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[Volke]

Introduction:


Douce mort, avide de pouvoir
Douce mort, montre moi le savoir
Faible vie, abandonne moi
Faible vie, sépare toi de moi
Je vais par delà la ligne
Je vais à la rencontre de signe


Ainsi nous quitta, la Princesse de La Nuit, reine des assassins. Elle s'est suicidée parce qu'elle s'était liée d'amitié, et on pensa d'amour, avec un homme. Elle fut plus honorable que certains et certaines, car elle avait retrouvé un peu de son sens du devoir en se donnant la mort. La lignée des assassins tombe à cause, principalement, de ce commandement.


J'étais partagé entre sentiment de peur, de joie et de naïveté.

De peur, parce que je ne voulais pas me faire plus d'ennemis que je n'en avais déjà. Même si, ne pas se faire d'ennemis, paraissait tache ardue pour un assassin.

De joie, parce que retrouver ce qui fait de moi un homme ne peut être que bon. Démon, humain, béonide ou centaure, chacun à besoin de bases pour avancer.

De naïveté, parce que j'ai l'espoir d'éclairer et sauver quelqu'un du fléau «  Homme ». Mais en même temps, peut-être que Cadfael en disant: «  Cela a peut-être changé depuis la dernière fois » avait raison.

Nauséabond. Je suis à cinq, peut-être même six cents mètre et cet air nauséabond c'est emparé de moi.

Je suis en face d'une lourde porte blindée, encadrée de deux larges tours de pierre énorme. J'entends une voix me crier d'en haut de décliner mon identité. Ce que je fais. Je lui donne même mes motivations ( qui sont évidemment fausses ne souhaitant pas révéler le véritable dessein de ma venu ). Enfin, il me répond que n'ayant reçu aucun nouvel ordre, il n'ouvrira pas la porte.

J'ai envie de repartir, parce que, j'ai l'impression que rien n'a changé.
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De retour.

[Volke]

Chapitre I : Bienvenue en terres hostiles.

Hans chevaucha au petit trot. Il paraissait fatigué, las, un peu sale aussi. Je l'entendis arrivé derrière moi. Il veillait sur un charriot remplit de pièces de catapultes, qu'il emmènait en Midgard ... Le vent, le froid, quelques feuilles frappaient son visage mais il restait maitre de ses émotions.
A l'approche de la tour de guet Est de la première enceinte de la belle cité de Midgard, il m'aperçut.

Il s'approcha lui aussi de cette grande porte voulant décharger son charriot à tous les coups. La main au fourreau il s'arrêta à quelques pas de moi puis me dit très amicalement:

- Bonjour étranger ! Je suis le Chevalier Hans Arkhador ! Qu'es ce qui t'amène par chez nous ?

- Ah. J'aimerais rentrer. Je vous attaque, je vais vous piller et vous voler. On tout bien tout honneur.


Volke sourit comme fier de ce qu'il venait de dire. Il attendait la réaction.

Titubant comme à son habitude, on ne pourrait croire que c'est un voleur. C'est ce qui fait surement toutes ses chances face à l'ennemi se souciant plus de l'apparence que des capacités.
Hans se mit à rire à gorge déployée ! Il répondit:

- Eh bien alors, vous êtes bien au pied de nos remparts, et vous devriez y rester, si tel est votre dessein !

Dit-il d'une voix grave et profonde, tout en me regardant comme s'il était le maitre du monde.

- Trêves de plaisanteries. J'ai affaire, mon nom est Volke ancien humain exilé. D'autres questions peut-être ?

- Vos motivations me sont obscure Messire Volke ...
Quel est donc la raison réel de votre retour ? Est ce que vous pensez vous pliez au code d'honneur humain ? Est ce que vous comptez restez parmi nous ? Est ce que vous pensez faire preuve d'abnégation envers votre peuple ?

Les questions, les questions, toujours les questions ... J'en avais ras le bol un peu épuisé par mon voyage quand une magicienne assez grande et longiligne passa. Elle dit à Hans ce qu'elle pensait de moi. Il ne dit rien. Qui était elle. Je l'avais déjà vu quelque part ...

Hans me fit signe de le suivre. Je m'exécutai.
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De retour.

[Volke]

Chapitre II: Le passé court très vite.


Hans était un peu gêné de mon attitudes. Titubant, tombant parfois rien à voir avec un assassin basique. Il sortit une bouteille d'hypocras, en but une gorgée comme s'il s'agissait d'eau.

- Merci de vos bons conseils Dame Hello ! Je vous souhaite une bonne route pour rejoindre nos temples ! Que Thor vous garde !

Me proposant une gorgée, que je dû refuser, ( je ne bois pas d'alcool ) je commençai à parler avec mon nouveau ... compagnon :

- Les gardes vont vous laissez passer ! bienvenue parmi nous ! Cependant, sachez que je vous ai à l'œil, au premier problème, je vous fait mettre dehors ... Et si vous commettez un crime, sachez qu'en cette cité, il ne reste jamais impuni ! Tenez vous le pour dit.
Quoi qu'il en soit je vous souhaite une bonne journée

Hans me regarda avec insistance. J'éclatai de rire puis pris la parole très rapidement de manière à ne pas perturber mon interlocuteur:

- Je ne connais pas ton nom au fait, quel est-il ?

Je souris amicalement, un peu naïf aussi peut-être.

- Je me nomme Hans, dit-il un peu vexé de ne pas l'avoir reconnu.

Je trébuchai, tombai, me relevai péniblement en me frottant le front qui venait se frapper le sol.

- Tu permets que je t'appelle Hans ? La dernière fois que je suis venu chez les hommes ils avaient, vous aviez, un système hiérarchique très complet. Quel rôle as-tu chez les hommes ?

En trébuchant je laissai ma capuche tomber et dévoiler quelques cicatrices. Très peu en comparaison avec celles que j'ai sur le corps.

- Notre système hiérarchique c'est simplifié depuis quelque temps... J'ai été diplomate de mon peuple et membre du conseil des sages... Mais aujourd'hui je n'ai pas de grade officielle. Tout comme beaucoup d'entre nous, disons que chez nous la parole d'anciens ayant prouver leur abnégation à notre peuple est très importante, ce qui ne nous empêche pas de tenir compte de la parole de jeunes talents, qui s'implique dans les affaires de notre peuple également.
Vous pouvez m'appelez Hans bien sur... N'hésitez pas à vous renseigner, il y a beaucoup de travail ici, pour les courageux qui veulent exercer un métier honnête, dit en se grattant le menton.

- Les métiers honnêtes ne sont pas fait pour moi.

Je souris quand trois hommes, un peu trop costaud pour moi, me virent et commencèrent à courir en ma direction.

- Tu m'excuseras mais je reste un assassin, je souris à nouveau et m'engagea dans une rue sombre pour tenter d'échapper à mes agresseurs.
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De retour.