forumxm.com

[Poppu]

Préambule :

Lasse de faire des potions, il décida de prendre l'air et de partir quelques jours chez un viel ami qui habitait au delà des montagnes, dans une contrée bien plus hostiles que l'on nommait les mines de Passalai. Là bas vivait un viel Hobbit qui faisait peur à la population environnante, mais entre vieux acariâtres on se comprenait beaucoup mieux, bref je vous passe les détails de leur rencontre, mais sachez qu'au fil du temps ils étaient devenus bon ami. Poppu prit donc ses affaires et un parchemin de téleportation et se rendit chez son ami en un battement de cil ( Qu'il est fort notre héros, n'est ce pas ?)

Celui-ci (l'hobbit) ne cachait plus sa joie de voir enfin de la compagnie et à peine Poppu arriva de se long voyage ( car il faisait croire qu'il venait en galoppant, n'oubliez pas que Poppu est un centaure) qu'il sortit une bouteille de liqueur de Chataigne et un jeu bizare, où il fallait former des mots avec des lettres, que personne ne comprenait. Bref, ils jouèrent, ils buvèrent jusqu'a plus soif quand tout d'un coup son ami hobbit qui s'appellait... (pourquoi le nommer il ne va pas rester très longtemps dans l'histoire, si, si, je vous le promets dans quelques lignes, PAF! Oublié l'hobbit acariâtre) lui dit : " Tiens j'ai trouvé ça par terre, ce sont encore ces humains rigolos qui l'ont laissé trainer par terre"
Car il faut savoir que notre ami hobbit sans nom avait de fréquentes visites d'humain qui venait toujours en groupe avec des machines de guerre qui envoit de la lumière et qu'il porte autour du coup, mais avec un peu de magie ils se mettent à courrir, ils sont beaucoup moins téméraire que les humains des contrées de XM.

Poppu le prit et reconnu la langue primitive, si bien qu'il pu déchiffrer instantanément le livre, il lu...

[Poppu]

Préambule :

Lasse de faire des potions, il décida de prendre l'air et de partir quelques jours chez un viel ami qui habitait au delà des montagnes, dans une contrée bien plus hostiles que l'on nommait les mines de Passalai. Là bas vivait un viel Hobbit qui faisait peur à la population environnante, mais entre vieux acariâtres on se comprenait beaucoup mieux, bref je vous passe les détails de leur rencontre, mais sachez qu'au fil du temps ils étaient devenus bon ami. Poppu prit donc ses affaires et un parchemin de téleportation et se rendit chez son ami en un battement de cil ( Qu'il est fort notre héros, n'est ce pas ?)

Celui-ci (l'hobbit) ne cachait plus sa joie de voir enfin de la compagnie et à peine Poppu arriva de se long voyage ( car il faisait croire qu'il venait en galoppant, n'oubliez pas que Poppu est un centaure) qu'il sortit une bouteille de liqueur de Chataigne et un jeu bizare, où il fallait former des mots avec des lettres, que personne ne comprenait. Bref, ils jouèrent, ils buvèrent jusqu'a plus soif quand tout d'un coup son ami hobbit qui s'appellait... (pourquoi le nommer il ne va pas rester très longtemps dans l'histoire, si, si, je vous le promets dans quelques lignes, PAF! Oublié l'hobbit acariâtre) lui dit : " Tiens j'ai trouvé ça par terre, ce sont encore ces humains rigolos qui l'ont laissé trainer par terre"
Car il faut savoir que notre ami hobbit sans nom avait de fréquentes visites d'humain qui venait toujours en groupe avec des machines de guerre qui envoit de la lumière et qu'il porte autour du coup, mais avec un peu de magie ils se mettent à courrir, ils sont beaucoup moins téméraire que les humains des contrées de XM.

Poppu le prit et reconnu la langue primitive, si bien qu'il pu déchiffrer instantanément le livre, il lu...

[Poppu]

Et Tig&TAg nacquis...


Il était une fois une fermière veuve qui avait deux bêtes,l'aînée s'appellait Oannès c'était un porcelet qui ressemblait si fort et d'humeur et de visage à la fermière, que qui voyait Oannès voyait la mère. Ils étaient tous les deux si désagréables et si orgueilleux qu'on ne pouvait vivre avec eux. Le cadet s'appellait tiganoff, c'était un petit poney qui était le vrai portrait du fermier pour la douceur et pour l'honnêteté et était avec cela un des plus beaux poneys qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette fermière était folle de Oannès, et en même temps avait une aversion effroyable pour tiganoff. Elle le faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.
Il fallait entre autres choses que ce pauvre poney allât deux fois par jour passer la charrue dans un champ.Un jour qu'il passait la charrue il rencontra un épouvantail qui lui pria de lui donner une potion de mana. Oui dà mon bon épouvantail, dit ce joli poney; et sortant aussitôt sa fiole, il lui concota la plus belle potion et le lui présenta. L'épouvantail ayant bu, lui dit : Vous êtes si beau, si bon, et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don ( car c'était la succube harxon qui avait pris la forme d'un pauvre épouvantail, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de ce jeune poney). Je vous donne pour don, poursuivit l'épouvantail, qu'a chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un parchemin, une arme ou une Pierre précieuse.
Lorsque Tiganoff arriva au logis, la fermière le gronda de revenir aussi tard du champ. Je vous demande pardon, ma fermière, dit ce pauvre poney, d'avoir tardé si longtemps; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux parchemins de teleportation, olog-haï, et 5000 po.Que vois-je ? dit la fermière tout étonnée; je crois qu'il lui sort de la bouche des armes et des parchemins; d'où vient cela mon Tiga ? (Ce fut là la première fois qu'elle l'appela mon Tiga.) Le pauvre Tiga lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de po. Vraiment, dit la fermière, il faut q ue j'y envoie mon porcelet; tenez, Oannès, voyez ce qui sort de la bouche de Tiganoff quand il parle; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le mêm don ? Vous n'avez qu'à concocter une potion de mana, et quand un pauvre épouvantail vous demandera une potion de mana, lui en donner bien honnêtement. Il me ferait beau voir, répondit le brutal, aller voir cet épouvantail. Je veux que vous y alliez, reprit la fermière, et tout à l'heure.
Il y alla, mais toujours en grondant. Il prit la plus belle fiole d'argent qui fût dans le logis.Il arriva alors devant une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander une potion de mana : c'était la même succube qui avait apparu à Tiganoff, mais qui avait pris l'air et les habits d'une princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de ce porcelet. Est ce que je suis ici venue, lui dit ce brutal orgueilleux, pour vous donner une potion de mana, justement j'en ai concoté une dans un flacon d'argent tout exprès pour vous Madame! J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez. Vous n'êtes guère honnête, repris la succube, sans se mettre en colère; hé bien! puisque vous êtes si peu obligeant, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, vous serez maudit pour 48h, et ferez que des jets ratés.
D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : Hé bien, mon porcinet! hé bien ma fermière! lui répondit le brutal, en se maudissant pour 48H et en perdant la moitié de sa vie. Ô Ciel ! S'écria la fermière, que vois-je là ? C'est ce poney qui en est cause, il me le payera; et aussitôt elle courut pour le battre. Le pauvre Tiga qui avait riposte la tua sur le coup, il décida de se sauver dans la forêt. Tagazok qui revenait de la chasse à l'humain le rencontra et le voyant si beau, lui demanda ce qu'il faisait là tout seul et ce qu'il avait à pleurer. Hélas! Monsieur,j'ai tué ma fermière avec riposte. Tagazok, qui vit sortir de sa bouche une potion de magie à plus de 5000 de bonus et autant en potion de mana, le pria de lui dire d'où cela lui venait. Il lui conta toute son avanture. Tagazok en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena dans son laboratoire où ils fondèrent leur première boutique. Pour Oannès, il fut tellement maudit et rata tellement ces jets qu'un jour son avatar ne se réincarna pas, il disparu à tout jamais de ces terres.

Moralité

Les popos et les uniques
peuvent beaucoup sur les esprits
cependant les gains d'xp
ont encore plus de force, et sont d'un plus grand prix






Poppu referma le livre. Histoire intéressante, ces légendes me disent quelque chose, mais il y a un je ne sais quoi de déformé, il faudra que j'étudie cela à mon retour.

[Poppu]

Et Tig&TAg nacquis...


Il était une fois une fermière veuve qui avait deux bêtes,l'aînée s'appellait Oannès c'était un porcelet qui ressemblait si fort et d'humeur et de visage à la fermière, que qui voyait Oannès voyait la mère. Ils étaient tous les deux si désagréables et si orgueilleux qu'on ne pouvait vivre avec eux. Le cadet s'appellait tiganoff, c'était un petit poney qui était le vrai portrait du fermier pour la douceur et pour l'honnêteté et était avec cela un des plus beaux poneys qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette fermière était folle de Oannès, et en même temps avait une aversion effroyable pour tiganoff. Elle le faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse.
Il fallait entre autres choses que ce pauvre poney allât deux fois par jour passer la charrue dans un champ.Un jour qu'il passait la charrue il rencontra un épouvantail qui lui pria de lui donner une potion de mana. Oui dà mon bon épouvantail, dit ce joli poney; et sortant aussitôt sa fiole, il lui concota la plus belle potion et le lui présenta. L'épouvantail ayant bu, lui dit : Vous êtes si beau, si bon, et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don ( car c'était la succube harxon qui avait pris la forme d'un pauvre épouvantail, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de ce jeune poney). Je vous donne pour don, poursuivit l'épouvantail, qu'a chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un parchemin, une arme ou une Pierre précieuse.
Lorsque Tiganoff arriva au logis, la fermière le gronda de revenir aussi tard du champ. Je vous demande pardon, ma fermière, dit ce pauvre poney, d'avoir tardé si longtemps; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux parchemins de teleportation, olog-haï, et 5000 po.Que vois-je ? dit la fermière tout étonnée; je crois qu'il lui sort de la bouche des armes et des parchemins; d'où vient cela mon Tiga ? (Ce fut là la première fois qu'elle l'appela mon Tiga.) Le pauvre Tiga lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de po. Vraiment, dit la fermière, il faut q ue j'y envoie mon porcelet; tenez, Oannès, voyez ce qui sort de la bouche de Tiganoff quand il parle; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le mêm don ? Vous n'avez qu'à concocter une potion de mana, et quand un pauvre épouvantail vous demandera une potion de mana, lui en donner bien honnêtement. Il me ferait beau voir, répondit le brutal, aller voir cet épouvantail. Je veux que vous y alliez, reprit la fermière, et tout à l'heure.
Il y alla, mais toujours en grondant. Il prit la plus belle fiole d'argent qui fût dans le logis.Il arriva alors devant une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander une potion de mana : c'était la même succube qui avait apparu à Tiganoff, mais qui avait pris l'air et les habits d'une princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de ce porcelet. Est ce que je suis ici venue, lui dit ce brutal orgueilleux, pour vous donner une potion de mana, justement j'en ai concoté une dans un flacon d'argent tout exprès pour vous Madame! J'en suis d'avis, buvez à même si vous voulez. Vous n'êtes guère honnête, repris la succube, sans se mettre en colère; hé bien! puisque vous êtes si peu obligeant, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, vous serez maudit pour 48h, et ferez que des jets ratés.
D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria : Hé bien, mon porcinet! hé bien ma fermière! lui répondit le brutal, en se maudissant pour 48H et en perdant la moitié de sa vie. Ô Ciel ! S'écria la fermière, que vois-je là ? C'est ce poney qui en est cause, il me le payera; et aussitôt elle courut pour le battre. Le pauvre Tiga qui avait riposte la tua sur le coup, il décida de se sauver dans la forêt. Tagazok qui revenait de la chasse à l'humain le rencontra et le voyant si beau, lui demanda ce qu'il faisait là tout seul et ce qu'il avait à pleurer. Hélas! Monsieur,j'ai tué ma fermière avec riposte. Tagazok, qui vit sortir de sa bouche une potion de magie à plus de 5000 de bonus et autant en potion de mana, le pria de lui dire d'où cela lui venait. Il lui conta toute son avanture. Tagazok en devint amoureux, et considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à un autre, l'emmena dans son laboratoire où ils fondèrent leur première boutique. Pour Oannès, il fut tellement maudit et rata tellement ces jets qu'un jour son avatar ne se réincarna pas, il disparu à tout jamais de ces terres.

Moralité

Les popos et les uniques
peuvent beaucoup sur les esprits
cependant les gains d'xp
ont encore plus de force, et sont d'un plus grand prix






Poppu referma le livre. Histoire intéressante, ces légendes me disent quelque chose, mais il y a un je ne sais quoi de déformé, il faudra que j'étudie cela à mon retour.

[Poppu]

Après avoir fait une bringue d'enfer Poppu repartit en chemin en remerciant une fois de plus son ami de ce court séjour, mais fort agréable. (je vous l'avait dit qu'il n'allait pas rester longtemps dans l'histoire cet Hobbit!) N'étant pas pressé de rentrer, il n'utilisa de parchemin cette fois ci et se mit à galopper en direction de la montagne pour pouvoir rentrer chez lui. A la nuit tombante il s'arrêta et après s'être restaurer il prit le livre et lu une histoire.


La rencontre de Sokaris et d'Ariès


Il était une fois un petit garçon de village, le plus joli qu'on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le petit Sokaris, sans personne ne sache pourquoi ?

Un jour sa mère ayant fabriqué des potions de mana et un parchemin de force, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade, porte-lui ses potions de mana et se parchemin de force. Le petit Sokaris partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait près des Montagnes. En passant par la forêt il rencontra compère Ariès, qui eut bien envie de le manger ; mais il n'osa, à cause de quelques centaures. Il lui demanda où il allait ; le pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter Ariès, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter ces quelques items qui habite près de la Montagne.Eh bien, dit Ariès, je veux l'aller voir aussi ; je m'y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. Ariès se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et le petit Sokaris s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à violer quelques écureuils qui passait par là ( ).

Ariès ne fut pas longtemps arriver à la maison de la Mère-grand ; il heurte : Toc, toc. Qui est là ? C'est votre petit fils le petit Sokaris ( dit Ariès, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte des items magiques. La Mère-Grand lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Ariès tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Il se jetta sur la bonne femme, et lui fit subir les pires des tortures car il n'avait pas soulagé ses pulsions depuis plus de trois jours. Ensuite il ferma la porte, et s'alla coucher dans le lit de la Mère-Grand, en attendant que Sokaris arrive. Toc, toc. Qui est là? Le petit Sokaris, qui entendit la grosse voix d'Ariès eut peur d'abord, mais croyant que sa Mère-Grand était enrhumée, répondit : C'est moi votre petit Sokaris, qui vous apporte des potions de mana et un parchemin de force que ma mère vous envoie. Ariès lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le petit Sokaris tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Ariès, le voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture : Mets les potions de mana et le parchemin de force sur la huche et viens te coucher avec moi. Le petit Sokaris se déshabille, et va se mettre dans le lit, où il fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. Il lui dit : Ma mère-grand que vous avez de grandes jambes? C'est pour mieux courir mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ? C'est pour mieux écouter mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ? C'est pour mieux voir mon enfant. Ma mère-grand que vous en avez une grande? C'est pour te [tiens le texte est éffacé]. Et en disant ces mots, ce méchant Ariès se jeta sur le petit Sokaris et le [ça devient pénible ce texte effacé on ne comprend plus l'histoire].

Moralité

on voit ici que de jeunes enfants
Surtout de jeunes garçons
Beau, bien faits, et gentils
Font très mal d'écouter toute sorte de gens
Et que ce n'ezst aps chose étrange,
S'il en est tant que le pommier mange.
Je dis le pommier, car tos les pommiers
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d'une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisant et doux,
Suivent les jeunes demoiseaux
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces pommiers doucereux,
De tous les pommiers sont les plus dangereux.
_________________
Poppu 2 le retour

50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Après avoir fait une bringue d'enfer Poppu repartit en chemin en remerciant une fois de plus son ami de ce court séjour, mais fort agréable. (je vous l'avait dit qu'il n'allait pas rester longtemps dans l'histoire cet Hobbit!) N'étant pas pressé de rentrer, il n'utilisa de parchemin cette fois ci et se mit à galopper en direction de la montagne pour pouvoir rentrer chez lui. A la nuit tombante il s'arrêta et après s'être restaurer il prit le livre et lu une histoire.


La rencontre de Sokaris et d'Ariès


Il était une fois un petit garçon de village, le plus joli qu'on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le petit Sokaris, sans personne ne sache pourquoi ?

Un jour sa mère ayant fabriqué des potions de mana et un parchemin de force, lui dit : Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle était malade, porte-lui ses potions de mana et se parchemin de force. Le petit Sokaris partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait près des Montagnes. En passant par la forêt il rencontra compère Ariès, qui eut bien envie de le manger ; mais il n'osa, à cause de quelques centaures. Il lui demanda où il allait ; le pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter Ariès, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter ces quelques items qui habite près de la Montagne.Eh bien, dit Ariès, je veux l'aller voir aussi ; je m'y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. Ariès se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et le petit Sokaris s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à violer quelques écureuils qui passait par là ( ).

Ariès ne fut pas longtemps arriver à la maison de la Mère-grand ; il heurte : Toc, toc. Qui est là ? C'est votre petit fils le petit Sokaris ( dit Ariès, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte des items magiques. La Mère-Grand lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Ariès tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Il se jetta sur la bonne femme, et lui fit subir les pires des tortures car il n'avait pas soulagé ses pulsions depuis plus de trois jours. Ensuite il ferma la porte, et s'alla coucher dans le lit de la Mère-Grand, en attendant que Sokaris arrive. Toc, toc. Qui est là? Le petit Sokaris, qui entendit la grosse voix d'Ariès eut peur d'abord, mais croyant que sa Mère-Grand était enrhumée, répondit : C'est moi votre petit Sokaris, qui vous apporte des potions de mana et un parchemin de force que ma mère vous envoie. Ariès lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. Le petit Sokaris tira la chevillette et la porte s'ouvrit. Ariès, le voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture : Mets les potions de mana et le parchemin de force sur la huche et viens te coucher avec moi. Le petit Sokaris se déshabille, et va se mettre dans le lit, où il fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. Il lui dit : Ma mère-grand que vous avez de grandes jambes? C'est pour mieux courir mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ? C'est pour mieux écouter mon enfant. Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ? C'est pour mieux voir mon enfant. Ma mère-grand que vous en avez une grande? C'est pour te [tiens le texte est éffacé]. Et en disant ces mots, ce méchant Ariès se jeta sur le petit Sokaris et le [ça devient pénible ce texte effacé on ne comprend plus l'histoire].

Moralité

on voit ici que de jeunes enfants
Surtout de jeunes garçons
Beau, bien faits, et gentils
Font très mal d'écouter toute sorte de gens
Et que ce n'ezst aps chose étrange,
S'il en est tant que le pommier mange.
Je dis le pommier, car tos les pommiers
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d'une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisant et doux,
Suivent les jeunes demoiseaux
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces pommiers doucereux,
De tous les pommiers sont les plus dangereux.
_________________
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vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Après une bonne nuit de sommeil, Poppu sortit de sa besace son matériel du parfait petit alchimiste, il commença à étudier la faune alentour, car il ne s'était à vrai dire jamais approché des montagnes, un royaume réputé dangereux, mais malgré son âge avancé il commençait à être aguerri et n'avait plus vraiment peur des autochtones. Après avoir ramassé quelques pierre intéressante et des plantes rares qui intéresserait surement son ami et maître en la matière, Tagazok, il ouvrit son vieux grimoire et fit comme tout les jours une potion. Aujourd'hui il se laissa attirer par une potion de polymorphisme, une potion difficile à réaliser mais qui pourrai s'avérer forte utile.
Alors qu'il s'acharnait dessus depuis des heures , il n'avait pas remarqué qu'un gobelin l'observait depuis tout ce temps.
" - Voilà c'est presque finni, il me manque plus qu'un ingrédient pour permettre la réversibilité de la potion.
Malgré que nous soyons dans le royaume des béonides, certain vieux loups s'y aventurent pour terminer leur vie dignement. Un loup avait pisté le malheureux gobelin, il se jetta sur lui. Distrait par ce vacarne Poppu vit un gobelin poursuivit par un loup venant droit sur lui en criant :
" - Mon précieux!
- Qu'est ce que cette créature vient-elle faire si loin de son royaume, ça fait des siècles que l'on ne retrouve plus de trace de gobelin sur les terres de xm."
Mais à peine le temps de dire ça que le gobelin se jetta litérallement sur Poppu, le faisant tribucher et lacher le contenu de sa fiole qui se renversa sur poppu et , ... sur le loup !!! L'effet de la potion ne se fit pas attendre, un immense hallo de lumière rayonna dans toute la vallée, le gobelin appeuré s'enfuit, puis au bout de quelques minutes, la lumière diminua d'intensité pour disparaître complètement.











" - Slurp, slurp, slurp
- Hein, non pas de bisous! ... Quoi!"
Poppu se réveilla en sursaut, il était entouré de deux loups.
" - Que me voulez vous... Bon vous n'avez pas l'air méchant! Qu'est ce qui m'est arrivé, je me souviens de rien! Ha si ce gobelin, ce loup, et puis..., ET PUIS CETTE POTION!!!! Heuresement j'ai du la rater quelque part car le contenu a été vidé, et je n'ose imaginer ce qui me serais arrivé dans le cas contraire, j'aurais été comme le raconte ces légendes un loup-garou!!!"
Poppu se mit à rire très fort avant de croiser le regard des deux loups!
" - Glups! Qu'est ce que vous voulez tout les deux, ho! tu es blessé, je vais te fabriquer un petit remède qui devrait te permettre de guerrir rapidement, bon, alors il me faut une fiole et puis il me faut..., bizarre je m'en souviens plus, c'est bête c'est pourtant la première potion qu'on apprend à faire avec la potion de mana qui est très simple puisqu'il ne faut qu'un seul ingédient qui est le ..., non pas possible, que m'arrive t'il, je ne me souviens de rien, surement un effet temporaire de la potion, pourtant je ne me rapelle pas avoir mis de ..., le problème c'est que je ne me rapelle de rien! un ruisseau je vais aller me rafraichir les idées comme on dit dans mon village!"
A peine que Poppu s'approcha de la rivière, il prit ses deux mains à son visage, pus regarda son corps, mais que lui était il arrivé, il était devenu un lycanthrope...

[Poppu]

Après une bonne nuit de sommeil, Poppu sortit de sa besace son matériel du parfait petit alchimiste, il commença à étudier la faune alentour, car il ne s'était à vrai dire jamais approché des montagnes, un royaume réputé dangereux, mais malgré son âge avancé il commençait à être aguerri et n'avait plus vraiment peur des autochtones. Après avoir ramassé quelques pierre intéressante et des plantes rares qui intéresserait surement son ami et maître en la matière, Tagazok, il ouvrit son vieux grimoire et fit comme tout les jours une potion. Aujourd'hui il se laissa attirer par une potion de polymorphisme, une potion difficile à réaliser mais qui pourrai s'avérer forte utile.
Alors qu'il s'acharnait dessus depuis des heures , il n'avait pas remarqué qu'un gobelin l'observait depuis tout ce temps.
" - Voilà c'est presque finni, il me manque plus qu'un ingrédient pour permettre la réversibilité de la potion.
Malgré que nous soyons dans le royaume des béonides, certain vieux loups s'y aventurent pour terminer leur vie dignement. Un loup avait pisté le malheureux gobelin, il se jetta sur lui. Distrait par ce vacarne Poppu vit un gobelin poursuivit par un loup venant droit sur lui en criant :
" - Mon précieux!
- Qu'est ce que cette créature vient-elle faire si loin de son royaume, ça fait des siècles que l'on ne retrouve plus de trace de gobelin sur les terres de xm."
Mais à peine le temps de dire ça que le gobelin se jetta litérallement sur Poppu, le faisant tribucher et lacher le contenu de sa fiole qui se renversa sur poppu et , ... sur le loup !!! L'effet de la potion ne se fit pas attendre, un immense hallo de lumière rayonna dans toute la vallée, le gobelin appeuré s'enfuit, puis au bout de quelques minutes, la lumière diminua d'intensité pour disparaître complètement.











" - Slurp, slurp, slurp
- Hein, non pas de bisous! ... Quoi!"
Poppu se réveilla en sursaut, il était entouré de deux loups.
" - Que me voulez vous... Bon vous n'avez pas l'air méchant! Qu'est ce qui m'est arrivé, je me souviens de rien! Ha si ce gobelin, ce loup, et puis..., ET PUIS CETTE POTION!!!! Heuresement j'ai du la rater quelque part car le contenu a été vidé, et je n'ose imaginer ce qui me serais arrivé dans le cas contraire, j'aurais été comme le raconte ces légendes un loup-garou!!!"
Poppu se mit à rire très fort avant de croiser le regard des deux loups!
" - Glups! Qu'est ce que vous voulez tout les deux, ho! tu es blessé, je vais te fabriquer un petit remède qui devrait te permettre de guerrir rapidement, bon, alors il me faut une fiole et puis il me faut..., bizarre je m'en souviens plus, c'est bête c'est pourtant la première potion qu'on apprend à faire avec la potion de mana qui est très simple puisqu'il ne faut qu'un seul ingédient qui est le ..., non pas possible, que m'arrive t'il, je ne me souviens de rien, surement un effet temporaire de la potion, pourtant je ne me rapelle pas avoir mis de ..., le problème c'est que je ne me rapelle de rien! un ruisseau je vais aller me rafraichir les idées comme on dit dans mon village!"
A peine que Poppu s'approcha de la rivière, il prit ses deux mains à son visage, pus regarda son corps, mais que lui était il arrivé, il était devenu un lycanthrope...

[Poppu]

Les jours passèrent, Poppu étudiait sa nouvelle forme ainsi que sa nouvelle façon de marcher ( il était devenu un bipède) ; quelle ironie s'être transfomé en loup alors qu'il approchait le territoire des béonides...Ce n'était plus deux loups qui le suivait mais une petite meute de quatre loups qui lui obéissait à ses moindre faits et geste.
"Bon reposons nous là pour ce soir, car demain nous rentrerons dans le territoire des béonides, et il faudra le traverser vite et sans se faire voir car sinon je ne donne pas chère de notre peau et je n'ai pas envie de servir de paillasson pour le reste de ma vie! "

Comme à son habitude Poppu feuilleta l'étrange livre qu'il avait reçu de son ami.


Les trois gentils béonides et le méchant centaure


Il était une fois trois petits Béonides (Rhalph, Tyrahell et Harxon) qui vivaient avec Garyth dans une petite grotte. Un jour, Garyth appela les trois béonides et leur dit qu'il ne pouvait plus les faire réssuciter parce qu'ils étaient trop faibles. Je voudrais que vous partiez d'ici et que vous gagniez vos PE, dit-il, mais prenez garde à bien les répartir pour que le grand méchant Goudurix ne puisse vous tuer. Garyth embrassa les trois petits béonides et leur dit au revoir les larmes aux yeux. Ils s'en allèrent de chez eux gagner leurs PE.
Rhalph gagna ses PE et les investit dans la résistance au feu et à la foudre, puis rentra dans sa grotte de paille. Tyrahell gagna ses PE et les investit dans l'esquive et dernier souffle, puis rentra dans sa grotte en bois.Harxon gagna ses PE et les investit dans la riposte, puis rentra dans sa grotte en brique.Mais Goudurix les aperçut. Comme ils doivent rapporter de l'xp! Lequel vais-je tuer en premier? Je vais commencer par Rhalph dans la grotte de paille! Il frappa à la porte.
Rhalph, gentil petit Rhalph, je peux entrer? Non, non! Par le poil de mon menton ! Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces, et Rhalph fut vaincu car il avait oublié que Goudurix était un guerrier. Goudurix se dirigea vers la grotte de Tyrahell en bois. A peine celui-ci eut-il refermé la porte que Goudurix frappa. Petits Tyrahell, gentil petit Tyrahell, je peux entrer? Non, non! Par le poil de mon menton! répondit Tyrahell.Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces, et Tyrahell fut vaincu car les PE n'étaient pas assez puissant ! Goudurix se dirigea vers la grotte en brique de Harxon.Harxon, gentil petit Harxon, je peux entrer? Non! non! Par le poil de mon menton! Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces mais cette fois-ci, il ne réussit pas à tuer Harxon. Il se prit une riposte mortelle. Ilréapparut dans la forêt, hurlant de douleur. Cela rendit Goudurix fou furieux.Il était si furieux qu'il en devint tout bleu.
"Il faut absolument que je tue Harxon" se disait -t-il.
Quelques jours plus tard,les petits béonides( car Rhalph et Tyrahell avaient égalemment réssucité) virent Goudurix arriver avec une grande épée ( c'était Uruk-hai. J'aurais dû y penser plus tôt! dit-il en se lancant vers la grotte en brique de Harxon. Mais malheuresement les deux autres compères avait investit dans la riposte et c'était fait peau de marbré par un confrère béonide, le choc fut bref, Goudurix se prit une riposte monumental.Il poussa un hurlement qu'on entendit jusqu'au fin fond de la ZN. On n'entendit plus jamais parler de lui.

On raconte que quelques voyageurs auraientt aperçu un centaure au fin fond de yaeth...
_________________
Poppu 2 le retour

50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Les jours passèrent, Poppu étudiait sa nouvelle forme ainsi que sa nouvelle façon de marcher ( il était devenu un bipède) ; quelle ironie s'être transfomé en loup alors qu'il approchait le territoire des béonides...Ce n'était plus deux loups qui le suivait mais une petite meute de quatre loups qui lui obéissait à ses moindre faits et geste.
"Bon reposons nous là pour ce soir, car demain nous rentrerons dans le territoire des béonides, et il faudra le traverser vite et sans se faire voir car sinon je ne donne pas chère de notre peau et je n'ai pas envie de servir de paillasson pour le reste de ma vie! "

Comme à son habitude Poppu feuilleta l'étrange livre qu'il avait reçu de son ami.


Les trois gentils béonides et le méchant centaure


Il était une fois trois petits Béonides (Rhalph, Tyrahell et Harxon) qui vivaient avec Garyth dans une petite grotte. Un jour, Garyth appela les trois béonides et leur dit qu'il ne pouvait plus les faire réssuciter parce qu'ils étaient trop faibles. Je voudrais que vous partiez d'ici et que vous gagniez vos PE, dit-il, mais prenez garde à bien les répartir pour que le grand méchant Goudurix ne puisse vous tuer. Garyth embrassa les trois petits béonides et leur dit au revoir les larmes aux yeux. Ils s'en allèrent de chez eux gagner leurs PE.
Rhalph gagna ses PE et les investit dans la résistance au feu et à la foudre, puis rentra dans sa grotte de paille. Tyrahell gagna ses PE et les investit dans l'esquive et dernier souffle, puis rentra dans sa grotte en bois.Harxon gagna ses PE et les investit dans la riposte, puis rentra dans sa grotte en brique.Mais Goudurix les aperçut. Comme ils doivent rapporter de l'xp! Lequel vais-je tuer en premier? Je vais commencer par Rhalph dans la grotte de paille! Il frappa à la porte.
Rhalph, gentil petit Rhalph, je peux entrer? Non, non! Par le poil de mon menton ! Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces, et Rhalph fut vaincu car il avait oublié que Goudurix était un guerrier. Goudurix se dirigea vers la grotte de Tyrahell en bois. A peine celui-ci eut-il refermé la porte que Goudurix frappa. Petits Tyrahell, gentil petit Tyrahell, je peux entrer? Non, non! Par le poil de mon menton! répondit Tyrahell.Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces, et Tyrahell fut vaincu car les PE n'étaient pas assez puissant ! Goudurix se dirigea vers la grotte en brique de Harxon.Harxon, gentil petit Harxon, je peux entrer? Non! non! Par le poil de mon menton! Alors, je vais te tuer! Goudurix l'attaqua de toutes ses forces mais cette fois-ci, il ne réussit pas à tuer Harxon. Il se prit une riposte mortelle. Ilréapparut dans la forêt, hurlant de douleur. Cela rendit Goudurix fou furieux.Il était si furieux qu'il en devint tout bleu.
"Il faut absolument que je tue Harxon" se disait -t-il.
Quelques jours plus tard,les petits béonides( car Rhalph et Tyrahell avaient égalemment réssucité) virent Goudurix arriver avec une grande épée ( c'était Uruk-hai. J'aurais dû y penser plus tôt! dit-il en se lancant vers la grotte en brique de Harxon. Mais malheuresement les deux autres compères avait investit dans la riposte et c'était fait peau de marbré par un confrère béonide, le choc fut bref, Goudurix se prit une riposte monumental.Il poussa un hurlement qu'on entendit jusqu'au fin fond de la ZN. On n'entendit plus jamais parler de lui.

On raconte que quelques voyageurs auraientt aperçu un centaure au fin fond de yaeth...
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Poppu 2 le retour

50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

La pleine lune luisait dans le ciel, cet astre, le dernier visible permettant de mesurer le temps. Un astre hors du commun car il influence les terres d'xm plus que les dieux ou les dirigeants de ce monde, un astre qui venait de nul part, tout comme la puissance de Gaïa ; était-ce cela Gaïa ? Un vulgaire astre que les anciens ont transformé en divinité en abusant les crédules !

Poppu marchait depuis deux jours dans la montagne, depuis sa transforamtion ses sens s'étaient développés, il évitait les pistes habituelles des chasseurs béonides en passant par des chemins escarpés. Le voilà qu'il approchait dangereusement du village béonide accompagné par des loups, il savait que l'accueil serait plus que chaleureu ! Ce soir il fallait encore plus faire attention avec cette pleine lune qui éclairait la nuit, les loups sous tensions et Poppu lui même transfiguré qui ressentait au fond de lui l'effet magique que Gaïa semblait lui envoyer afin de décupler ses forces.

Le vent apportait maintenant l'odeur des "Barbeuks", la distance entre Poppu et le village était très réduite, et après avoir cherché une piste qui contournait le village, Poppu dû se résigner à devoir se jetter dans la gueule du béonide. Mais comment faire ?
- Si l'alerte est donnée c'en sera finnis de moi je ne pourrai abattre des collosses béonides comme Harxon,tyrahell ou rhalph même si j'ai déjà réussi quelques fois, j'étais sous l'influence de mes potions mais maintenant que je suis amnésique je ne pourrais même pas confectionner une potion d'invisibilité ou un filtre quelconque. Je crois que j'ai marché pour rien, faisons demi-tour !

Poppu se retourna et vit un jeune béonide qui le regardait fixement

- Je m'appelle Kanalix et tu vas mourrir humain ! Ne t'inquiète pas tes loups te rejoindrons

- Tiens un béonide qui n'a pas l'accent, ne t'en fais cela viendra, et sache avant de mourrir que j'appartiens au peuple centaure, il ne faut jamais se fier aux apparences, tu auras appris quelques choses ce soir!

Kanalix bondit sur Poppu à peine après que celui-ci est finnis sa phrase et de toutes ses forces le blessa mais lors de cette attaque Poppu appliqua sa maîtrise des arts guerriers et blessa mortellement le béonide qui retombat à terre, à peine le temps d'un battement de coeur que les loups de Poppu dévorait le béonide comme appellé par la nature pour venger leurs frères morts sous les coups de ce jeune béonide. Mais dans un dernier râle il avertit ses frères avant de disparaître et de récussiter autre part. Il fallait faire vite maintenant ! Déjà la moitié du village de franchit ! Les trois quarts ! Ca y est Poppu aperçut la sortie ! Mais deux béonides surgirent de nul part ! Poppu connaissait leurs réputations, il s'agissait de Karasu et Turak. Pas le temps de discuter cette fois ci ! Le combat commença, Poppu se retrouva face à face avec Turak tandis que ses loups tournèrent autour de Karasu. Turak s'abattit sur Poppu avec toute sa force, celui-ci hurla de douleur et tenta de lancer un éclair mais en vain, Poppu rata sa cible. Poppu était maintenant à terre terriblement blessé, mais il ne fallait pas qu'il meurre, pas cette fois ci ! il fallait qu'il rapporte ce livre pour l'étudier. Un cadavre qui tomba près de lui coupa ses pensées, c'était un de ses loups que Karasu avait abattu, il ne restait plus que le chef de meute. D'un regard triste il regarda Poppu et se jetta sur Karasu, lui infligeant une terrible morsure, le loup semblait avoir pris l'avantage mais d'un coup Karasu arracha une des pattes du loup laissant gicler une marée de sang, puis il prit le loup et le décapita net et lança la tête vers Poppu qui agonisait toujours. La haine envahit le visage Poppu, il se releva malgré la douleur du coup de Turak. Les deux béonides semblaient se satisfaire d'un tel massacre et rigolaient de bon coeur, mais ils s'arrêtèrent quand ils virent Poppu rassemblés toutes sa force magique et lancer aussitôt un sort où il avait concentré ses dernières forces ...

Le ciel étincela d'un bleu magnifique suivit d'une détonnation qui semblait venir de la Montagne. Puis plus rien . Après quelques heures, la montagne retentit d'un terrible cri de douleur ressemblant à un hurlement de loup.
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50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

La pleine lune luisait dans le ciel, cet astre, le dernier visible permettant de mesurer le temps. Un astre hors du commun car il influence les terres d'xm plus que les dieux ou les dirigeants de ce monde, un astre qui venait de nul part, tout comme la puissance de Gaïa ; était-ce cela Gaïa ? Un vulgaire astre que les anciens ont transformé en divinité en abusant les crédules !

Poppu marchait depuis deux jours dans la montagne, depuis sa transforamtion ses sens s'étaient développés, il évitait les pistes habituelles des chasseurs béonides en passant par des chemins escarpés. Le voilà qu'il approchait dangereusement du village béonide accompagné par des loups, il savait que l'accueil serait plus que chaleureu ! Ce soir il fallait encore plus faire attention avec cette pleine lune qui éclairait la nuit, les loups sous tensions et Poppu lui même transfiguré qui ressentait au fond de lui l'effet magique que Gaïa semblait lui envoyer afin de décupler ses forces.

Le vent apportait maintenant l'odeur des "Barbeuks", la distance entre Poppu et le village était très réduite, et après avoir cherché une piste qui contournait le village, Poppu dû se résigner à devoir se jetter dans la gueule du béonide. Mais comment faire ?
- Si l'alerte est donnée c'en sera finnis de moi je ne pourrai abattre des collosses béonides comme Harxon,tyrahell ou rhalph même si j'ai déjà réussi quelques fois, j'étais sous l'influence de mes potions mais maintenant que je suis amnésique je ne pourrais même pas confectionner une potion d'invisibilité ou un filtre quelconque. Je crois que j'ai marché pour rien, faisons demi-tour !

Poppu se retourna et vit un jeune béonide qui le regardait fixement

- Je m'appelle Kanalix et tu vas mourrir humain ! Ne t'inquiète pas tes loups te rejoindrons

- Tiens un béonide qui n'a pas l'accent, ne t'en fais cela viendra, et sache avant de mourrir que j'appartiens au peuple centaure, il ne faut jamais se fier aux apparences, tu auras appris quelques choses ce soir!

Kanalix bondit sur Poppu à peine après que celui-ci est finnis sa phrase et de toutes ses forces le blessa mais lors de cette attaque Poppu appliqua sa maîtrise des arts guerriers et blessa mortellement le béonide qui retombat à terre, à peine le temps d'un battement de coeur que les loups de Poppu dévorait le béonide comme appellé par la nature pour venger leurs frères morts sous les coups de ce jeune béonide. Mais dans un dernier râle il avertit ses frères avant de disparaître et de récussiter autre part. Il fallait faire vite maintenant ! Déjà la moitié du village de franchit ! Les trois quarts ! Ca y est Poppu aperçut la sortie ! Mais deux béonides surgirent de nul part ! Poppu connaissait leurs réputations, il s'agissait de Karasu et Turak. Pas le temps de discuter cette fois ci ! Le combat commença, Poppu se retrouva face à face avec Turak tandis que ses loups tournèrent autour de Karasu. Turak s'abattit sur Poppu avec toute sa force, celui-ci hurla de douleur et tenta de lancer un éclair mais en vain, Poppu rata sa cible. Poppu était maintenant à terre terriblement blessé, mais il ne fallait pas qu'il meurre, pas cette fois ci ! il fallait qu'il rapporte ce livre pour l'étudier. Un cadavre qui tomba près de lui coupa ses pensées, c'était un de ses loups que Karasu avait abattu, il ne restait plus que le chef de meute. D'un regard triste il regarda Poppu et se jetta sur Karasu, lui infligeant une terrible morsure, le loup semblait avoir pris l'avantage mais d'un coup Karasu arracha une des pattes du loup laissant gicler une marée de sang, puis il prit le loup et le décapita net et lança la tête vers Poppu qui agonisait toujours. La haine envahit le visage Poppu, il se releva malgré la douleur du coup de Turak. Les deux béonides semblaient se satisfaire d'un tel massacre et rigolaient de bon coeur, mais ils s'arrêtèrent quand ils virent Poppu rassemblés toutes sa force magique et lancer aussitôt un sort où il avait concentré ses dernières forces ...

Le ciel étincela d'un bleu magnifique suivit d'une détonnation qui semblait venir de la Montagne. Puis plus rien . Après quelques heures, la montagne retentit d'un terrible cri de douleur ressemblant à un hurlement de loup.
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[Poppu]

Bien des lunes avaient passé, de nombreux changements avaient eu lieu. Des meutes de loup garou terrorisaient les terres de Xm. Poppu avait entendu parler de cette étrange malédiction qui semblait être partie d'un petit village d'humain au nom de Thiercelieux. Depuis ce temps, Poppu et ses loups étaient persécutés. Les loups par les chasseurs de tout bord et lui même à chaque transformation qui par ailleurs devenait de plus en plus incontrôlables.
Après de longues heures de marches, Poppu arriva près d'un village humain totalement détruit. En entrant il entendit des cris de loup garou. Poppu allait enfin voir à quoi ressemblait ces soit disant terribles êtres qui était la cause de sa solitude. La surprise fut de taille, une immense créature se présenta devant lui, elle tua deux de ses loups d'un coup ; d'un geste rageur Poppu invoqua sa plus terrible invocation : Medoroa, une incantation bien banal mais qui demande une grande maîtrise de soi, puisqu'elle consiste à envoyer un mur de feu et de glace en même temps avec la même puissance. Si l'incantation échoue elle provoque de grave dégât, tandis que si elle réussie ..., personne n'est encore vivant pour expliquer comment contrer cette terrible incantation !
Le mur de feu s'éleva tandis qu'un immense mur de glace fit de même, la réunion de ces éléments contradictoire forma une immense flèche de lumière qui partit en direction du loup garou, celui ce prit l'incantation de pleine face n'essayant à aucun moment de l'éviter comme si ..., comme si celui ci était immortel ...
Puis une immense lumière resplendissant, ... un bras poilu,... un visage humain,... plus rien.












































La pleine lune,... un mal de tête, ... un cachot!

-Mais où suis-je ?
Une humaine s'approcha, Poppu en avait entendu parler il s'agissait de Hello.
-Que me veux tu ? Je ne suis pas un loup garou, je ne tue pas pour le plaisir !
Une jeune louve s'approcha de sa maîtresse. Poppu se rappela alors de ces compagnons, ses loups : foque, ange, stic, koum, cheu et bard.
- Où suis-je répondez moi ! Qu'avez vous fait de mes loups ? Cette prison ne me retiendra pas, vous ne savez pas à qui vous avez à faire !
Poppu sortit un parchemin de téléportation et d'un sourire dit :
-asta la vista baby!
...
Mais que se passe t'il ! Non serait ce possible, une prison qui empêche de capter le mana des dieux!

- Tu as finis de faire l'andouille, scanda hello, je vais t'expliquer, tu es au centre de notre empire, dans le Connemara...
- quoi je suis Là-bas, au Connemara, on sait tout le prix du silence. Là-bas, au Connemara, on dit que la vie c'est une folie et que la folie, ça se danse.
- oui tu es dans les terres brûlées au vent des landes de pierre, autour des lacs, c'est pour les vivants un peu d'enfer, le Connemara. Tu ne peux donc recevoir ton mana, nous ignorons de quelle prouesse tu nous parles ! Nous t'avons retrouver errant dans une de nos villes, complètement en flamme, nous t'avons alors enfermé ici pour t'interroger. Mais pendant ton sommeil tu es très bavard et nous avons pu comprendre que tu étais centaure malgré ton apparence humaine! Je ne savais pas que les centaures faisaient des raids seuls si loin de leur forêt.

- Je vais tout t'expliquer vu que je ne peux faire que ça ...

Quelques heures plus tard !

- Et me voilà ici au Connemara : Terre brûlée ...
- Euh... ! Oui c'est bon on a compris ! Je vois que tu n'es pas méchant ! J'ai un marché à te proposer, bien sûr il faudra que les autres humains acceptent. Nous te libérons de cette prison, en échange tu resteras quelques temps ici, je suis sûr que tu pourras nous apprendre de nombreuses choses, ensuite tu pourras partir ou bien peut être rester ici... qui sait !

- d'accord !
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vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Bien des lunes avaient passé, de nombreux changements avaient eu lieu. Des meutes de loup garou terrorisaient les terres de Xm. Poppu avait entendu parler de cette étrange malédiction qui semblait être partie d'un petit village d'humain au nom de Thiercelieux. Depuis ce temps, Poppu et ses loups étaient persécutés. Les loups par les chasseurs de tout bord et lui même à chaque transformation qui par ailleurs devenait de plus en plus incontrôlables.
Après de longues heures de marches, Poppu arriva près d'un village humain totalement détruit. En entrant il entendit des cris de loup garou. Poppu allait enfin voir à quoi ressemblait ces soit disant terribles êtres qui était la cause de sa solitude. La surprise fut de taille, une immense créature se présenta devant lui, elle tua deux de ses loups d'un coup ; d'un geste rageur Poppu invoqua sa plus terrible invocation : Medoroa, une incantation bien banal mais qui demande une grande maîtrise de soi, puisqu'elle consiste à envoyer un mur de feu et de glace en même temps avec la même puissance. Si l'incantation échoue elle provoque de grave dégât, tandis que si elle réussie ..., personne n'est encore vivant pour expliquer comment contrer cette terrible incantation !
Le mur de feu s'éleva tandis qu'un immense mur de glace fit de même, la réunion de ces éléments contradictoire forma une immense flèche de lumière qui partit en direction du loup garou, celui ce prit l'incantation de pleine face n'essayant à aucun moment de l'éviter comme si ..., comme si celui ci était immortel ...
Puis une immense lumière resplendissant, ... un bras poilu,... un visage humain,... plus rien.












































La pleine lune,... un mal de tête, ... un cachot!

-Mais où suis-je ?
Une humaine s'approcha, Poppu en avait entendu parler il s'agissait de Hello.
-Que me veux tu ? Je ne suis pas un loup garou, je ne tue pas pour le plaisir !
Une jeune louve s'approcha de sa maîtresse. Poppu se rappela alors de ces compagnons, ses loups : foque, ange, stic, koum, cheu et bard.
- Où suis-je répondez moi ! Qu'avez vous fait de mes loups ? Cette prison ne me retiendra pas, vous ne savez pas à qui vous avez à faire !
Poppu sortit un parchemin de téléportation et d'un sourire dit :
-asta la vista baby!
...
Mais que se passe t'il ! Non serait ce possible, une prison qui empêche de capter le mana des dieux!

- Tu as finis de faire l'andouille, scanda hello, je vais t'expliquer, tu es au centre de notre empire, dans le Connemara...
- quoi je suis Là-bas, au Connemara, on sait tout le prix du silence. Là-bas, au Connemara, on dit que la vie c'est une folie et que la folie, ça se danse.
- oui tu es dans les terres brûlées au vent des landes de pierre, autour des lacs, c'est pour les vivants un peu d'enfer, le Connemara. Tu ne peux donc recevoir ton mana, nous ignorons de quelle prouesse tu nous parles ! Nous t'avons retrouver errant dans une de nos villes, complètement en flamme, nous t'avons alors enfermé ici pour t'interroger. Mais pendant ton sommeil tu es très bavard et nous avons pu comprendre que tu étais centaure malgré ton apparence humaine! Je ne savais pas que les centaures faisaient des raids seuls si loin de leur forêt.

- Je vais tout t'expliquer vu que je ne peux faire que ça ...

Quelques heures plus tard !

- Et me voilà ici au Connemara : Terre brûlée ...
- Euh... ! Oui c'est bon on a compris ! Je vois que tu n'es pas méchant ! J'ai un marché à te proposer, bien sûr il faudra que les autres humains acceptent. Nous te libérons de cette prison, en échange tu resteras quelques temps ici, je suis sûr que tu pourras nous apprendre de nombreuses choses, ensuite tu pourras partir ou bien peut être rester ici... qui sait !

- d'accord !
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50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Voilà plusieurs lunes que Poppu avait intégré les forces humaines. Il les avait tellement bien intégré qu'il combattait sous leur bannière, délaissant les centaures. Il avait donc tout perdu, d'abord son corps et maintenant son âme pour se fondre au groupe dont il ressemblait physiquement.

Poppu ne mâchait ses mots, à peines acceptées par les humains il rentra dans la salle où les hauts conseillers se rassemblaient et donna ses avis, livra quelques techniques secrètes qu'il avait apprises, mais rien ne changeait, il se sentait terriblement exclus ! C'était la première fois qu'il ressentait cette impression de ne pas être admis ! Sur plusieurs visages humains on pouvait y lire la peur ! A contrario il avait rencontré des humains étonnants, des humains qu’il n’avait pratiquement jamais rencontré, qu’il restait enfermé dans leur forteresse du Connemara. Alors que cet enfermement semblait provoquer chez certain les pires pensées que Gaïa est pue créer, chez d'autres il pu apercevoir le respect et la fierté, des valeurs tant prônés par ce peuple, qu'il se demandait si ce n'était pas un mythe...

Chez les centaures il était connu pour être un stratège hors paire, pourtant ici il ne s'imposa pas en chef militaire, il suivit comme un bon petit soldat les troupes, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas connu la défaite militaire et pourtant il se rappela de cette terrible sensation par deux fois ! La première fois il rata la prise de la forteresse en ne tuant que très peu de mercenaires, une seconde fois où il monta une catapulte en plein milieu de la bataille alors que les hordes démones revenaient défendre leur terre ! Malgré cela il abattit plus de 125 mercenaires en tuant tout les survivants mais lorsqu'il tua le dernier il vit arriver les généraux démons qui ne firent qu'une bouchée de lui, le tuant d'un coup ! Un coup si puissant qu'il aurait pu en mourir 5 fois.

Il ressuscita au fin fond de la zone neutre, voilà de longues lunes qu'il n'avait pas remis les pieds ici ! Depuis son départ vers son ami hobbit (cf. au dessus). Quel sinistre tour jouait encore et toujours Gaïa à Poppu ? Cette zone ça faisait des années qu'il ne faisait qu'y passer pour aller boire un coup avec son vieil ami Hallazerke, un mage encore plus acariâtres et radin que lui ! A l'époque de lors première rencontre, Poppu était encore jeune, cette zone portait bien son nom, alors qu'aujourd'hui elle est ravagée par des guerres de religion et de suprématie raciale.

Poppu était donc en zone neutre mais à un endroit qu'il n'avait jamais vu. Au loin il aperçut une sorte de grotte avec... Oui c'était bien de nombreux loups. Il s'en approcha ! Il y vit des béonides, des démons, des humains et un jeune centaure, entrain de taper sur cette sorte de grotte, tout autour de nombreux pièges y étaient posés. Poppu s'approcha d'un des béonides, il l'interpella et reconnut avec horreur Turak ! Le béonide qui avait tué ses premiers loups lors de son passage par la montagne (toujours cf. au dessus). La tristesse, puis la colère et enfin la rage apparurent sur le visage, des petits éclairs parcoururent les mains de Poppu, mais celui ci curieux demanda au béonide ce qu'il faisait là. D'abord Turak se demanda si l'humain devant lui n'était pas fou, mais voyant que celui ci se calmait il lui conta l'histoire de la tanière et des loups.

Enfin ! Enfin ! Enfin ! Poppu venait de découvrir un but dans sa vie, il remercia Turak pour son histoire et lui dit que la prochaine fois il reviendrait ici mais qu'il tuerait tout les chasseurs et prierai chaque jour, pour que Gaïa et ses loups dominent le monde ! Turak pensait définitivement que ce pauvre humain était complètement fou et repris son activité. Poppu venait de comprendre le message de Gaïa et sa terrible initiation; Poppu décida donc qu'il était grand temps de chercher de l'aide, mais comment faire ? Trouver des hommes, démons, centaures ou béonide qui voulait la même chose que lui ? Comment pourrait il les trouver, lui qui ignorait l'existence de la tanière il y a encore quelques heures ? Où alors pourrait il empêcher les chasseurs de détruire ce lieu sacré ! Poppu ne savait pas trop comment s'y prendre encore, mais il était sûr d'une chose, c'est qu'il ne servirait plus jamais aucune race ...
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[Poppu]

Voilà plusieurs lunes que Poppu avait intégré les forces humaines. Il les avait tellement bien intégré qu'il combattait sous leur bannière, délaissant les centaures. Il avait donc tout perdu, d'abord son corps et maintenant son âme pour se fondre au groupe dont il ressemblait physiquement.

Poppu ne mâchait ses mots, à peines acceptées par les humains il rentra dans la salle où les hauts conseillers se rassemblaient et donna ses avis, livra quelques techniques secrètes qu'il avait apprises, mais rien ne changeait, il se sentait terriblement exclus ! C'était la première fois qu'il ressentait cette impression de ne pas être admis ! Sur plusieurs visages humains on pouvait y lire la peur ! A contrario il avait rencontré des humains étonnants, des humains qu’il n’avait pratiquement jamais rencontré, qu’il restait enfermé dans leur forteresse du Connemara. Alors que cet enfermement semblait provoquer chez certain les pires pensées que Gaïa est pue créer, chez d'autres il pu apercevoir le respect et la fierté, des valeurs tant prônés par ce peuple, qu'il se demandait si ce n'était pas un mythe...

Chez les centaures il était connu pour être un stratège hors paire, pourtant ici il ne s'imposa pas en chef militaire, il suivit comme un bon petit soldat les troupes, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas connu la défaite militaire et pourtant il se rappela de cette terrible sensation par deux fois ! La première fois il rata la prise de la forteresse en ne tuant que très peu de mercenaires, une seconde fois où il monta une catapulte en plein milieu de la bataille alors que les hordes démones revenaient défendre leur terre ! Malgré cela il abattit plus de 125 mercenaires en tuant tout les survivants mais lorsqu'il tua le dernier il vit arriver les généraux démons qui ne firent qu'une bouchée de lui, le tuant d'un coup ! Un coup si puissant qu'il aurait pu en mourir 5 fois.

Il ressuscita au fin fond de la zone neutre, voilà de longues lunes qu'il n'avait pas remis les pieds ici ! Depuis son départ vers son ami hobbit (cf. au dessus). Quel sinistre tour jouait encore et toujours Gaïa à Poppu ? Cette zone ça faisait des années qu'il ne faisait qu'y passer pour aller boire un coup avec son vieil ami Hallazerke, un mage encore plus acariâtres et radin que lui ! A l'époque de lors première rencontre, Poppu était encore jeune, cette zone portait bien son nom, alors qu'aujourd'hui elle est ravagée par des guerres de religion et de suprématie raciale.

Poppu était donc en zone neutre mais à un endroit qu'il n'avait jamais vu. Au loin il aperçut une sorte de grotte avec... Oui c'était bien de nombreux loups. Il s'en approcha ! Il y vit des béonides, des démons, des humains et un jeune centaure, entrain de taper sur cette sorte de grotte, tout autour de nombreux pièges y étaient posés. Poppu s'approcha d'un des béonides, il l'interpella et reconnut avec horreur Turak ! Le béonide qui avait tué ses premiers loups lors de son passage par la montagne (toujours cf. au dessus). La tristesse, puis la colère et enfin la rage apparurent sur le visage, des petits éclairs parcoururent les mains de Poppu, mais celui ci curieux demanda au béonide ce qu'il faisait là. D'abord Turak se demanda si l'humain devant lui n'était pas fou, mais voyant que celui ci se calmait il lui conta l'histoire de la tanière et des loups.

Enfin ! Enfin ! Enfin ! Poppu venait de découvrir un but dans sa vie, il remercia Turak pour son histoire et lui dit que la prochaine fois il reviendrait ici mais qu'il tuerait tout les chasseurs et prierai chaque jour, pour que Gaïa et ses loups dominent le monde ! Turak pensait définitivement que ce pauvre humain était complètement fou et repris son activité. Poppu venait de comprendre le message de Gaïa et sa terrible initiation; Poppu décida donc qu'il était grand temps de chercher de l'aide, mais comment faire ? Trouver des hommes, démons, centaures ou béonide qui voulait la même chose que lui ? Comment pourrait il les trouver, lui qui ignorait l'existence de la tanière il y a encore quelques heures ? Où alors pourrait il empêcher les chasseurs de détruire ce lieu sacré ! Poppu ne savait pas trop comment s'y prendre encore, mais il était sûr d'une chose, c'est qu'il ne servirait plus jamais aucune race ...
_________________
Poppu 2 le retour

50% homme, 50% dieux, 100% sauveur !

vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !

[Poppu]

Le lendemain, Poppu revint sur les lieux de la tanière. A sa plus grande stupeur, il ne restait plus que quelques pièges, mais tous les chasseurs avaient disparus et SURTOUT la tanière ! Comment ce temple dédié à la gloire de Gaïa avait pu être détruit ! Poppu s'approcha plus précisément du lieu où se dressait le bâtiment la veille, pour y trouver des indices et comprendre ce qu'il avait bien pu se produire !

C'est là qu'il croisa un démon ! Bien qu'étant humain, Poppu n'en avais que faire de cette ancienne guerre qu'il existait entre les humains et les démons et ne se préoccupait plus que de sa propre personne depuis qu'il avait rejoint les humains ! Comme il avait changé ! Lui qui se dévouait pour les centaures sacrifiant de nombreuses fois sa vie, participait au plan de bataille en élaborant et dirigeant d'épique bataille, lui qui aussi avait pris du temps pour former les plus jeunes et s'occupait des fonctions administratifs que peu se dévouait pour les remplir ! Mais chez les humains, on s'étai méfié de lui, puis certain l'avait accepté mais il n'était plus qu'un artilleur sur les champs de bataille, personne ne reconnaissait sa bravoure au combat alors que bien des fois il s'était senti seul face à des hordes ! Petit à petit il gardait l'or, ne redistribuant plus ses gains à la caisse pour finalement devenir solitaire !

Il reconnut le démon, c'était son vieil mai Yaenwe ! Encore une ancienne gloire de l'empire centaure (tout comme Poppu), lui aussi avait beaucoup changé physiquement. Poppu s'approcha et vit qu'il était blessé. Yaenwe voulut d'abord se défendre en employant le peu de mana qui lui restait ! Poppu lui compris qu'il ne le reconnaissait pas sous ses traits lui releva son identité ! Yaenwe fut abasourdi. Poppu lui conta alors son histoire tout en le soignant. Puis il le questionna à son tour sur ce que le démon faisait là et pourquoi il était blessé. Yaenwe lui expliqua qu'il avait combattu des chasseurs afin de sauver la tanière et tenter de la soigner, mais malgré les avoir tué et maudit ils étaient revenus et avaient tout de même réussi à détruire la tanière et le blesser grièvement. Poppu interrompu le discours de yaenwe et lui demanda ce qu'il voulait dire par soigner la tanière, Yaenwe lui répondit qu'avec l'expérience qu'il avait avec les loups il devrait savoir soigner la tanière et la localiser ! En voyant que Poppu ne comprenait toujours pas de ce qu'il parlait, Yaenwe entreprit de lui donner des cours. C'est ainsi qu'un démon et humain restèrent plusieurs jours ensemble.

Presque une demi lune s'était accompli, enfin Poppu maîtrisait les arcanes du dressage, il lui avait manqué un maître pour que l'amour des loups deviennent enfin une vocation. Selon yaenwe l'élève n'étais pas mauvais, il avait beaucoup appris mais il lui resté beaucoup de chemin à parcourir si il voulait dépasser le maître en la matière et de faire bien attention à un jeune démon, Yamaël.

- Pourquoi faire attention à un dresseur ? Demanda Poppu.
- Celui-ci fait parti d'une nouvelle génération de dresseur qui ne maîtrise pas les arcannes de la magie mais qui utilise la force afin de dresser des loups, cette école avait pour maître feu Uther Pendragon, qui a malheureusement disparu, (tué par Yamaël ???) il dirige donc cette école avec de nombreux disciples, fait attention à lui, mais il peut être une aide importante pour t'aider à soigner la tanière.
- Vous pourriez venir avec moi dans un premier temps pour juger de mes progrès ?
- Malheureusement, j'ai de plus en plus de mal à me réincarner, mes apparitions sont de plus en plus rares ? Est ce cela la vraie mort ?

Poppu ne répondit pas, mais Yaenwe comprit qu'il avait vu de ses propres yeux quelqu'un mourir définitivement de ces terres, disparaître subitement comme lorsque nous sommes apparus un triste jour sur ces terres désolées. Après quelques minutes de silence Poppu reprit la parole :

- Mais vous avez peut être d'autre disciple, où pourrais je les trouver ?
- Malheureusement après la chute vertigineuse de l'empire centaure, beaucoup ont abandonné ! Il doit sûrement rester quelques dresseurs mais ceux-ci n'ont pas ta trempe, part tout de même à leur recherche on ne sait jamais! Maintenant va remplir ta mission !

Sur ces mots, Poppu laissa Yaenwe pratiquement guéri, et commença par localiser la tanière. Peut être rencontrerait il d'autre dresseur en allant directement sur un lieu commun à tous !
Plus Poppu s'approchait plus il entendait le bruit de guerrier entrain de détruire quelque chose, Poppu commençait à se douter qu'il s'agissait de la tanière, il se hâta donc. A quelques mètres de la tanière, Poppu commença à reprendre goût à ses instincts guerriers, il tua les premiers chasseurs qu'il rencontra, ils n'opérèrent aucune résistance, puis averti par les cris de rage, un béonide s'approcha, il s'agissait de Turak, décidément ce monde était petit et leur rencontre semblait indéniable ! Le combat allait être terrible, Turak avait une grande force physique, et semblait doter d'une vitalité hors du commun ! Ce béonide devait bien avoir un point faible ??? Lors de la première charge, chacun porta un coup qui blessa l'autre sans le tuer. Poppu avait vraiment pris un très mauvais coup tandis que son adversaire semblait légèrement blessé, mais sur cette première charge, Poppu comprit qu'elle était le point faible de Turak ! Ce gros balourd était aussi lent qu'hallazerke après qu'il ait bu comme un trou ! Poppu réattaqua sur le champ avant que le béonide reprendre ses esprits, il le blessa encore un peu, tandis que le béonide surpris le rata, Poppu pût enfin tuer ce monstre sur une troisième attaque !

A sa grande stupeur, il ne restait qu'un chasseur humain, les autres petits chasseurs avaient préféré fuir en voyant Turak se faire tuer par quelqu'un ! Il s'agissait de Snaker, Poppu s'approcha de lui et sans lui dire un mot le tua. Il venait de tuer quelqu'un qui appartenait à la même race que lui, froidement, comme s'il s'agissait d'un ennemi. Qu'avait il donc fait ? Comment en était il arrivé si bas ? Après les changements physiques ? Voilà que des changements moraux s'opéraient ! En quoi allait il se transformer maintenant ?

Un rire démoniaque se fit entendre au loin, interrompant la pensée de Poppu ! Qui était il ? Poppu avait donné pratiquement toutes ses forces pour achever Turak et était blessé mortellement, il se prépara au combat même si la défaite était inévitable !

- Tu me plais drôlement ex petit humain ! Je ne te connais pas mais je sens que nous allons nous apprécier !

[Poppu]

Le lendemain, Poppu revint sur les lieux de la tanière. A sa plus grande stupeur, il ne restait plus que quelques pièges, mais tous les chasseurs avaient disparus et SURTOUT la tanière ! Comment ce temple dédié à la gloire de Gaïa avait pu être détruit ! Poppu s'approcha plus précisément du lieu où se dressait le bâtiment la veille, pour y trouver des indices et comprendre ce qu'il avait bien pu se produire !

C'est là qu'il croisa un démon ! Bien qu'étant humain, Poppu n'en avais que faire de cette ancienne guerre qu'il existait entre les humains et les démons et ne se préoccupait plus que de sa propre personne depuis qu'il avait rejoint les humains ! Comme il avait changé ! Lui qui se dévouait pour les centaures sacrifiant de nombreuses fois sa vie, participait au plan de bataille en élaborant et dirigeant d'épique bataille, lui qui aussi avait pris du temps pour former les plus jeunes et s'occupait des fonctions administratifs que peu se dévouait pour les remplir ! Mais chez les humains, on s'étai méfié de lui, puis certain l'avait accepté mais il n'était plus qu'un artilleur sur les champs de bataille, personne ne reconnaissait sa bravoure au combat alors que bien des fois il s'était senti seul face à des hordes ! Petit à petit il gardait l'or, ne redistribuant plus ses gains à la caisse pour finalement devenir solitaire !

Il reconnut le démon, c'était son vieil mai Yaenwe ! Encore une ancienne gloire de l'empire centaure (tout comme Poppu), lui aussi avait beaucoup changé physiquement. Poppu s'approcha et vit qu'il était blessé. Yaenwe voulut d'abord se défendre en employant le peu de mana qui lui restait ! Poppu lui compris qu'il ne le reconnaissait pas sous ses traits lui releva son identité ! Yaenwe fut abasourdi. Poppu lui conta alors son histoire tout en le soignant. Puis il le questionna à son tour sur ce que le démon faisait là et pourquoi il était blessé. Yaenwe lui expliqua qu'il avait combattu des chasseurs afin de sauver la tanière et tenter de la soigner, mais malgré les avoir tué et maudit ils étaient revenus et avaient tout de même réussi à détruire la tanière et le blesser grièvement. Poppu interrompu le discours de yaenwe et lui demanda ce qu'il voulait dire par soigner la tanière, Yaenwe lui répondit qu'avec l'expérience qu'il avait avec les loups il devrait savoir soigner la tanière et la localiser ! En voyant que Poppu ne comprenait toujours pas de ce qu'il parlait, Yaenwe entreprit de lui donner des cours. C'est ainsi qu'un démon et humain restèrent plusieurs jours ensemble.

Presque une demi lune s'était accompli, enfin Poppu maîtrisait les arcanes du dressage, il lui avait manqué un maître pour que l'amour des loups deviennent enfin une vocation. Selon yaenwe l'élève n'étais pas mauvais, il avait beaucoup appris mais il lui resté beaucoup de chemin à parcourir si il voulait dépasser le maître en la matière et de faire bien attention à un jeune démon, Yamaël.

- Pourquoi faire attention à un dresseur ? Demanda Poppu.
- Celui-ci fait parti d'une nouvelle génération de dresseur qui ne maîtrise pas les arcannes de la magie mais qui utilise la force afin de dresser des loups, cette école avait pour maître feu Uther Pendragon, qui a malheureusement disparu, (tué par Yamaël ???) il dirige donc cette école avec de nombreux disciples, fait attention à lui, mais il peut être une aide importante pour t'aider à soigner la tanière.
- Vous pourriez venir avec moi dans un premier temps pour juger de mes progrès ?
- Malheureusement, j'ai de plus en plus de mal à me réincarner, mes apparitions sont de plus en plus rares ? Est ce cela la vraie mort ?

Poppu ne répondit pas, mais Yaenwe comprit qu'il avait vu de ses propres yeux quelqu'un mourir définitivement de ces terres, disparaître subitement comme lorsque nous sommes apparus un triste jour sur ces terres désolées. Après quelques minutes de silence Poppu reprit la parole :

- Mais vous avez peut être d'autre disciple, où pourrais je les trouver ?
- Malheureusement après la chute vertigineuse de l'empire centaure, beaucoup ont abandonné ! Il doit sûrement rester quelques dresseurs mais ceux-ci n'ont pas ta trempe, part tout de même à leur recherche on ne sait jamais! Maintenant va remplir ta mission !

Sur ces mots, Poppu laissa Yaenwe pratiquement guéri, et commença par localiser la tanière. Peut être rencontrerait il d'autre dresseur en allant directement sur un lieu commun à tous !
Plus Poppu s'approchait plus il entendait le bruit de guerrier entrain de détruire quelque chose, Poppu commençait à se douter qu'il s'agissait de la tanière, il se hâta donc. A quelques mètres de la tanière, Poppu commença à reprendre goût à ses instincts guerriers, il tua les premiers chasseurs qu'il rencontra, ils n'opérèrent aucune résistance, puis averti par les cris de rage, un béonide s'approcha, il s'agissait de Turak, décidément ce monde était petit et leur rencontre semblait indéniable ! Le combat allait être terrible, Turak avait une grande force physique, et semblait doter d'une vitalité hors du commun ! Ce béonide devait bien avoir un point faible ??? Lors de la première charge, chacun porta un coup qui blessa l'autre sans le tuer. Poppu avait vraiment pris un très mauvais coup tandis que son adversaire semblait légèrement blessé, mais sur cette première charge, Poppu comprit qu'elle était le point faible de Turak ! Ce gros balourd était aussi lent qu'hallazerke après qu'il ait bu comme un trou ! Poppu réattaqua sur le champ avant que le béonide reprendre ses esprits, il le blessa encore un peu, tandis que le béonide surpris le rata, Poppu pût enfin tuer ce monstre sur une troisième attaque !

A sa grande stupeur, il ne restait qu'un chasseur humain, les autres petits chasseurs avaient préféré fuir en voyant Turak se faire tuer par quelqu'un ! Il s'agissait de Snaker, Poppu s'approcha de lui et sans lui dire un mot le tua. Il venait de tuer quelqu'un qui appartenait à la même race que lui, froidement, comme s'il s'agissait d'un ennemi. Qu'avait il donc fait ? Comment en était il arrivé si bas ? Après les changements physiques ? Voilà que des changements moraux s'opéraient ! En quoi allait il se transformer maintenant ?

Un rire démoniaque se fit entendre au loin, interrompant la pensée de Poppu ! Qui était il ? Poppu avait donné pratiquement toutes ses forces pour achever Turak et était blessé mortellement, il se prépara au combat même si la défaite était inévitable !

- Tu me plais drôlement ex petit humain ! Je ne te connais pas mais je sens que nous allons nous apprécier !

[Poppu]

Poppu passait de plus en plus de temps avec les démons, mais il s'était jusque là interdit de rentrer dans l'enceinte de Pandora, malgré les invitations de plusieurs démons. Il avait pourtant pu apercevoir le nombre important de dresseurs apparentés à la race démone mais il se méfiait toujours de Yamaël à cause des propos de son Maître ; Maître qui avait finalement fini par disparaître entièrement de ces terres sans laisser aucune trace !
Poppu, solitaire, était enfin libre de ces mouvements, ils n'avaient de compte à rendre à personnes et pouvait à son loisir combattre les ennemis de la tanière. Mais sans aucun compagnon d'armes ni de loups le temps se faisait long ! Il se surprenait même à apprécier la venue d'ennemi pour parler à quelqu'un et faire autre chose que de soigner cette maudite tanière qui n'en finissait pas de tomber sous les coups des chasseurs. Au bout de quelques jours, une question le taraudait de plus en plus : " Pourquoi n'arrive je pas à mieux soigner la tanière ? Suis je trop faible ? " Poppu comprit alors qu'il n'était pas encore suffisamment expert en dressage pour soigner la tanière. Après mûre réflexion, il comprit qu'une seule personne pouvait l'aider à s'améliorer. Mais cette personne se trouvait à Pandora, et les stigmates de l'accueil des humains étaient encore dans son coeur, Poppu ne voulait pas revivre une fois de plus une telle expérience ! Mais le désir d'apprendre était plus fort que tout. Il décida donc d'aller à la rencontre de Yamaël à Pandora pour apprendre de lui et améliorer son art.
Il quitta donc un beau matin la tanière en expliquant à Gaïa que ce départ n'était pas un adieu mais qu'il reviendrait plus fort et résistant pour lutter plus efficacement contre les chasseurs. (Et oui la solitude était elle que Poppu parlait à Gaïa...) Pendant son trajet, il traversa plusieurs villages humains mais à chaque fois ceux ci étaient soit complètement détruit soit il n' y avait aucune âme qui vive. Après avoir esquivé plusieurs combats, il devait maintenant s’enfoncer dans les terres démones, les déplacements étaient de plus en plus difficiles mais au bout d'un moment il s'habitua et il lui semblait de ne s'être jamais aussi vite déplacé ! Enfin il arriva devant une majestueuse porte qui avait l’air d’être un passage pour entrer dans Pandora, et il vit un non moins majestueux démons à 6 bras qui paraissait immense.
Poppu arriva devant Attila, le gardien de Pandora. Bien que le démon aux six bras en imposait, cela ne semblait pas plus que ça perturber Poppu, ce qu'il craignait c'est qu'il lui refuse l'accès pour son apparence humaine. Mais ce qu'ignorait Poppu c'est que son esprit avait transformé son corps petit à petit après le coup bas porté à Snaker et qu'aujourd'hui il avait perdu totalement son apparence humaine pour devenir le lycanthrope qu'il était, sans retour possible...

[Poppu]

Poppu passait de plus en plus de temps avec les démons, mais il s'était jusque là interdit de rentrer dans l'enceinte de Pandora, malgré les invitations de plusieurs démons. Il avait pourtant pu apercevoir le nombre important de dresseurs apparentés à la race démone mais il se méfiait toujours de Yamaël à cause des propos de son Maître ; Maître qui avait finalement fini par disparaître entièrement de ces terres sans laisser aucune trace !
Poppu, solitaire, était enfin libre de ces mouvements, ils n'avaient de compte à rendre à personnes et pouvait à son loisir combattre les ennemis de la tanière. Mais sans aucun compagnon d'armes ni de loups le temps se faisait long ! Il se surprenait même à apprécier la venue d'ennemi pour parler à quelqu'un et faire autre chose que de soigner cette maudite tanière qui n'en finissait pas de tomber sous les coups des chasseurs. Au bout de quelques jours, une question le taraudait de plus en plus : " Pourquoi n'arrive je pas à mieux soigner la tanière ? Suis je trop faible ? " Poppu comprit alors qu'il n'était pas encore suffisamment expert en dressage pour soigner la tanière. Après mûre réflexion, il comprit qu'une seule personne pouvait l'aider à s'améliorer. Mais cette personne se trouvait à Pandora, et les stigmates de l'accueil des humains étaient encore dans son coeur, Poppu ne voulait pas revivre une fois de plus une telle expérience ! Mais le désir d'apprendre était plus fort que tout. Il décida donc d'aller à la rencontre de Yamaël à Pandora pour apprendre de lui et améliorer son art.
Il quitta donc un beau matin la tanière en expliquant à Gaïa que ce départ n'était pas un adieu mais qu'il reviendrait plus fort et résistant pour lutter plus efficacement contre les chasseurs. (Et oui la solitude était elle que Poppu parlait à Gaïa...) Pendant son trajet, il traversa plusieurs villages humains mais à chaque fois ceux ci étaient soit complètement détruit soit il n' y avait aucune âme qui vive. Après avoir esquivé plusieurs combats, il devait maintenant s’enfoncer dans les terres démones, les déplacements étaient de plus en plus difficiles mais au bout d'un moment il s'habitua et il lui semblait de ne s'être jamais aussi vite déplacé ! Enfin il arriva devant une majestueuse porte qui avait l’air d’être un passage pour entrer dans Pandora, et il vit un non moins majestueux démons à 6 bras qui paraissait immense.
Poppu arriva devant Attila, le gardien de Pandora. Bien que le démon aux six bras en imposait, cela ne semblait pas plus que ça perturber Poppu, ce qu'il craignait c'est qu'il lui refuse l'accès pour son apparence humaine. Mais ce qu'ignorait Poppu c'est que son esprit avait transformé son corps petit à petit après le coup bas porté à Snaker et qu'aujourd'hui il avait perdu totalement son apparence humaine pour devenir le lycanthrope qu'il était, sans retour possible...

[Poppu]

Cela faisait plusieurs lunes que Poppu avait franchis l'entrée de Pandora. Il avait appris à connaitre son nouveau corps mais son esprit avait considérablement changé. Après son passage chez les humains qui l'avait rendu solitaire, son passage chez les démons le renda violent et sûr de sa force, renforçant encore plus son égocentrisme. Ce climat le poussa dès le début à fuir et à se réfugier sur les champs de bataille pour oublier ce perpétuel rapport de force. Pendant les batailles, il n'occupait pas des postes clés mais sa férocité au combat le fit rapidement accepté au sein des démons.
Son intégration fut renforcé par le fait que les démons sous l'impulsion de Yamaël et de feu Uther, avait développé une communauté de dresseur, cette école était contraire aux idées de son maitre Yaenwe, mais comme lui il se fit rapidement corrompre et abandonna rapidement les idéaux qu'il défendait, finissant ainsi sa complète adaptation chez les démons.

Mais voilà plusieurs jours que Poppu souffrait d'une terrible douleur. Son corps et son esprit semblait être en conflit. Or à Pandora, il n'y avait pas de nombreux archi-mage, d'ailleurs les arcanes magique démones autrefois craintes par tout les peuples étaient maintenant risibles, tellement risibles que Poppu était considéré comme un maître en la matière ! Malgré cela Diehengard faisait référence au sein des démons, associés à ses connaissances alchimistes, il serait peut être capable de guérir Poppu.
Malheureusement celui ci, trop occupé ou ne voulant admettre que ce mal le dépassait ne put l'aider.

C'est pourquoi Poppu décida de partir à la recherche de son ancien collègue d'alchimie Tagazok, grâce à sa connaissance des plantes, il pourrait peut être diagnostiquer un remède ! Les rumeurs faisaient part de sa présence dans une contrée lointaine abandonnée de tous. Pour y accéder, encore fallait il soudoyer le vil hallazerke. Malgré leur vieil complicité celui ci était toujours autant avare car le seul à être capable de téléporter quelqu'un aussi loin de ces terres ravagées par la guerre.
Une fois arrivé sur ces terres sableuses et plates, la localisation de Tagazok fut assez facile, par contre le temps qu'il mis à reconnaitre Poppu, le fut moins. Après d'âpre discussion, une intense reflexion et une recherche dans quelques centaines de grimoire, Tagazok trouva enfin quelque chose, la potion de polymorphisme faisait encore des siennes ! Cette potion ne change pas son utilisateur en une forme fixe, mais selon le caractère d'âme de la victime.

- Qu'est ce que tu racontes tag, je ne comprends rien à ton accent !
- Je dis que tu fais ta mue !!!
- Et pour mes douleurs ?
- Ha, oui, pas de panique, c'est marqué qu'en présence de forte chaleur, la potion peut entrainer de forte douleur pouvant être contraignante.
- Contraignante ! Il en a de bonne lui ! Et tu as un remède au moins !?
- Prend cet item, Chauff me l'a laissé, il l'aurait volé au curé, ça s'appelle le saint thôl, et ça permet de faire plein de chose comme marché sur l'eau ou multiplier les pains...

Après quelques jours de convalescence, la douleur partie, Poppu puis enfin voir les transformations s'opérer. Il était devenu un dragon ...

[Poppu]

Cela faisait plusieurs lunes que Poppu avait franchis l'entrée de Pandora. Il avait appris à connaitre son nouveau corps mais son esprit avait considérablement changé. Après son passage chez les humains qui l'avait rendu solitaire, son passage chez les démons le renda violent et sûr de sa force, renforçant encore plus son égocentrisme. Ce climat le poussa dès le début à fuir et à se réfugier sur les champs de bataille pour oublier ce perpétuel rapport de force. Pendant les batailles, il n'occupait pas des postes clés mais sa férocité au combat le fit rapidement accepté au sein des démons.
Son intégration fut renforcé par le fait que les démons sous l'impulsion de Yamaël et de feu Uther, avait développé une communauté de dresseur, cette école était contraire aux idées de son maitre Yaenwe, mais comme lui il se fit rapidement corrompre et abandonna rapidement les idéaux qu'il défendait, finissant ainsi sa complète adaptation chez les démons.

Mais voilà plusieurs jours que Poppu souffrait d'une terrible douleur. Son corps et son esprit semblait être en conflit. Or à Pandora, il n'y avait pas de nombreux archi-mage, d'ailleurs les arcanes magique démones autrefois craintes par tout les peuples étaient maintenant risibles, tellement risibles que Poppu était considéré comme un maître en la matière ! Malgré cela Diehengard faisait référence au sein des démons, associés à ses connaissances alchimistes, il serait peut être capable de guérir Poppu.
Malheureusement celui ci, trop occupé ou ne voulant admettre que ce mal le dépassait ne put l'aider.

C'est pourquoi Poppu décida de partir à la recherche de son ancien collègue d'alchimie Tagazok, grâce à sa connaissance des plantes, il pourrait peut être diagnostiquer un remède ! Les rumeurs faisaient part de sa présence dans une contrée lointaine abandonnée de tous. Pour y accéder, encore fallait il soudoyer le vil hallazerke. Malgré leur vieil complicité celui ci était toujours autant avare car le seul à être capable de téléporter quelqu'un aussi loin de ces terres ravagées par la guerre.
Une fois arrivé sur ces terres sableuses et plates, la localisation de Tagazok fut assez facile, par contre le temps qu'il mis à reconnaitre Poppu, le fut moins. Après d'âpre discussion, une intense reflexion et une recherche dans quelques centaines de grimoire, Tagazok trouva enfin quelque chose, la potion de polymorphisme faisait encore des siennes ! Cette potion ne change pas son utilisateur en une forme fixe, mais selon le caractère d'âme de la victime.

- Qu'est ce que tu racontes tag, je ne comprends rien à ton accent !
- Je dis que tu fais ta mue !!!
- Et pour mes douleurs ?
- Ha, oui, pas de panique, c'est marqué qu'en présence de forte chaleur, la potion peut entrainer de forte douleur pouvant être contraignante.
- Contraignante ! Il en a de bonne lui ! Et tu as un remède au moins !?
- Prend cet item, Chauff me l'a laissé, il l'aurait volé au curé, ça s'appelle le saint thôl, et ça permet de faire plein de chose comme marché sur l'eau ou multiplier les pains...

Après quelques jours de convalescence, la douleur partie, Poppu puis enfin voir les transformations s'opérer. Il était devenu un dragon ...

[Poppu]

Durant sa convalescence, Poppu essaya de déchiffrer un étrange conte du pas moins étrange livre que lui avait donné son ami.

Le Berserk et le Tank

Le Berserk ayant, xpété
Toute l'année,
Se trouva fort dépourvu
Quand la fatigue fut venue :
Plus un seul petit OneShoot
De dégâts ou de touches.
Il alla crier scandale
Chez le Tank ce chacal,
Le priant de se faire tuer
Afin d'avoir quelques Xp
Jusqu'à avoir une défense correcte
"Je vous truciderai, insecte,
Foi de Berserkl,
je vais te transformer en steak. "
Le Tank étant rancunier :
C'est là sa spécialité.
Que faisiez-vous de vos Xp ?
Dit-il à cet éclopé.
- Nuit et jour à tout venant
Je les mettais en attaque, ne vous déplaise.
- Vous les mettiez en attaque ? j'en suis fort aise.
Eh bien! galérez maintenant.

Comme c'est bizarre ce langage ! Qu'est ce que cela peut bien signifier ???

[Poppu]

Durant sa convalescence, Poppu essaya de déchiffrer un étrange conte du pas moins étrange livre que lui avait donné son ami.

Le Berserk et le Tank

Le Berserk ayant, xpété
Toute l'année,
Se trouva fort dépourvu
Quand la fatigue fut venue :
Plus un seul petit OneShoot
De dégâts ou de touches.
Il alla crier scandale
Chez le Tank ce chacal,
Le priant de se faire tuer
Afin d'avoir quelques Xp
Jusqu'à avoir une défense correcte
"Je vous truciderai, insecte,
Foi de Berserkl,
je vais te transformer en steak. "
Le Tank étant rancunier :
C'est là sa spécialité.
Que faisiez-vous de vos Xp ?
Dit-il à cet éclopé.
- Nuit et jour à tout venant
Je les mettais en attaque, ne vous déplaise.
- Vous les mettiez en attaque ? j'en suis fort aise.
Eh bien! galérez maintenant.

Comme c'est bizarre ce langage ! Qu'est ce que cela peut bien signifier ???