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[Yamael]

hum, désolé...

Ah, Pandora... Que de bons souvenirs... Les petites tortures, les manipulations dans l'ombre, les coups de gueules !
Yamaël en a la larme à l'oeil.
Attila, confiant, décide alors de commencer. Comme à son habitude, il avale le verre d'un cul sec franchement sec (pour une fois qu'on n'insite pas sur le cul)
Yamaël boit son verre tranquillement, chaque goutte de liquide lui rappelant, avec un brin de nostalgie, un bon moment passé avec son peuple.

Accusation de triche! Ce dernier tenterai de diluer son breuvage avec des larmes !! Mais, les larmes démoniaques, quand elles existent, sont de puissants poisons, lorsqu'elles ne sont pas à un pH proche de 0,2 (ça pique très fort quoi).

Le match reprend donc, les amis d'antan (et de voir... waw j'ai la pêche), les yeux dans les... choses qui servent de nyeux à Yamaël. Aucun regard n'est accordé au breuvage, et celui-ci s'en trouve tout déconfit. Moins de sucre, donc, et par là même, plus de goût, le vrai, le pur, le dur, celui qu'on a en bouche après avoir dépecé un adversaire encore vivant, et commencé à machouiller la peau en le regardant...

Je m'égare (d'autant plus qu'Attila a des problèmes de transports en ce moment je crois).

La septième tournée. Chiffre fatidique. Les sept fanatiques. Il faut croire que les verres connaissaient l'histoire : c'est le dernier des moisissants (le pandora pas frais à cette tendance amusante) qui aura raison du démon à six bras. Ceux-ci retombent l'un après l'autre (imaginez la scène, c'est nettement plus marrant que tous en même temps). Puis la tête, alouette.
C'en est fini de ce duel au sommet. (sisi, celui de poussière dans l'auberge, pas nettoyée depuis un moment)

yamaël =>1.62g/l
Attila =>2.70g/l

Ici les studios, à vous l'auberge
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

hum, désolé...

Ah, Pandora... Que de bons souvenirs... Les petites tortures, les manipulations dans l'ombre, les coups de gueules !
Yamaël en a la larme à l'oeil.
Attila, confiant, décide alors de commencer. Comme à son habitude, il avale le verre d'un cul sec franchement sec (pour une fois qu'on n'insite pas sur le cul)
Yamaël boit son verre tranquillement, chaque goutte de liquide lui rappelant, avec un brin de nostalgie, un bon moment passé avec son peuple.

Accusation de triche! Ce dernier tenterai de diluer son breuvage avec des larmes !! Mais, les larmes démoniaques, quand elles existent, sont de puissants poisons, lorsqu'elles ne sont pas à un pH proche de 0,2 (ça pique très fort quoi).

Le match reprend donc, les amis d'antan (et de voir... waw j'ai la pêche), les yeux dans les... choses qui servent de nyeux à Yamaël. Aucun regard n'est accordé au breuvage, et celui-ci s'en trouve tout déconfit. Moins de sucre, donc, et par là même, plus de goût, le vrai, le pur, le dur, celui qu'on a en bouche après avoir dépecé un adversaire encore vivant, et commencé à machouiller la peau en le regardant...

Je m'égare (d'autant plus qu'Attila a des problèmes de transports en ce moment je crois).

La septième tournée. Chiffre fatidique. Les sept fanatiques. Il faut croire que les verres connaissaient l'histoire : c'est le dernier des moisissants (le pandora pas frais à cette tendance amusante) qui aura raison du démon à six bras. Ceux-ci retombent l'un après l'autre (imaginez la scène, c'est nettement plus marrant que tous en même temps). Puis la tête, alouette.
C'en est fini de ce duel au sommet. (sisi, celui de poussière dans l'auberge, pas nettoyée depuis un moment)

yamaël =>1.62g/l
Attila =>2.70g/l

Ici les studios, à vous l'auberge
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo