps, mais pourquoi. Ca me semble plus interessant comme axe de reflexion.

[Tyrahell]

D'ou ma premiere interrogation!
je l'avais mal reformulé, veuillez m'en excuser.

[Tyrahell]

D'ou ma premiere interrogation!
je l'avais mal reformulé, veuillez m'en excuser.

[Oannès]

On perd du temps parce qu'on en a. Du temps.
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Oannès]

On perd du temps parce qu'on en a. Du temps.
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Tyrahell]

Alors tu as du temps, mais tu n'as pas de perd?

[Tyrahell]

Alors tu as du temps, mais tu n'as pas de perd?

[Oannès]

Mais qu'est ce que tu veux que je réponde à ça?
Ce serait une perte de temps, et même si j'en ai là, j'aimerai le perdre autrement
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Oannès]

Mais qu'est ce que tu veux que je réponde à ça?
Ce serait une perte de temps, et même si j'en ai là, j'aimerai le perdre autrement
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Kamino]

Mais tu as dit avant que...euh...
*mais qu'est ce que je fais là?!? *
_________________
Mage ne sachant pas lancer de sort... -_-

[Yamael]

que de temps perdu à passer le temps pour ne rien faire...
profitez du temps, tant qu'il vous en reste!
et tant qu'à faire, tentez de ne pas faire perdre leur temps à ceux qui n'ont as que ça à faire de lire vos conneries!
(et les miennes par la même occasion)
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

que de temps perdu à passer le temps pour ne rien faire...
profitez du temps, tant qu'il vous en reste!
et tant qu'à faire, tentez de ne pas faire perdre leur temps à ceux qui n'ont as que ça à faire de lire vos conneries!
(et les miennes par la même occasion)
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Oannès]

et tant qu'à faire, tentez ça s'écrit tentez
_________________
Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Oannès]

et tant qu'à faire, tentez ça s'écrit tentez
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Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Yamael]

il est où le problème?
(on pourrait pas supprimer la trace des edits, ça ferait plus crédible )
ps: c'est vrai qu'il est chiant celui-là à reprendre tout le monde avec l'orthographe... (en même temps, il en faut. sisi!)
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

il est où le problème?
(on pourrait pas supprimer la trace des edits, ça ferait plus crédible )
ps: c'est vrai qu'il est chiant celui-là à reprendre tout le monde avec l'orthographe... (en même temps, il en faut. sisi!)
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Yamaël, Paladin de Diablo

[pangolin]

[pangolin]

[Oannès]

Ca m'inspire une toute petite phrase mon cher Pangolin. Sur un phare, qui lui aussi était contraint au théorème quartézomaringel. Cen'est qu'une phrase, donc il n'y a pas grand chose à lire. Voici:

Une flamme furieuse, née dans la nuit blanchâtre d’un noël de lumière, s’agite gaiement, peureuse, sur le sommet de la bougie de cire d’un gardien de phare solitaire, seul au monde en compagnie de sa tristesse et de ce désespoir qui jamais ne veut se taire, avec nulle personne à qui s’adresser, victime de ce mal qui n’a de cesse de le ronger, sans interlocuteur à qui rendre la pareille lorsque l’échange verbal fait mine de s’éteindre, comme il le faisait si naturellement lorsqu’il était plus jeune et qu’il ne cessait de geindre, qu’il rêvait encore comme il rêve aujourd’hui, de naviguer sur cette mer qu’il n’a de cesse de contempler jusqu’à plus de minuit, ce tapis d’eau salée qui l’ignore du haut de son immensité, de sa splendeur et de son apparente infinité, elle qui a vu naviguer tant de fous aux aspirations insolites, d’aventuriers téméraires, de guerriers émérites ou encore de pirates sanguinaires, elle qui a abrité tant de scènes de survie et de mort, tant ignoré la cohorte de ses enfants qui l’adorent, ces maquereaux malins, ces requins pernicieux, ces thons bonhommes et tous les autres qui nagent comme marchent les hommes, avec toutefois une plus grande innocence car ces derniers agissent plus qu’ils ne pensent, pour conquérir et non pour construire, ces constructions si rares en ce monde de folie, où l’on parle alors que personne n’écoute ni ne sourit, mais où l’on entend parfois par hasard sans toutefois comprendre toutes ces pauvres âmes qui hurlent dans le triste placard, de cette vie qui ne s’explique pas mais qui s’impose à ceux qui la vivent, du plus petit au plus grand, du plus faible au plus fort, du plus insolent au plus conciliant, bref de toutes ces choses animées qui finissent par acquérir une sagesse forcée venant avec l’âge, au milieu de ces années qui s’écoulent et qui font des ravages, de ces siècles qui s’égrènent comme d’un livre on tourne les pages, de ces millénaires qui passent comme autant de funestes mirages, selon que l’on est un éphémère, un tigre ou encore un oursin éternel, condamné à vivre au fond d’une vase immortelle, d’où le filet salvateur d’un marin tirera peut-être enfin la créature maudite de son long sommeil, la ramenant sur la terre des hommes et ses quelques merveilles, où elle sera cuisinée pour le bonheur instruit d’un fin gastronome, même si la manière importe peu et que pour cette créature la résultante est en somme, l’aboutissement d’un chemin semé d’autant apprentissages que d’embûches, de voyages inconscients au centre d’une vertigineuse ruche, comme ceux de ce gardien de phare qui s’égare dans ses pensées volages, se demande si tout cela est bien utile et bien sage, se résigne à ne jamais savoir ce qui le pousse malgré tout à se battre pour ce phare imposant, qu’il habite depuis si longtemps maintenant, et qui offre toujours la même lumière aux navires nonchalants, dont les armateurs se soucient plus des navires que des esprits naïfs qui les construisent ardemment, se soucient plus de leur lendemain que de celui de leurs subalternes qui s’enivrent, ces tristes sires qui préfèrent boire et brûler leurs livres, plutôt que de plaindre les malheureux qui n’ont pas l’honneur rare d’observer les dauphins ou de craindre les guivres, avant de consommer en toute quiétude le plaisir à la chaleur incommensurable, de retrouver la terre-mère et le réconfort de ses semblables, de revenir dans la région où ils ont vu le jour, et dont ils se rappellent avec émoi les premiers amours, ces malheureux qui ne savourent pas les cadeaux sans fin d’une nature généreuse et peu rancunière, et qui n’a jamais demandé à ses enfants une quelconque prière, ces malheureux qui se morfondent sans cesse sur leur sort, alors qu’ils ont en eux toutes les clés d’un bonheur abstrayant le remord, ces inconscients qui finalement mésestiment la joie simple de profiter d’un labeur accompli ou d’un loisir sans souci, comme ce triste savant qui de pensées amères se nourrit, à juger le monde de son arrogance solitaire, à considérer avec peu de compassion tout cet ensemble qu’il peut observer du haut de son piédestal d’ivoire et de pierre, jusqu’à en oublier qu’il profite lui aussi de tout ceci et qu’il n’est point le créateur mais seulement le bénéficiaire, qu’il n’est pas celui qui donne mais celui qui prend, lui qui jamais ne pardonne et souvent se méprend, qui oublie ses erreurs et parfois au réveil se surprend, honteux de renier ses promesses, lui qui refuse d’avouer ses faiblesses, toutes ces petites choses qui détruisent de façon inavouée ce que l’on met tant de temps à réparer, ces regards que l’on n’ose plus affronter, ces pensées qui obsèdent et ne cessent de se répéter, en une musique persistante, persiflante et oppressante, que l’on voudrait faire taire mais que seul le numéro d’un baladin pourra apaiser, au milieu de ce qui ressemble à l’enfer mais qui ne l’est point en vérité, car l’on ne peut juger de ce qu’est le mal suprême lorsque l’on a connu une joie inégalée, comme admirer les reflets d’un ciel traduisant les flots de l’Erythrée, dans la flamme d’une bougie quasiment éteinte le soir d’une nocturne clarté, et dont la beauté de ce tout est emprunte pour l’éternité.
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Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.

[Oannès]

Ca m'inspire une toute petite phrase mon cher Pangolin. Sur un phare, qui lui aussi était contraint au théorème quartézomaringel. Cen'est qu'une phrase, donc il n'y a pas grand chose à lire. Voici:

Une flamme furieuse, née dans la nuit blanchâtre d’un noël de lumière, s’agite gaiement, peureuse, sur le sommet de la bougie de cire d’un gardien de phare solitaire, seul au monde en compagnie de sa tristesse et de ce désespoir qui jamais ne veut se taire, avec nulle personne à qui s’adresser, victime de ce mal qui n’a de cesse de le ronger, sans interlocuteur à qui rendre la pareille lorsque l’échange verbal fait mine de s’éteindre, comme il le faisait si naturellement lorsqu’il était plus jeune et qu’il ne cessait de geindre, qu’il rêvait encore comme il rêve aujourd’hui, de naviguer sur cette mer qu’il n’a de cesse de contempler jusqu’à plus de minuit, ce tapis d’eau salée qui l’ignore du haut de son immensité, de sa splendeur et de son apparente infinité, elle qui a vu naviguer tant de fous aux aspirations insolites, d’aventuriers téméraires, de guerriers émérites ou encore de pirates sanguinaires, elle qui a abrité tant de scènes de survie et de mort, tant ignoré la cohorte de ses enfants qui l’adorent, ces maquereaux malins, ces requins pernicieux, ces thons bonhommes et tous les autres qui nagent comme marchent les hommes, avec toutefois une plus grande innocence car ces derniers agissent plus qu’ils ne pensent, pour conquérir et non pour construire, ces constructions si rares en ce monde de folie, où l’on parle alors que personne n’écoute ni ne sourit, mais où l’on entend parfois par hasard sans toutefois comprendre toutes ces pauvres âmes qui hurlent dans le triste placard, de cette vie qui ne s’explique pas mais qui s’impose à ceux qui la vivent, du plus petit au plus grand, du plus faible au plus fort, du plus insolent au plus conciliant, bref de toutes ces choses animées qui finissent par acquérir une sagesse forcée venant avec l’âge, au milieu de ces années qui s’écoulent et qui font des ravages, de ces siècles qui s’égrènent comme d’un livre on tourne les pages, de ces millénaires qui passent comme autant de funestes mirages, selon que l’on est un éphémère, un tigre ou encore un oursin éternel, condamné à vivre au fond d’une vase immortelle, d’où le filet salvateur d’un marin tirera peut-être enfin la créature maudite de son long sommeil, la ramenant sur la terre des hommes et ses quelques merveilles, où elle sera cuisinée pour le bonheur instruit d’un fin gastronome, même si la manière importe peu et que pour cette créature la résultante est en somme, l’aboutissement d’un chemin semé d’autant apprentissages que d’embûches, de voyages inconscients au centre d’une vertigineuse ruche, comme ceux de ce gardien de phare qui s’égare dans ses pensées volages, se demande si tout cela est bien utile et bien sage, se résigne à ne jamais savoir ce qui le pousse malgré tout à se battre pour ce phare imposant, qu’il habite depuis si longtemps maintenant, et qui offre toujours la même lumière aux navires nonchalants, dont les armateurs se soucient plus des navires que des esprits naïfs qui les construisent ardemment, se soucient plus de leur lendemain que de celui de leurs subalternes qui s’enivrent, ces tristes sires qui préfèrent boire et brûler leurs livres, plutôt que de plaindre les malheureux qui n’ont pas l’honneur rare d’observer les dauphins ou de craindre les guivres, avant de consommer en toute quiétude le plaisir à la chaleur incommensurable, de retrouver la terre-mère et le réconfort de ses semblables, de revenir dans la région où ils ont vu le jour, et dont ils se rappellent avec émoi les premiers amours, ces malheureux qui ne savourent pas les cadeaux sans fin d’une nature généreuse et peu rancunière, et qui n’a jamais demandé à ses enfants une quelconque prière, ces malheureux qui se morfondent sans cesse sur leur sort, alors qu’ils ont en eux toutes les clés d’un bonheur abstrayant le remord, ces inconscients qui finalement mésestiment la joie simple de profiter d’un labeur accompli ou d’un loisir sans souci, comme ce triste savant qui de pensées amères se nourrit, à juger le monde de son arrogance solitaire, à considérer avec peu de compassion tout cet ensemble qu’il peut observer du haut de son piédestal d’ivoire et de pierre, jusqu’à en oublier qu’il profite lui aussi de tout ceci et qu’il n’est point le créateur mais seulement le bénéficiaire, qu’il n’est pas celui qui donne mais celui qui prend, lui qui jamais ne pardonne et souvent se méprend, qui oublie ses erreurs et parfois au réveil se surprend, honteux de renier ses promesses, lui qui refuse d’avouer ses faiblesses, toutes ces petites choses qui détruisent de façon inavouée ce que l’on met tant de temps à réparer, ces regards que l’on n’ose plus affronter, ces pensées qui obsèdent et ne cessent de se répéter, en une musique persistante, persiflante et oppressante, que l’on voudrait faire taire mais que seul le numéro d’un baladin pourra apaiser, au milieu de ce qui ressemble à l’enfer mais qui ne l’est point en vérité, car l’on ne peut juger de ce qu’est le mal suprême lorsque l’on a connu une joie inégalée, comme admirer les reflets d’un ciel traduisant les flots de l’Erythrée, dans la flamme d’une bougie quasiment éteinte le soir d’une nocturne clarté, et dont la beauté de ce tout est emprunte pour l’éternité.
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Je suis le type qui chevauche le porc gambadant dans la forêt de velours Mon nom est Nou. Wa Nou.