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[oltaric]

1- Lecture...

« Tant le vent va à l’eau que le cruche se vide… non pas ça ! Si tu bois de l’eau croupie, d’autant de verres tu seras dégarni ! Raaaaaaaaaaaaa… flute de proverbes à deux cailloux ! » Maugréa l’être entre deux jets rageurs d’objets invisibles. A ses côtés se tenait, se tenait un second être très chétif qui le regardait avec plein d’admirations et buvait ses paroles sans interruption.

« Si un grain de riz suffit à faire pousser la forêt, alors la maison ne prendra feu ! … Ridicule ! Tant va le poil à la barbe, qu’à la fin les souris dansent… Mais qu’est-ce que ce parchemin, jeune disciple ?
- Mes réflexions comme tu me l’avais demandé, Maître ? répondit le petit avec un regard angélique
- Je ne t’ai pas demandé non plus de respirer de la verdure fumée en même temps !
- Maître, êtes-vous déçu par mon travail ?
- Désappointé plutôt… enfin bref reprenons… Où en es-tu de la traduction du manuscrit ?
- J’ai peu avancé maître… Ce parlé ancien respecte une certaine logique, mais es totalement dénoué de sens ! On dirait qu’il reprend tous les caractères existants de toutes nos langues connues.
- Oui c’est ce que j’ai constaté aussi. As-tu des infos quant à cette suite de couleurs ?
- Je suis désolé Maître, mais j’ai seulement pu identifier les couleurs utilisées. Après leur utilisation défit toute logique.
- Rappelle-moi ces couleurs s’il te plait ?
- Le noir, qui semblerait être la couleur de base, le gris, le bleu, le rouge et le jaune. Enfin le vert qui semble revenir plus souvent que les autres.
- Es-tu d’avoir vraiment cherché dans toute la bibliothèque ?
- Oui Maître… Enfin je crois » dit-il penaud
- Bon si je comprends il est temps de passer à une leçon d’histoire. Va me chercher dans la section chroniques, à la lettre B, le livre… hum… finalement choisi celui de que tu veux dans cette partie. »

Le jeune disciple courut à la bibliothèque, se rendit à l’endroit indiqué et pour y découvrir quelques anciennetés, des livres, des reliques mêmes qui bizarrement avaient depuis toujours échappés à son regard. Il passa la main doucement le long de la première couverture et dépoussiéra les écritures :

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1- Lecture...

« Tant le vent va à l’eau que le cruche se vide… non pas ça ! Si tu bois de l’eau croupie, d’autant de verres tu seras dégarni ! Raaaaaaaaaaaaa… flute de proverbes à deux cailloux ! » Maugréa l’être entre deux jets rageurs d’objets invisibles. A ses côtés se tenait, se tenait un second être très chétif qui le regardait avec plein d’admirations et buvait ses paroles sans interruption.

« Si un grain de riz suffit à faire pousser la forêt, alors la maison ne prendra feu ! … Ridicule ! Tant va le poil à la barbe, qu’à la fin les souris dansent… Mais qu’est-ce que ce parchemin, jeune disciple ?
- Mes réflexions comme tu me l’avais demandé, Maître ? répondit le petit avec un regard angélique
- Je ne t’ai pas demandé non plus de respirer de la verdure fumée en même temps !
- Maître, êtes-vous déçu par mon travail ?
- Désappointé plutôt… enfin bref reprenons… Où en es-tu de la traduction du manuscrit ?
- J’ai peu avancé maître… Ce parlé ancien respecte une certaine logique, mais es totalement dénoué de sens ! On dirait qu’il reprend tous les caractères existants de toutes nos langues connues.
- Oui c’est ce que j’ai constaté aussi. As-tu des infos quant à cette suite de couleurs ?
- Je suis désolé Maître, mais j’ai seulement pu identifier les couleurs utilisées. Après leur utilisation défit toute logique.
- Rappelle-moi ces couleurs s’il te plait ?
- Le noir, qui semblerait être la couleur de base, le gris, le bleu, le rouge et le jaune. Enfin le vert qui semble revenir plus souvent que les autres.
- Es-tu d’avoir vraiment cherché dans toute la bibliothèque ?
- Oui Maître… Enfin je crois » dit-il penaud
- Bon si je comprends il est temps de passer à une leçon d’histoire. Va me chercher dans la section chroniques, à la lettre B, le livre… hum… finalement choisi celui de que tu veux dans cette partie. »

Le jeune disciple courut à la bibliothèque, se rendit à l’endroit indiqué et pour y découvrir quelques anciennetés, des livres, des reliques mêmes qui bizarrement avaient depuis toujours échappés à son regard. Il passa la main doucement le long de la première couverture et dépoussiéra les écritures :