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[Yamael]

[il s'agit ici des débuts de mon perso, écrits il y a un moment mais gardé en vue d'amélioration... un jour, faudra que je recolle et refasse tous les bouts ^^')

Yamaël est né d'un père béonide et d'une mère démone. De ces parents, il n'a pas gardé de souvenirs, et de fait, les premiers souvenirs qu'il possède sont ceux d'une grotte, dans laquelle un vieux béonide puant, oublié de tous, vivait. Ou plutôt, survivait. L'ermite était fortement malade, et il mourut rapidement, laissant le jeune métis seul. Mais le béoniide avait pris soin d'apprendre à lire à son cadet, et lui avait laissé nombre d'ouvrages racontant l'histoire du monde tel qu'il la connaissait, et bien d'autres choses...

Yamaël se contenta longtemps de cette vie passée à apprendre dans les livres, vivant de chasse de petit gibier. Un froid matin d'hiver, alors qu'il pistait un cerf, il découvrit... un démon. Tout dans sa morphologie laissait transparaitre sa puissance. Il portait une armure légère qui épousait parfaitement son corps, et laissait une parfaite mobilité à ses six bras. A son côté pendait une longue rapière, dans un fourreau sur lequel étaient gravés des signes que Yamaël ne comprenait pas. C'était le premier être vivant qu'il rencontrait depuis le vieil ermitte. Il cru avoir en face de lui un béonide, car il lui semblait que l'être en face de lui était un mélange entre lui et l'ermitte. Il essaya de se rapeller les formules de politesse qu'il avait apprise, et engagea:

-Bien le bonjour à toi, honorable et valeureux guerrier béonide!

Le démon se retourna, et son visage grimaça de colère. Avant que Yamaël eut le temps de comprendre ce qui se passait, il avait reçu de plein fouet toute la masse de son adversaire inattendu. Il essaya de lutter, mais la force et l'expérience du démon eurent tôt fait d'avoir raison de lui. De fait, il n'avait eu jusqu'ici qu'à combattre des sangliers récalcitrants, et les livres ne sont d'aucun secours dans ce genre de cas...

-Comment ose-tu m'insulter alors que tu es si faible? je m'attendais au moins à un peu plus de résistance, pour un jeune si prétentieux!

Yamaël s'étrangla.

-T'insulter? Mais...

-Comment peux-tu me prendre pour un béonide? je suis démon!

Au regard étonné de Yamaël, le démon compris.

-Tu n'avais jamais vu de démon avant? Mais pourtant... tu es démon! Comment se fait-il que tu ne connaisse pas ceux de ta race? Tu as été enlevé par les béonides? Pourtant il me semblait qu'il mangeaient tous ceux qui tombaient sous leurs coups...

-De quoi parles-tu? Je suis béonide!
-Je vois... Je pense que tu as du sang béonide, en effet. Ton regard n'est pas celui d'un démon. Mais ton apparence est celle d'un démon. Alors méfies-toi. Au passage, je me nomme Attila.

Et Attila se lia d'amitié avec le jeune métis. Il lui appris à se battre. Il lui appris le courage, la loyauté, mais aussi la colère, la cruauté, e toute chose qu'un démon se doit de posséder. Mais yamaël n'était pas doué pour ce côté "obscur" de lui-même, son sang béonide se révoltant quand il essayait d'imiter son ainé. Attila emmena le jeune démon vers la civilisation, si tel est le nom que l'on puisse lui donner. Il lui montra la guerre, les pillages, les massacres...
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

[il s'agit ici des débuts de mon perso, écrits il y a un moment mais gardé en vue d'amélioration... un jour, faudra que je recolle et refasse tous les bouts ^^')

Yamaël est né d'un père béonide et d'une mère démone. De ces parents, il n'a pas gardé de souvenirs, et de fait, les premiers souvenirs qu'il possède sont ceux d'une grotte, dans laquelle un vieux béonide puant, oublié de tous, vivait. Ou plutôt, survivait. L'ermite était fortement malade, et il mourut rapidement, laissant le jeune métis seul. Mais le béoniide avait pris soin d'apprendre à lire à son cadet, et lui avait laissé nombre d'ouvrages racontant l'histoire du monde tel qu'il la connaissait, et bien d'autres choses...

Yamaël se contenta longtemps de cette vie passée à apprendre dans les livres, vivant de chasse de petit gibier. Un froid matin d'hiver, alors qu'il pistait un cerf, il découvrit... un démon. Tout dans sa morphologie laissait transparaitre sa puissance. Il portait une armure légère qui épousait parfaitement son corps, et laissait une parfaite mobilité à ses six bras. A son côté pendait une longue rapière, dans un fourreau sur lequel étaient gravés des signes que Yamaël ne comprenait pas. C'était le premier être vivant qu'il rencontrait depuis le vieil ermitte. Il cru avoir en face de lui un béonide, car il lui semblait que l'être en face de lui était un mélange entre lui et l'ermitte. Il essaya de se rapeller les formules de politesse qu'il avait apprise, et engagea:

-Bien le bonjour à toi, honorable et valeureux guerrier béonide!

Le démon se retourna, et son visage grimaça de colère. Avant que Yamaël eut le temps de comprendre ce qui se passait, il avait reçu de plein fouet toute la masse de son adversaire inattendu. Il essaya de lutter, mais la force et l'expérience du démon eurent tôt fait d'avoir raison de lui. De fait, il n'avait eu jusqu'ici qu'à combattre des sangliers récalcitrants, et les livres ne sont d'aucun secours dans ce genre de cas...

-Comment ose-tu m'insulter alors que tu es si faible? je m'attendais au moins à un peu plus de résistance, pour un jeune si prétentieux!

Yamaël s'étrangla.

-T'insulter? Mais...

-Comment peux-tu me prendre pour un béonide? je suis démon!

Au regard étonné de Yamaël, le démon compris.

-Tu n'avais jamais vu de démon avant? Mais pourtant... tu es démon! Comment se fait-il que tu ne connaisse pas ceux de ta race? Tu as été enlevé par les béonides? Pourtant il me semblait qu'il mangeaient tous ceux qui tombaient sous leurs coups...

-De quoi parles-tu? Je suis béonide!
-Je vois... Je pense que tu as du sang béonide, en effet. Ton regard n'est pas celui d'un démon. Mais ton apparence est celle d'un démon. Alors méfies-toi. Au passage, je me nomme Attila.

Et Attila se lia d'amitié avec le jeune métis. Il lui appris à se battre. Il lui appris le courage, la loyauté, mais aussi la colère, la cruauté, e toute chose qu'un démon se doit de posséder. Mais yamaël n'était pas doué pour ce côté "obscur" de lui-même, son sang béonide se révoltant quand il essayait d'imiter son ainé. Attila emmena le jeune démon vers la civilisation, si tel est le nom que l'on puisse lui donner. Il lui montra la guerre, les pillages, les massacres...
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pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

Yamaël restait malgrés tous les efforts de son tuteur en dehors des combats, et n'arrivait pas à tuer ce qu'il considéraient comme des êtres pensant.Il ne réprimendait pas son compagnon de voyage, il savait que cela était sa nature. De son côté, il apprenait à se sevrir de ses armes, un bouclier à moitié défoncé ramassé sur le cadavre encore chaud d'un nain, et une épée rouillée que attila avait retiré du corps moisissant d'un être dont on ne parvenait plus à définir la race. Flanqué de ce maigre équipement, il s'entrainait tous les soirs contre son professeur, qui pour sa part se suffisait d'une branche.

Les combats entre les deux démons n'en étaient pas, le jeune hybride subissait, Attila frappait. Le bouclier trop petit et l'arme trop lourde empêchait le jeune démon inexpérimenté de bien se mouvoir. Mais cela lui permit d'apprendre à se servir des avantages de sa constitution, et il appris peu à peu à se déplacer avec aisance, bien qu'il dût pour cela abandonner le port du bouclier. Ses mouvements devenaient rapides, mais il dépensait encore beaucoup trop d'énergie dans des mouvements inutile, et essayait de toucher son adversaire sans se préoccuper de sa défense. Lors d'un entrainement, son compagon lui assénat un violent coup, fatigué de devoir répéter toujours les mêmes conseils, et la douleur que ressentit le jeune démon fut plus démagogue que le meilleur des professeurs.
_________________
pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

Yamaël restait malgrés tous les efforts de son tuteur en dehors des combats, et n'arrivait pas à tuer ce qu'il considéraient comme des êtres pensant.Il ne réprimendait pas son compagnon de voyage, il savait que cela était sa nature. De son côté, il apprenait à se sevrir de ses armes, un bouclier à moitié défoncé ramassé sur le cadavre encore chaud d'un nain, et une épée rouillée que attila avait retiré du corps moisissant d'un être dont on ne parvenait plus à définir la race. Flanqué de ce maigre équipement, il s'entrainait tous les soirs contre son professeur, qui pour sa part se suffisait d'une branche.

Les combats entre les deux démons n'en étaient pas, le jeune hybride subissait, Attila frappait. Le bouclier trop petit et l'arme trop lourde empêchait le jeune démon inexpérimenté de bien se mouvoir. Mais cela lui permit d'apprendre à se servir des avantages de sa constitution, et il appris peu à peu à se déplacer avec aisance, bien qu'il dût pour cela abandonner le port du bouclier. Ses mouvements devenaient rapides, mais il dépensait encore beaucoup trop d'énergie dans des mouvements inutile, et essayait de toucher son adversaire sans se préoccuper de sa défense. Lors d'un entrainement, son compagon lui assénat un violent coup, fatigué de devoir répéter toujours les mêmes conseils, et la douleur que ressentit le jeune démon fut plus démagogue que le meilleur des professeurs.
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pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

Une belle matinée d'automne. La pluie revigore les quelques buissons épars, déssechés par la violence de l'été précédent. Les animaux se sont réfugiés, on n'entend pas un bruit. Pas un bruit, si ce n'est le martèlement régulier des pas d'un démon lourdement armé, et, si l'on fais bien attention, les pas légers d'un compagnon de voyage, ponctuée d'accélérations rapides. Sans doute ce dernier n'est-il pas de constitution aussi imposante que le premier.

Soudain, un cri. Repris par un autre. Puis plusieurs autres, jusqu'à devenir un grondement sourd, venant de toutes parts. Une embuscade. Des centaures. Le premier, le deuxième à lancer son cri de guerre, se jette sur le plus imposant des démons, sa lance visant le coeur.Le plus jeune des démons reste interdit. Les combats, jusqu'à aujourd'hui, il ne les a vécu qu'en tant qu'observateur. Il observait, son compagnon agissait. Cette fois, c'était différent. Pas d'échapatoire. Il devrait combattre.

Attila dévia la lance d'un revers de bouclier, mis un violent coup d'épaule au centaure qui le chargeait et l'envoya rouler un peu plus loin. Avant que Yamaël ait pu se ressaisir, il vît le démon se jeter sur lui et le repousser d'un revers du bras et donner un coup qui aurait fendu une souche en deux; il prit un arbre de plein fouet et sa vue se brouilla.

Lorsqu'il put récupérer l'usage de ses sens, il ne restait plus grand chose de la petite troupe de centaures qui les avait surpris un instant plus tôt. Il ne vît pas son compagnon tout de suite. Il le chercha, et l'apperçut, son arme brisée, un de ses six bras ensanglantés, face à un centaure qui le menacait de son épée. Yamaël se rua alors au secours de son compagnon, et il hurla pour se donner le courage nécessaire. Cela fût as première erreur. Le centaure se l'entrevît et rua violemment. Si attila ne s'était pas alors jeté sur le centaure de toute sa masse, déséquilibrant celui-ci, le jeune démon aurait sûrement fini le crâne éclaté par un sabot, la cervelle éparpillée à 2m à la ronde. Yamaël plongea, se redressa vivement et tenta une attaque directe sur le flan droit du centaure. Cela fût sa deuxième erreur. Le centaure portait son arme de la main droite, et n'eût aucun mal à contrer l'attaque d'un revers, renversant même le démon sous la puissance du coup.
Jugeant le jeune démon non dangereux, il retourna son attention sur Attila, qui gisait à terre, le souffle coupé. Yamaël se releva, bondissant sur le centaure en criant pour attirer son attention. Même attaque, même parade, même punition. C'est ainsi que réagît le centaure, et le démon l'espérait. Au moment de l'impact, il brisa son poignet, se pencha vivement en avant pour éviter le coup meurtrier de son adversaire, et aggripa au passage son bras. Il fût ainsi propulsé à grande vitesse, et se servit de cette force pour impliquer à son arme une puissance qu'il aurait été incapable de produire seul, et frappa le centaure dans le dos, perforant l'armure de celui-ci. Le sang coula à flot, et aspergea le démon. Son adversaire était vaincu. Il tomba lourdement au sol. Attila se redressait difficilement, souriant malgés ces blessures.
Le contact du sang d'un adversaire transcenda Yamaël. La sensation d'avoir tué. De s'être battu. D'avoir vaincu. D'ëtre vivant, alors que son adversaire était mort. Ses origines démones refîrent surface. Il perdit toute notion de la réalité. Il voulait du sang, plus de sang. Ses yeux reflétaient la folie. Il retira son épée du corps de sa victime, et la brisa en lui. Frénétiquement, il commenca à réduire le fier centaure qui se tenait face à lui un instant plus tôt en tas de chair sanguinolente. Il brisa les os un à un, et ne relacha son attention de ce qui restait du cadavre que lorsque celui-ci eût l'apparence d'un tapis de sang. Il récupéra les yeux, les avala, bût le sang coulant du coeur qui battait encore. Mais sa fureur destructrice n'était pas encore finie. Il chercha de nouveaux adversaires.
Attila ne s'en faisait pas. Il savait que le jeune démon ne s'attaquerait pas à lui. Pourtant, son jeune compagnon se jeta sur lui, et le mordit au bras blessé, lui arrachant un morceau de chair. Attila hurla. Yamaël hurla. Le sang d'un démon ne peut-être avalé que par un estomac particulièrement résistant, car il brûle d'une chaleur acide. Yamaël se rua vers un centaure agonisant, commenca à défoncer la boîte crânienne de celui-ci à coup de pierres, et avala goûlument son contenu. Cela ne calma pas sa douleur, mais le fît vomir. La douleur était atroce, et il ne parvenait plus à se tenir debout.

Attila s'approcha lentement du corps recroquevillé de son compagnon...
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pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo

[Yamael]

Une belle matinée d'automne. La pluie revigore les quelques buissons épars, déssechés par la violence de l'été précédent. Les animaux se sont réfugiés, on n'entend pas un bruit. Pas un bruit, si ce n'est le martèlement régulier des pas d'un démon lourdement armé, et, si l'on fais bien attention, les pas légers d'un compagnon de voyage, ponctuée d'accélérations rapides. Sans doute ce dernier n'est-il pas de constitution aussi imposante que le premier.

Soudain, un cri. Repris par un autre. Puis plusieurs autres, jusqu'à devenir un grondement sourd, venant de toutes parts. Une embuscade. Des centaures. Le premier, le deuxième à lancer son cri de guerre, se jette sur le plus imposant des démons, sa lance visant le coeur.Le plus jeune des démons reste interdit. Les combats, jusqu'à aujourd'hui, il ne les a vécu qu'en tant qu'observateur. Il observait, son compagnon agissait. Cette fois, c'était différent. Pas d'échapatoire. Il devrait combattre.

Attila dévia la lance d'un revers de bouclier, mis un violent coup d'épaule au centaure qui le chargeait et l'envoya rouler un peu plus loin. Avant que Yamaël ait pu se ressaisir, il vît le démon se jeter sur lui et le repousser d'un revers du bras et donner un coup qui aurait fendu une souche en deux; il prit un arbre de plein fouet et sa vue se brouilla.

Lorsqu'il put récupérer l'usage de ses sens, il ne restait plus grand chose de la petite troupe de centaures qui les avait surpris un instant plus tôt. Il ne vît pas son compagnon tout de suite. Il le chercha, et l'apperçut, son arme brisée, un de ses six bras ensanglantés, face à un centaure qui le menacait de son épée. Yamaël se rua alors au secours de son compagnon, et il hurla pour se donner le courage nécessaire. Cela fût as première erreur. Le centaure se l'entrevît et rua violemment. Si attila ne s'était pas alors jeté sur le centaure de toute sa masse, déséquilibrant celui-ci, le jeune démon aurait sûrement fini le crâne éclaté par un sabot, la cervelle éparpillée à 2m à la ronde. Yamaël plongea, se redressa vivement et tenta une attaque directe sur le flan droit du centaure. Cela fût sa deuxième erreur. Le centaure portait son arme de la main droite, et n'eût aucun mal à contrer l'attaque d'un revers, renversant même le démon sous la puissance du coup.
Jugeant le jeune démon non dangereux, il retourna son attention sur Attila, qui gisait à terre, le souffle coupé. Yamaël se releva, bondissant sur le centaure en criant pour attirer son attention. Même attaque, même parade, même punition. C'est ainsi que réagît le centaure, et le démon l'espérait. Au moment de l'impact, il brisa son poignet, se pencha vivement en avant pour éviter le coup meurtrier de son adversaire, et aggripa au passage son bras. Il fût ainsi propulsé à grande vitesse, et se servit de cette force pour impliquer à son arme une puissance qu'il aurait été incapable de produire seul, et frappa le centaure dans le dos, perforant l'armure de celui-ci. Le sang coula à flot, et aspergea le démon. Son adversaire était vaincu. Il tomba lourdement au sol. Attila se redressait difficilement, souriant malgés ces blessures.
Le contact du sang d'un adversaire transcenda Yamaël. La sensation d'avoir tué. De s'être battu. D'avoir vaincu. D'ëtre vivant, alors que son adversaire était mort. Ses origines démones refîrent surface. Il perdit toute notion de la réalité. Il voulait du sang, plus de sang. Ses yeux reflétaient la folie. Il retira son épée du corps de sa victime, et la brisa en lui. Frénétiquement, il commenca à réduire le fier centaure qui se tenait face à lui un instant plus tôt en tas de chair sanguinolente. Il brisa les os un à un, et ne relacha son attention de ce qui restait du cadavre que lorsque celui-ci eût l'apparence d'un tapis de sang. Il récupéra les yeux, les avala, bût le sang coulant du coeur qui battait encore. Mais sa fureur destructrice n'était pas encore finie. Il chercha de nouveaux adversaires.
Attila ne s'en faisait pas. Il savait que le jeune démon ne s'attaquerait pas à lui. Pourtant, son jeune compagnon se jeta sur lui, et le mordit au bras blessé, lui arrachant un morceau de chair. Attila hurla. Yamaël hurla. Le sang d'un démon ne peut-être avalé que par un estomac particulièrement résistant, car il brûle d'une chaleur acide. Yamaël se rua vers un centaure agonisant, commenca à défoncer la boîte crânienne de celui-ci à coup de pierres, et avala goûlument son contenu. Cela ne calma pas sa douleur, mais le fît vomir. La douleur était atroce, et il ne parvenait plus à se tenir debout.

Attila s'approcha lentement du corps recroquevillé de son compagnon...
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pas de repos. pas de question. pas de pitié.

Yamaël, Paladin de Diablo