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enors

Chapitre 1: Une vie qui s'annoncait difficile.

Je me présente, je suis quelqu'un. Je perds mes identités à chaque fois mais je ne sais pas pourquoi. C'est difficile de pensé que chaque jour tout peux s'arrêter, d'un coup, tout simplement. Je n'ai strictement aucune explication à toutes ces vies. Je ne serais vous expliquer ce qui se passe. J'ai juste remarqué que tout s'arrêté au pire des moments comme si quelqu'un tentait que toute ma vie, pardon, toutes mes vies, se passent dans le meilleurs des cas.

Ma première vie.

Ma mère m'a nommé Enors. Ma mère est très jolie. Vous la connaissez surement tous. C'est celle qui vous donne de beaux parchemins bien roulé, qui vous propose de vous entrainé pour une somme colossale, celle qui quand vous lui demandez un calin vous envoie respirez l'air de l'autre monde ! Oui vous l'avez deviné c'est la sorcière du village !

Quand à mon père, d'après ma mère il est mort. Vous savez elle pouvait se défendre car elle pratiquait des sorts redoutables que même les plus grands des mages xmiens ne connaissent pas. Mais lui ne savait que péniblement manier une arme. Et tout le monde connait l'attraction principal du village. Piller le village !

Mon père était donc mort à l'âge de 7 ans. A 7 ans perdre son père c'est dur. Mais si à ce moment là j'avais su tout ce qui allais se passé dans ma mes vies, hahaha, j'aurais rigolé devant le cadavre de mon père...

Cette fois-ci le pilleur était très puissant, presque l'un des plus puissant. Ces 6 bras écarlate était synonime de la mort. Sa machoire était puissante ses jambes aussi l'était !
Il était l'incarnation du diable en personne ! Sees quelques larbins à ses cotés le nommé. Le Saigneur de Guerre. Il était le Gardien des portes de Pandora. Son nom glacés la sang. Lui qui en avait fait tant coulé.

Il s'approcha de notre bâtisse, il s'appreta d'un souffle à la faire voler en éclat, quand mon abruti de père sortit une épée à la main. Il était 5 fois moins grand que le démon.

Re...retourne d'où tuuu...d'où tu viens !

Mmmh mmmh mmmh... Tu me fais encore plus pitié que mes larbins.

Le démon, leva le bras entier et son poing, aussi gros que mon père, vint s'écrassait sur ce dernier. On aurait presque dit qu'il voulait le plonger aux Enfers.

Et tout s'enchaina vite derière...
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Je suis un corbeau.
Tel un rapace je serai opportuniste.

enors

Chapitre 2 : Le Béonide et Stoneleg.

Quelques mois passèrent.

D'autre pillage eurent lieu mais moins violents et nous pouvions donc sans trop de problème repousser les assailants.

Mais un jour, un jour de plus, un jour normal me dirait vous, un béonide fort mais de petite taille arriva dans l'enceinte du village. A première vue il ne paraissait pas hostile, plutot chaleureux. Mais lorsque des nombreux mandiant de notre hameau vint lui demander de quoi vivre une journée de plus, il sortit une magnifique dague.

J'avais dejà vu ce couteau dans les livres de maman: