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[orunitia bibi]

Les livres ? La lecture... La poésie ? UNE lecture... Des hommes cherchent à déchiffrer les mystères du méandre... Cependant, qu'advient-il d'eux après la mort? Quand ceux-ci aient cherché en vain? Non ! Pas en vain... Chacun contribue d'une manière ou d'une autre à faire avancer les choses... ou plutôt, à faire avancer la vie des "suivants"... Parmi ces suivants... il y en a un qui est attendu... Cet homme capable de changer un monde que par le regard. Il s'agit d'un être complètement mystérieux. N'ayant aucune attache... Un être pourtant de bonté, de complaisance, qui ne cherche que le bonheur de ceux qui l'entoure...ou qui l'entourons... De nos jours, peu de récits restent à lire sans que nous n'ayons de difficultés à déchiffrer ou à comprendre.

En attendant cet homme, il y en a un qui cherche... Il veut comprendre ce que Dieu veut de nous, ce qu'il attend de nous... Il n'est guère intéressé par ceux qu'ils l'entourent. Pour lui, une chose importante ! C'est la vie... Un ensemble comme il dit. Mais de quoi? La vie, c'est un ensemble de récits où tout peut s'y retrouver. La vie, c'est l'aventure, c'est l'amitié et l'amour... Mais dans toute chose, il y a un mal... Pourquoi ce mal existe-t-il? Dieu serait-il responsable de ce mal? Qu'est-ce qui peut supposer tel jugement sur Dieu? Après tout, nous faisons également le mal sans faire le mal... Voici de drôles de paroles... Chaque récit ne raconte pas n'importe quoi. Chaque récit à une vie, une histoire. Peu importe celui qui la raconte, ou la manière dont elle est racontée. Tout temps, à chaque époque, à chaque année, chaque mois, jour, heure et seconde... Il y a un écrivain qui peut se lancer et changer un monde... Ce monde aujourd'hui bien fatigant commence à se réveiller... Il réagit

*Ecoutez le coeur du monde* *Ecoutez ses paroles et sa respiration*

Le monde vit, tout comme un être vivant, il a besoin de respirer et de vivre... Ce monde peut mourir et laisser place au chaos. Il ne veut pas ça... Il combat, il souffre... L'homme se rend-il compte de sa souffrance? Par moment, il existe que des gens, au coeur dit pur, ou de cristal, l'entendent et se rendent compte que notre monde doit vivre et que sans lui, nous n'existerons pas. Nous avons une grande richesse, aujourd'hui trop exploitée. Mais un jour... il triomphera de sa douleur... Le monde se régénèrera et le mal en sera que plus fort... Il reviendra... Non!!! Il ne pourra y revenir? Non non non !!!

Mais aujourd'hui, c'est il était une fois... lui, eux, nous... Un monde déchu par le chaos, combattre est la seule chose qui puisse régner dans nos terres. Un homme parmi eux apparaîtra, laissant place à une fin comme il en existera pas deux... Un mal inexistant et un bien existant? C'est comme ça qui voit le monde, qu'il le verra, ou l'aurait-il déjà vu ainsi? ...
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--La mort n'est pas triste ; ce qui est triste, c'est que les gens ne vivent pas vraiment.--
--Seul le courage est dieu dans le coeur des guerriers.--

[orunitia bibi]

Chapitre premier : Les larmes d'un soldat

Soldat - Je n'ai jamais compris pourquoi les Dieux m'ont épargné. Serait-il possible que...
Père du soldat - Eh fiston ! Arrête de penser à tout ce qui s'est passé avant... Viens par ici !
Soldat - Oui père, me voici. Que dois-je faire?
Père du soldat - Regarde la haut ! Tu vois cette lueur ? C'est la fin d'une lutte interminable entre les zhoms et les démons... Ca fait des siècles et des siècles que ce combat à commencer fiston.
Soldat - Père... J'ai un mauvais préssentiment ! N'y allons pas... Quelque chose na va pas se dérouler très bien... J'en suis persuadé.

Sans répondre, le père du jeune homme grimpa la colline menant au combat... Le soldat le suivi, méfiant, terrifié. Des doutes s'installèrent en lui, un pressentiment si fort qu'un larme coula... Il savait qu'il se passerait quelque chose de pas très bien, voir quelque chose qui bouleverserait sa vie dans ce monde.

Soldat - père, je te le demande encore une fois ! N'y allons pas !

Ce-dernier, sans répondre interrompit sa monté, pour mieux s'y relancer... Le sommet était proche. Il grimpait à vive allure. Il était fort bâti, de longs cheveux noirs, une marque couvrait son dos, une balafre sur le visage, une tunique noire comme seul vêtement de guerre... Il se battait comme un lion enragé, surtout quand il utilisait son arme favorite, la pertuisane. Il s'était souvent entrainé avec les plus grand de ce monde...

*Plus que 30 mètres, 29, 28,...*

Le soldat était tout autre. Il était pas très grand, et pas si bâti. Il ne se battait que parce qu'on lui donnait des ordres. Il en avait horreur de tous ces combats. A l'inverse de son père, celui-ci pratiquait la magie noire. Il était plutôt intelligent pour son jeune âge... Il était de loin, le plus jeune de l'armé humaine.

*10, 9, 8, 7,...*

Un père, un fils, un combat entre deux nations. Qu'adviendra-t-il de tout ceci dans cette lutte? On part pas au combat quand on a dix ans... On ne lutte que si la diplomatie ne donne aucun succès... La peur se fait sentir, il sait que c'est bientôt la fin... Mais de quoi? Il l'ignore...

*3, 2, 1,...*

Père du soldat - On y est fiston... Tu es prêt?
Soldat - Père...

C'est trop tard, le chemin ne peut être rebroussé... Ils s'élancent dans la bataille, le sang, la mort... la peur ! Tout se lie sur les visages des guerriers encore debout... Les démons prennent l'avantage... Ils sont plus nombreux, plus fort, plus motivé. Même dans la douleur, ils combattent... Faut l'admettre, c'est une race forte...

*Pourquoi un tel acharnement... Tout aurait-il pu être différent?*

Nous avons souvent lutté pour le bien de notre peuple. Aujourd'hui, cela risque d'être un combat plutôt difficile. Le père du jeune homme à pas mal d'année d'expérience depuis le jour où il a rencontré un ami, son ami... son meilleur amis. Aujourd'hui, cet homme est mort. Il était vieux, sage, un regard reposant. Le soldat l'appelait Ange. Quand il le contemplais, il croyait voir un ange. C'était quelqu'un de formidable. Un ami qui vous aide quand vous en avez le plus besoin, un ami qui vous a sauvé la vie au péril de la sienne. Cet ange... à sauvé le père... Celui-ci en pleur encore, comme son fils d'ailleurs...

Père du soldat - Tu vois cette tour la-bas? C'est l'une des vieilles entrées de Pendora... Nous devons nous y faufiler afin d'éliminer certains de leurs prêtres...
Soldat - ... Je.. Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée père. Il y a un truc étrange ici. Une force qui semble venir d'ailleurs... Elle n'est pas sur ce champs de bataille pour le moment, mais elle s'y rapproche rapidement.
Père du soldat - Ne t'en fais pas, nous y arriverons... Je l'ai promis à mon ami et à ma femme.

Ils se précipitèrent sur la tour, éliminant quelques démons au passage. Ils arrivèrent, après 20 minutes de course impitoyable et interminable. Devant cette étrange porte se trouvait un soldat. Que faisait-il là? Il n'y était pas, ni sa force ne se fut ressenti par le jeune soldat. Son doute serait-il réel? L'avait-il vraiment...

*D'un coup de lame, d'un coup de sabre, il extermina deux démons qui s'étaient glissés derrière lui.*

Inconnu - Pitoyable vermines... Vous me faites perdre de mon temps...
*Se retournant, il fixa le père du soldat et, en courant, se rua sur celui-ci.*

Inconnu - Prépare-toi guerrier ! Ton tour est venu. Tu vas mourir aujourd'hui.
Soldat - PÈEEERRRREEEEE
Inconnu - Alors guerrier, tu ne prends pas position?
Père du soldat - Hum... Quelle force... Ceci risque d'être intéressant. Aller, viens te faire prendre une bonne raclé, manant !

*La pertuisane était une arme unique. elle faisait un son magnifique au contact d'une autre lame. Cet homme, par contre, utilisait une épée à deux mains. Elle était magnifique. Une lame avec des drôles d'inscriptions, des rayures sur le manche, orné d'une tête de dragon à l'extrémité de ce manche.*

Un pressentiment, un doute vint s'installer dans l'esprit du jeune soldat. Quand soudain, semblant venir de nul part, une tornade sépara les guerriers. L'inconnu parti et entra dans la tour... Mon père fut cloué au sol. Un guerrier, recouvert d'une tunique sombre sauta sur mon père et, s'en qu'il n'eut pu se défendre, le transperça, une dague en plein coeur. Le père du guerrier tomba, mort sur le coup.

Soldat - Papa... non... C'est pas vrai... C'est impossible, PEEEERRRREEEE cria-t-il en pleurant, père, je ne peux y croire, ne m'abandonnez pas, je veux pas vous perdre.

Le soldat pleura, versa toutes ses larmes que son corps pouvait lui donner. Il fixa l'assassin d'un regard meurtrier. Celui-ci, regard masqué, quitta le champs de bataille...

Soldat - Papa... J'aurais voulu te dire toutes ces choses que je n'osais pas te dire. Et aujourd'hui, tu n'es plus. T'es plus la pour veiller sur moi. Que vais-je devenir sans toi, pleura-t-il, J'ai tant besoin de toi papa. Pourquoi... pourquoi toi... Tu était si brave, si généreux, tu ne pouvais pas faire ça... Dieu, pourquoi avoir laissé faire ça?

Le soldat, seul, enterra son père, jura que vengeance sera faite. Se retournant vers Dieu, il lui demanda pardon et qu'il ne laisserais ni remord ni pitié envers le mal qui se dressera devant lui.

Soldat - Quiconque s'interposera, devra en payer le prix...



FIN DE PREMIER CHAPITRE
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[orunitia bibi]

Chapitre 2 : Le passé (première partie)

Souvent, il pleut ! Aujourd'hui, nous avons de la chance. Le soleil brille de mille éclats.

? - Papa, papa, regarde ce que j'ai trouvé !

Les lumières, les ténèbres, tout ce disperse quand l'avenir rejoint le passé. Il était une fois... un jeune enfant au talent surprenant. Il s'appelait Ille et son rêve était d'être comme son père... Souvent, il rejoignait la forêt pour retrouver ses amis. La forêt était un lieu saint, bénit de tout les Dieux... Ille aimait s'y rendre. Avec ses compagnons, ils jouaient à toute sortes de jeux enfantins. Quoi de plus normal après tout. Il est encore jeune... Des heures passèrent, son père s'inquiétait et alla le rejoindre.

Père d'Ille - IIILLE, OÙ ES-TU?

Aucune réponse. Mais petit farceur, il sauta sur le dos de son père, tout en riant.

Père d'Ille - Petit filou va ! Ca fait longtemps que je te cherche fiston...
Ille : PAPA, ça va bien?

Père fils, une amitié intense unissait ces deux êtres. Ille regardait chacun de ses mouvements quand il était avec son père... Il voulait être lui. C'était un idole, un sage, un être merveilleux?

Mais un jour...

Les démons vinrent dans cette forêt. Blessés, ensanglantés. Avec eux, un corps meurtri. L'un deux était un mini dragon, une carrure impressionnante. Des yeux "sauvages" qui exprimaient de la haine. Mais envers qui? Le dragon se lança dans une conversation avec le père. Celui-ci voudrait repos dans l'une des chambres pour ses soldats. Que s'était-il passé?
Mon père acquiesça. Il leur donna une chambre, mais une chambre pour tous. Dans les minutes qui suivirent, le ciel devint rouge sang. Ille en avait les yeux qui pleuraient... Le père interéssé, questionna sur tout ce qui pouvait se passer. Le dragon l'invita dehors, il était mal installé pour discuté à l'intérieur.

Dragon - Nous ne vous voulons aucun mal, hu...main !
Père d'Ille - J'aime pas les belles paroles, venons-en au fait ! Que se passe-t-il? C'est quoi ce ciel rouge?
Dragon - C'est très simple... Tout à commencé... Les démons...ont déclaré la guerre aux humains...
Père d'Ille - ...
Dragon - Nous avons refusé le combat. De ce fait, les démons nous ont poursuivi jusque ici... L'un des notres est mort. Les autres sont blessés.
Père d'Ille - Ces démons, vous ont-ils suivis jusqu'ici? Si oui, partez... Je ne veux pas mettre la vie de ma famille en danger.

A travers la forêt, des tambours se fient entendre. La marche des centaures avait commencé. Un combat allait commencé.

Ille - Les arbres... parlent... Je les entend papa... J'ai peur

Ille sauta dans les bras de sa mère, installé à ses cotés. Sa mère était magicienne. Une jolie femme pour ses quelques trente ans. Elle était souvent bien vêtu. Une belle robe pour une belle femme, quoi de plus normal... Elle était souriante tout le temps, rare étaient les moments où elle ne l'était pas.

D'un mouvement de recul, le dragon fixa Ille, les yeux grands ouverts. Le dragon aurait-il senti quelque chose de particulier en ce jeune homme? Sinon, qu'expliquerait ce regard et ce mouvement?
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--La mort n'est pas triste ; ce qui est triste, c'est que les gens ne vivent pas vraiment.--
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