forumxm.com

[Cerbie_Mercantilus]

[HRP: Ce texte possede un caractere erotique, et un contenu apte a choquer les plus jeune. Il a donc ete decider de l'interdir au plus jeunes de moin de 16 ans. Veuillez eloigner les enfants de l'ordinateur!... meme si les premiers post sont tout gentil.

Le principe de ce rp est tres simple: Il s'agit d'exactement la meme scene, mais d'ecrite une foi du point de vue de Cerbie, suivit ensuite du point de vue de Iarnvida, afin d'avoir les sentiments des deux perso.

Et sinon, ce texte demarre tout juste apres que Iarn ai accepté la demande en mariage de Cerbie.... BONNE LECTURE! ]





Une force nouvelle en lui, Cerbie passa le reste de l'après midi, ainsi que la nuit complète en compagnie de son aimée.
Il n'avait même pas pensé à aller annoncer la nouvelle à ses amis de la montagne... Non, tout ce qu'il voulait, c'était passer du temps en compagnie de sa fiancée, si belle et si jolie sous sa cape.

Cette nuit ne fut pas comme l'on pourrait s'y attendre une nuit d'intimité physique...
Non, ne se sentant prêt ni l'un ni l'autre encore, ils la passèrent à discuter. De leur peur et de leur angoisse, de leur joie et de leur bonheur...
Une complicité rare était née dans ce couple nouvellement créé. Une complicité rare, même dans les relations de longues dates.
Ils rirent et pleurèrent ensemble, s'écoutèrent et se consolèrent... Les liens qui les unissaient se renforçaient de minutes en minutes...


Et, lorsque ensembles, ils regardèrent le soleil se lever, assis sur un rocher, dans les bras l'un de l'autre, on pouvait dire qu'ils n'avaient plus de secret l'un pour l'autre.

Se levant, ils firent alors le tour des grottes béonides, afin d'annoncer la nouvelle, et d'afficher leur joie mutuelle.

Entre félicitations, et congratulations, ils ne purent plus être seul de toute la matinée...
Pas plus que l'après midi d'ailleurs... On déménageait les quelques affaires d'Iarnvida dans la grotte de Cerbie, on rigola autour du barbeuk... On les pressa encore et encore de se choisir très vite un nom, chose délicate si il en est.

Mais enfin, le soir vint, et les deux amoureux se retrouvèrent seul, entrant dans ce qui était maintenant leur grotte.
Tout comme la dernière fois qu'il avait passé cette porte avec elle, Cerbie se sentait angoissé...
Les choses avaient évolué très vite entre eux...
Et aujourd'hui, il avait envie de tenir la jeune béonide contre lui, de sentir sa chaleur lorsqu'il la serrerait. Il avait envie de humer son odeur, encore et encore. Il avait envie de la caresser, de la rassurer, de lui donner tout le plaisir qu'elle méritait...
Aujourd'hui, ce que l'enivrante présence de Iarnvida inspirait à Cerbie était un amour inconditionnel, qu'il rêvait de concrétiser par un acte.
Ce soir, il l'espérait, et le craignait aussi, serait un soir ou il pourrait s'unir a elle, ne plus former que un.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Cerbie_Mercantilus]

[HRP: Ce texte possede un caractere erotique, et un contenu apte a choquer les plus jeune. Il a donc ete decider de l'interdir au plus jeunes de moin de 16 ans. Veuillez eloigner les enfants de l'ordinateur!... meme si les premiers post sont tout gentil.

Le principe de ce rp est tres simple: Il s'agit d'exactement la meme scene, mais d'ecrite une foi du point de vue de Cerbie, suivit ensuite du point de vue de Iarnvida, afin d'avoir les sentiments des deux perso.

Et sinon, ce texte demarre tout juste apres que Iarn ai accepté la demande en mariage de Cerbie.... BONNE LECTURE! ]





Une force nouvelle en lui, Cerbie passa le reste de l'après midi, ainsi que la nuit complète en compagnie de son aimée.
Il n'avait même pas pensé à aller annoncer la nouvelle à ses amis de la montagne... Non, tout ce qu'il voulait, c'était passer du temps en compagnie de sa fiancée, si belle et si jolie sous sa cape.

Cette nuit ne fut pas comme l'on pourrait s'y attendre une nuit d'intimité physique...
Non, ne se sentant prêt ni l'un ni l'autre encore, ils la passèrent à discuter. De leur peur et de leur angoisse, de leur joie et de leur bonheur...
Une complicité rare était née dans ce couple nouvellement créé. Une complicité rare, même dans les relations de longues dates.
Ils rirent et pleurèrent ensemble, s'écoutèrent et se consolèrent... Les liens qui les unissaient se renforçaient de minutes en minutes...


Et, lorsque ensembles, ils regardèrent le soleil se lever, assis sur un rocher, dans les bras l'un de l'autre, on pouvait dire qu'ils n'avaient plus de secret l'un pour l'autre.

Se levant, ils firent alors le tour des grottes béonides, afin d'annoncer la nouvelle, et d'afficher leur joie mutuelle.

Entre félicitations, et congratulations, ils ne purent plus être seul de toute la matinée...
Pas plus que l'après midi d'ailleurs... On déménageait les quelques affaires d'Iarnvida dans la grotte de Cerbie, on rigola autour du barbeuk... On les pressa encore et encore de se choisir très vite un nom, chose délicate si il en est.

Mais enfin, le soir vint, et les deux amoureux se retrouvèrent seul, entrant dans ce qui était maintenant leur grotte.
Tout comme la dernière fois qu'il avait passé cette porte avec elle, Cerbie se sentait angoissé...
Les choses avaient évolué très vite entre eux...
Et aujourd'hui, il avait envie de tenir la jeune béonide contre lui, de sentir sa chaleur lorsqu'il la serrerait. Il avait envie de humer son odeur, encore et encore. Il avait envie de la caresser, de la rassurer, de lui donner tout le plaisir qu'elle méritait...
Aujourd'hui, ce que l'enivrante présence de Iarnvida inspirait à Cerbie était un amour inconditionnel, qu'il rêvait de concrétiser par un acte.
Ce soir, il l'espérait, et le craignait aussi, serait un soir ou il pourrait s'unir a elle, ne plus former que un.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Iarnvida]

Leur premier baiser, après leurs fiançailles… Un baiser qui était le premier pas vers une vie à deux, une vie faite d’amour et de bonheur. C’était irréel, la flamme qui naquit entre eux avait tout brûler si vite, elle avait su consumer toutes craintes, toutes peines et ce baiser embrasant avait tout changé dans le cœur de la jeune béonide.

Elle n’aurait jamais espéré ressentir une telle attraction pour quelqu’un, qu’elle connaissait à peine… Mais avec lui tout était si facile, comme si l’univers entier les avaient réunis tant ils étaient faits pour vivre ensemble. A chaque mot qu’elle prononçait, Cerbie savait trouver les mots justes pour y répondre, et leurs conversations était si aisées, si évidentes, que l’on aurait cru qu’ils s’étaient toujours connu.

Assis sur un rocher près de l’entrée de leur grotte, ils vivaient leurs premiers instants de fiancés. L’un contre l’autre ils se confièrent alors tous ce qu’ils n’avaient jamais eu envie de confier à nul autre, craintes et désirs à propos du futur, ce qui constituait leur passé, et tout ce qu’il faisait qu’elle était elle, et qu’il était lui, avec comme seul témoin à l’horizon un soleil qui se couchait… Mais Iarnvida, elle, ne voulut pas se coucher, et perdre une seule minute de cette nuit qui s’annonçait unique… Si bien que lorsque le soleil réapparut, l'astre flamboyant trouva ce couple de béonides toujours assis l’un près de l’autre, comme si la nuit n’avait duré que quelques minutes.

C’est donc plus complices que jamais que les deux béonides épris se rendirent voir leurs compagnons de la montagne, qui ne savaient encore rien de leur union… Iarnvida avait l’impression de n’avoir pas vu les autres béonides depuis des jours tant l’amour qu’elle éprouvait pour Cerbie l’avait changée.

Comme il est coutume à la montagne, un grand barbeuk fut organisé en leur honneur, durant lequel Iarnvida ne put s’empêcher de sourire sans arrêt… Une nouvelle vie commençait aujourd’hui, alors qu’aux yeux de tous, leur amour était officiel…

Lorsqu’ils rentrèrent le soir dans la fabuleuse grotte qui comptait maintenant les quelques affaires de Iarnvida, la béonide se sentit angoissée… Elle sentait que le désir d’une nuit plus charnelle avait naquit dans le cœur du magnifique béonide qui l’aimait tant… Mais à cette pensée, l’estomac de Iarnvida se nouait : Et si elle le décevait ? Et si elle n’était pas prête ? Et surtout… Et surtout, cet immonde bras droit, qu’en penserait-il ? Iarnvida regarda avec méprit son membre encore caché par l'un de ses vêtements. Maudit soit cette crainte qui lui empêchait de plonger son regard dans celui, doux, de son aimé.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Leur premier baiser, après leurs fiançailles… Un baiser qui était le premier pas vers une vie à deux, une vie faite d’amour et de bonheur. C’était irréel, la flamme qui naquit entre eux avait tout brûler si vite, elle avait su consumer toutes craintes, toutes peines et ce baiser embrasant avait tout changé dans le cœur de la jeune béonide.

Elle n’aurait jamais espéré ressentir une telle attraction pour quelqu’un, qu’elle connaissait à peine… Mais avec lui tout était si facile, comme si l’univers entier les avaient réunis tant ils étaient faits pour vivre ensemble. A chaque mot qu’elle prononçait, Cerbie savait trouver les mots justes pour y répondre, et leurs conversations était si aisées, si évidentes, que l’on aurait cru qu’ils s’étaient toujours connu.

Assis sur un rocher près de l’entrée de leur grotte, ils vivaient leurs premiers instants de fiancés. L’un contre l’autre ils se confièrent alors tous ce qu’ils n’avaient jamais eu envie de confier à nul autre, craintes et désirs à propos du futur, ce qui constituait leur passé, et tout ce qu’il faisait qu’elle était elle, et qu’il était lui, avec comme seul témoin à l’horizon un soleil qui se couchait… Mais Iarnvida, elle, ne voulut pas se coucher, et perdre une seule minute de cette nuit qui s’annonçait unique… Si bien que lorsque le soleil réapparut, l'astre flamboyant trouva ce couple de béonides toujours assis l’un près de l’autre, comme si la nuit n’avait duré que quelques minutes.

C’est donc plus complices que jamais que les deux béonides épris se rendirent voir leurs compagnons de la montagne, qui ne savaient encore rien de leur union… Iarnvida avait l’impression de n’avoir pas vu les autres béonides depuis des jours tant l’amour qu’elle éprouvait pour Cerbie l’avait changée.

Comme il est coutume à la montagne, un grand barbeuk fut organisé en leur honneur, durant lequel Iarnvida ne put s’empêcher de sourire sans arrêt… Une nouvelle vie commençait aujourd’hui, alors qu’aux yeux de tous, leur amour était officiel…

Lorsqu’ils rentrèrent le soir dans la fabuleuse grotte qui comptait maintenant les quelques affaires de Iarnvida, la béonide se sentit angoissée… Elle sentait que le désir d’une nuit plus charnelle avait naquit dans le cœur du magnifique béonide qui l’aimait tant… Mais à cette pensée, l’estomac de Iarnvida se nouait : Et si elle le décevait ? Et si elle n’était pas prête ? Et surtout… Et surtout, cet immonde bras droit, qu’en penserait-il ? Iarnvida regarda avec méprit son membre encore caché par l'un de ses vêtements. Maudit soit cette crainte qui lui empêchait de plonger son regard dans celui, doux, de son aimé.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Cerbie_Mercantilus]

Ne sachant pas si elle espérait la même chose que lui, Cerbie n'osait pourtant être trop entreprenant.... Il ne voulait surtout pas la presser elle si elle ne se sentait pas prête.

Avec galanterie, il lui ôta sa cape, superflue dans la douce chaleur de la grotte.... Ceci dévoila bien sur son bras, mais elle lui en avait déjà parlé, et il n'en avait cure... Lorsqu'on a la chance qu'une telle créature de rêve vous accepte, qui se soucierait d'une petite bizarrerie comme celle ci?
Sentant les muscles de sa compagne nouée après une journée aussi chargé, Cerbie lui proposa de venir se baigner dans le bassin...

Il ôta lui même ces vêtements, ne gardant que son pagne, et entra doucement dans l'eau, chaude sans être brûlante.
Il s'adossa contre le mur du fond, et regarda avec amour sa fiancée, encore hésitante...
Avec un tendre sourire, il lui dit:
« Viens ma chérie, elle est bonne.... Cela te fera du bien après une journée comme celle ci! »

Bien qu'elle ne parut toujours pas assurée, Iarnvida commença a retirer ses vêtements.... Sa cuirasse de cuire... révélant un torse d'une absolue beauté, et un soutient gorge qui laissait deviner des merveilles...
Ses chaussures, et son pantalon tressé, qui dévoila deux longues jambes galbées et musclées...
Buvant son image, enregistrant dans sa tête les moindre détail de cette scène, admirant sa compagne dans ces sous vêtements, Cerbie ne put s'empêcher de sentir l'excitation monter en lui...
Qu'elle était belle! Que sa peau paraissait douce!

Doucement, elle entra dans l'eau...
Ne pouvant toujours pas détacher son regard d'elle, Cerbie dut encore une foi se dire que non, il ne rêvait pas, que cette beauté était sa fiancée, et bientôt sa femme.

Alors que Iarnvida se laissait flotter sur le dos, ses cheveux flottant autour d'elle, lui dessinant une auréole, son futur mari s'approcha d'elle.
Angoissé, tremblant a l'idée de brusquer la chose, de mal faire, Cerbie caressa doucement le visage de sa tendre aimée.

Le regard rivé sur ce visage si délicat, et ça corps parfait, il l'embrassa tendrement, laissant tout son amour éclater dans ce baisé.
Elle se redressa alors, et, le regardant dans les yeux, lui rendit son baisé.

Avec ce qu'il espérait être des gestes doux et aimant, Cerbie enlaça sa compagne, et lui caressa le dos et les cheveux, tout en continuant ce merveilleux baisé.

Doucement, comme pour voir si Iarnvida était prête, et n'allai pas le repousser, Cerbie baissa la main qui caressait le dos de son aimée jusqu'à la délicieuse courbe de son postérieur... Sentant sous la culotte de sa fiancée, la peau douce et chaude des ses fesses.
Il la sentit frissonner quelque peu, mais elle ne fit pas le moindre geste, ni ne lui demanda de retirer sa main.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Cerbie_Mercantilus]

Ne sachant pas si elle espérait la même chose que lui, Cerbie n'osait pourtant être trop entreprenant.... Il ne voulait surtout pas la presser elle si elle ne se sentait pas prête.

Avec galanterie, il lui ôta sa cape, superflue dans la douce chaleur de la grotte.... Ceci dévoila bien sur son bras, mais elle lui en avait déjà parlé, et il n'en avait cure... Lorsqu'on a la chance qu'une telle créature de rêve vous accepte, qui se soucierait d'une petite bizarrerie comme celle ci?
Sentant les muscles de sa compagne nouée après une journée aussi chargé, Cerbie lui proposa de venir se baigner dans le bassin...

Il ôta lui même ces vêtements, ne gardant que son pagne, et entra doucement dans l'eau, chaude sans être brûlante.
Il s'adossa contre le mur du fond, et regarda avec amour sa fiancée, encore hésitante...
Avec un tendre sourire, il lui dit:
« Viens ma chérie, elle est bonne.... Cela te fera du bien après une journée comme celle ci! »

Bien qu'elle ne parut toujours pas assurée, Iarnvida commença a retirer ses vêtements.... Sa cuirasse de cuire... révélant un torse d'une absolue beauté, et un soutient gorge qui laissait deviner des merveilles...
Ses chaussures, et son pantalon tressé, qui dévoila deux longues jambes galbées et musclées...
Buvant son image, enregistrant dans sa tête les moindre détail de cette scène, admirant sa compagne dans ces sous vêtements, Cerbie ne put s'empêcher de sentir l'excitation monter en lui...
Qu'elle était belle! Que sa peau paraissait douce!

Doucement, elle entra dans l'eau...
Ne pouvant toujours pas détacher son regard d'elle, Cerbie dut encore une foi se dire que non, il ne rêvait pas, que cette beauté était sa fiancée, et bientôt sa femme.

Alors que Iarnvida se laissait flotter sur le dos, ses cheveux flottant autour d'elle, lui dessinant une auréole, son futur mari s'approcha d'elle.
Angoissé, tremblant a l'idée de brusquer la chose, de mal faire, Cerbie caressa doucement le visage de sa tendre aimée.

Le regard rivé sur ce visage si délicat, et ça corps parfait, il l'embrassa tendrement, laissant tout son amour éclater dans ce baisé.
Elle se redressa alors, et, le regardant dans les yeux, lui rendit son baisé.

Avec ce qu'il espérait être des gestes doux et aimant, Cerbie enlaça sa compagne, et lui caressa le dos et les cheveux, tout en continuant ce merveilleux baisé.

Doucement, comme pour voir si Iarnvida était prête, et n'allai pas le repousser, Cerbie baissa la main qui caressait le dos de son aimée jusqu'à la délicieuse courbe de son postérieur... Sentant sous la culotte de sa fiancée, la peau douce et chaude des ses fesses.
Il la sentit frissonner quelque peu, mais elle ne fit pas le moindre geste, ni ne lui demanda de retirer sa main.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Iarnvida]

Cerbie s’avança vers elle, avec un sourire pleins de passion. Il prit sa bien-aimée par les épaules avant de l’aider à enlever son manteau. Pendant un instant le cœur de Iarnvida s’arrêta. Son fiancé posa ses deux magnifiques yeux bleus sur son bras. Puis il approcha son visage de l’épaule de Iarnvida qui ne bougeait plus, craignant de décevoir celui qu’elle aimait tant. Mais contre toute attente, il finit son geste en déposant dans le cou de son aimée un léger baiser. Lorsqu’il redressa la tête, on pouvait lire sur son visage le sourire le plus doux que l’on puisse imaginer… Et Iarnvida sentit dans sa poitrine son cœur recommencer à battre, tel un oiseau libéré d’une cage pleine d'appréhension.

Il lui donnait tant… Tant de bonheur. Tout était si facile avec lui, et jamais pensa-t-elle quelqu’un d’autre n’éprouverait tant de reconnaissance pour une personne.

Cerby ôta alors ses vêtements et se mit à l’aise, et finalement ne gardant que son pagne il partit se relaxer dans le bassin d’eau chaude de la grotte. Puis gardant cet irrésistible sourire aux lèvres, il dit paisiblement :

« Viens ma chérie, elle est bonne.... Cela te fera du bien après une journée comme celle ci! »

Comment résister à une telle demande… Malgré ses joues rougissantes, la béonide s’efforça de garder le plus grand naturel pour elle-même retirer ses vêtements… Ses mains tremblantes était si maladroites qu’elle avait peur de paraître ridicule devant lui. Elle entra doucement dans l’eau, ne gardant que le minimum de vêtements, en ne cessant de se poser des questions sur ce que devait penser son fiancé, dont le regard de plus en plus chaleureux n’en était que plus rassurant.

Il s’approcha doucement d’elle et ses lèvres achevèrent d’un baiser une caresse qu’il avait posé sur la joue rosit de Iarnvida. Les yeux plongés dans les siens, Iarnvida s’empressa de lui rendre ce fantastique baiser, tout en lui caressant les cheveux, ses deux bras entourant les épaules de celui qu’elle aimait plus que n’importe quel trésor que Gaia puisse offrir, et qu’elle aimerait ainsi serrer contre elle jusqu’à la fin des temps.

La main tiède de Cerbie qui effleurait son dos descendit alors pour se poser sur la culotte de Iarnvida qui malgré un frisson esquissa un sourire.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Cerbie s’avança vers elle, avec un sourire pleins de passion. Il prit sa bien-aimée par les épaules avant de l’aider à enlever son manteau. Pendant un instant le cœur de Iarnvida s’arrêta. Son fiancé posa ses deux magnifiques yeux bleus sur son bras. Puis il approcha son visage de l’épaule de Iarnvida qui ne bougeait plus, craignant de décevoir celui qu’elle aimait tant. Mais contre toute attente, il finit son geste en déposant dans le cou de son aimée un léger baiser. Lorsqu’il redressa la tête, on pouvait lire sur son visage le sourire le plus doux que l’on puisse imaginer… Et Iarnvida sentit dans sa poitrine son cœur recommencer à battre, tel un oiseau libéré d’une cage pleine d'appréhension.

Il lui donnait tant… Tant de bonheur. Tout était si facile avec lui, et jamais pensa-t-elle quelqu’un d’autre n’éprouverait tant de reconnaissance pour une personne.

Cerby ôta alors ses vêtements et se mit à l’aise, et finalement ne gardant que son pagne il partit se relaxer dans le bassin d’eau chaude de la grotte. Puis gardant cet irrésistible sourire aux lèvres, il dit paisiblement :

« Viens ma chérie, elle est bonne.... Cela te fera du bien après une journée comme celle ci! »

Comment résister à une telle demande… Malgré ses joues rougissantes, la béonide s’efforça de garder le plus grand naturel pour elle-même retirer ses vêtements… Ses mains tremblantes était si maladroites qu’elle avait peur de paraître ridicule devant lui. Elle entra doucement dans l’eau, ne gardant que le minimum de vêtements, en ne cessant de se poser des questions sur ce que devait penser son fiancé, dont le regard de plus en plus chaleureux n’en était que plus rassurant.

Il s’approcha doucement d’elle et ses lèvres achevèrent d’un baiser une caresse qu’il avait posé sur la joue rosit de Iarnvida. Les yeux plongés dans les siens, Iarnvida s’empressa de lui rendre ce fantastique baiser, tout en lui caressant les cheveux, ses deux bras entourant les épaules de celui qu’elle aimait plus que n’importe quel trésor que Gaia puisse offrir, et qu’elle aimerait ainsi serrer contre elle jusqu’à la fin des temps.

La main tiède de Cerbie qui effleurait son dos descendit alors pour se poser sur la culotte de Iarnvida qui malgré un frisson esquissa un sourire.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Cerbie_Mercantilus]

Espérant que cela était bien un encouragement, comme il l'avait ressenti, les gestes de Cerbie se firent plus pressant.
Décollant son visage de celui de sa futur femme, il caressa du dos de sa deuxième main la figure de Iarnvida... Son front, son nez, sa joue, ses lèvres si pulpeuses et agréables à embrasser.
Il descendit ensuite avec sa main, et la passa doucement le long de son cou, pour ensuite retracer du bout des doigts le sillon entres les seins de Iarnvida.

Craignant toujours qu'elle se dérobe, et n'osant pas réellement croire qu'elle allait le laisser continuer, Cerbie remonta la main qui se trouvait sur les fesses de sa fiancée, et l'amena jusqu'à l'arrière du soutien gorge, dans le but de le détacher...
Chose aisée à prévoir, beaucoup moins à réaliser lorsqu'on ne sait absolument pas comment s'y prendre....

Apres quelques vaines tentatives, Iarnvida lui souri doucement, et d'un geste expert, le dégrafa, évitant ainsi a Cerbie de se ridiculiser encore plus de part son inexpérience...

Tremblant d'attente, d'aprehension et d'impatience contenue, Cerbie fit doucement glissé les deux bretelles du soutien gorge, qui tomba dans l'eau.
La vision qui se révéla à lui était absolument indescriptible... Une telle beauté, une telle harmonie dans les forme... comment était-ce possible?
Il releva les yeux, et regarda avec adoration le visage de cette femme, dont la vue du corps était si enivrante.... Ses joues étaient maintenant roses, et elle avait les yeux fermés... Attendait-elle qu'il fasse quelque chose? Fermait-elle les yeux pour ne pas voir ce qu'il allait faire? Etait-elle mal à l'aise.... Que d'interrogations et d'incertitude...

Apres un cour instant de flottement, elle ouvrit doucement les yeux, prit la main de Cerbie, et murmura dans un souffle:
« Je t'aime.... »

Elle guida ensuite la main tremblante de son futur mari jusqu'à sa poitrine...
Retenant son souffle, Cerbie n'osait prendre d'initiative, craignant de gâcher ce moment temps attendu et craint....

Apres ce qui parut une éternité, il sentit enfin sous sa paume le doux renflement de la poitrine de Iarnvida... Enfin, il touchait ce qu'il était le seul à avoir le droit de voir... Et c'est elle qui l'y avait amener!
Il remercia mentalement Gaia d'avoir créer de telles merveilles... Et Iarnvida de les lui faire partager.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Cerbie_Mercantilus]

Espérant que cela était bien un encouragement, comme il l'avait ressenti, les gestes de Cerbie se firent plus pressant.
Décollant son visage de celui de sa futur femme, il caressa du dos de sa deuxième main la figure de Iarnvida... Son front, son nez, sa joue, ses lèvres si pulpeuses et agréables à embrasser.
Il descendit ensuite avec sa main, et la passa doucement le long de son cou, pour ensuite retracer du bout des doigts le sillon entres les seins de Iarnvida.

Craignant toujours qu'elle se dérobe, et n'osant pas réellement croire qu'elle allait le laisser continuer, Cerbie remonta la main qui se trouvait sur les fesses de sa fiancée, et l'amena jusqu'à l'arrière du soutien gorge, dans le but de le détacher...
Chose aisée à prévoir, beaucoup moins à réaliser lorsqu'on ne sait absolument pas comment s'y prendre....

Apres quelques vaines tentatives, Iarnvida lui souri doucement, et d'un geste expert, le dégrafa, évitant ainsi a Cerbie de se ridiculiser encore plus de part son inexpérience...

Tremblant d'attente, d'aprehension et d'impatience contenue, Cerbie fit doucement glissé les deux bretelles du soutien gorge, qui tomba dans l'eau.
La vision qui se révéla à lui était absolument indescriptible... Une telle beauté, une telle harmonie dans les forme... comment était-ce possible?
Il releva les yeux, et regarda avec adoration le visage de cette femme, dont la vue du corps était si enivrante.... Ses joues étaient maintenant roses, et elle avait les yeux fermés... Attendait-elle qu'il fasse quelque chose? Fermait-elle les yeux pour ne pas voir ce qu'il allait faire? Etait-elle mal à l'aise.... Que d'interrogations et d'incertitude...

Apres un cour instant de flottement, elle ouvrit doucement les yeux, prit la main de Cerbie, et murmura dans un souffle:
« Je t'aime.... »

Elle guida ensuite la main tremblante de son futur mari jusqu'à sa poitrine...
Retenant son souffle, Cerbie n'osait prendre d'initiative, craignant de gâcher ce moment temps attendu et craint....

Apres ce qui parut une éternité, il sentit enfin sous sa paume le doux renflement de la poitrine de Iarnvida... Enfin, il touchait ce qu'il était le seul à avoir le droit de voir... Et c'est elle qui l'y avait amener!
Il remercia mentalement Gaia d'avoir créer de telles merveilles... Et Iarnvida de les lui faire partager.
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Iarnvida]

Cerbie semblait alors plus sûr de lui. Ses caresses avaient redoublées mais toujours aussi douces et agréables. Iarnvida contemplait le visage de son bien-aimé… Il était si parfait, elle l’aimait tellement ! Ses yeux amoureux, ses lèvres engageantes et rieuses, elle ne pouvait se lasser de le regarder, lui qu’elle aimait tant.

Elle aurait voulut mémoriser parfaitement chacun des regards de son époux en ce moment si magique. Il la regardait d’un air tantôt tendre, timide, ou rassurant… il alla même jusqu’à… grimacer ?

Iarnvida surprise de l’expression de son époux se redressa légèrement. Ce dernier regardait en l’air, sourcils froncés et sa bouche se contorsionnait pour prendre des poses de plus en plus complexes. Iarnvida sentit alors les mains de son époux qui chercher vainement à dégrafer son soutien-gorge. Elle ne put s’empêcher de sourire et attendit un peu avant de lui venir en aide, profitant encore un peu du spectacle comique qu’offrait le visage de Cerbie de plus en plus concentré.

Enfin, le vêtement qui avait donné du fil à retordre à Cerbie était ôté. Pour Iarnvida c’était un cap à passer, et maintenant elle sentait en elle monter un sentiment étrange, mêlant appréhension et bonheur. Un mélange unique d’émotions… une sensation qui lui fit fermer les yeux inconsciemment, comme pour intérioriser ce sentiment qui lui était si agréable.

Elle rouvrit les yeux sur le visage comblé de son époux, qui n’avait plus bougé depuis l’épisode du soutien-gorge.

Iarnvida comprit qu’elle devait lui redonner confiance en lui, et lui faire comprendre qu’il n’avait commis aucun faux pas, qu’elle était plus qu’heureuse de ce moment. Elle ne pouvait plus contenir cette joie de partager tout ceci avec lui… Elle saisit la main tremblante de Cerbie et tout en sentant monter en elle la plus parfaite des passions, elle lui offrit des mots qu’il était le seul à pouvoir recevoir.

« Je t’aime. »

Sur ce, elle resserra davantage sa main sur celle de son époux et la guida jusqu’à sa poitrine. Elle espérait que ce geste lui redonnerai de l’assurance.

Car aujourd’hui son corps était le sien, et qu’ils ne formeraient bientôt qu’un…
Parce qu’elle voulait partager tout ce qui lui appartenait, et que ce geste qu’elle venait de faire était synonyme d’un don de soi… d’une volonté d’union totale…
Parce que ce sentiment qui lui réchauffait le cœur, elle le lui devait, et qu’elle désirait plus que tout au monde qu’à partir de maintenant, ainsi en était-il d’eux : plus d’elle sans lui, plus de lui sans elle.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Cerbie semblait alors plus sûr de lui. Ses caresses avaient redoublées mais toujours aussi douces et agréables. Iarnvida contemplait le visage de son bien-aimé… Il était si parfait, elle l’aimait tellement ! Ses yeux amoureux, ses lèvres engageantes et rieuses, elle ne pouvait se lasser de le regarder, lui qu’elle aimait tant.

Elle aurait voulut mémoriser parfaitement chacun des regards de son époux en ce moment si magique. Il la regardait d’un air tantôt tendre, timide, ou rassurant… il alla même jusqu’à… grimacer ?

Iarnvida surprise de l’expression de son époux se redressa légèrement. Ce dernier regardait en l’air, sourcils froncés et sa bouche se contorsionnait pour prendre des poses de plus en plus complexes. Iarnvida sentit alors les mains de son époux qui chercher vainement à dégrafer son soutien-gorge. Elle ne put s’empêcher de sourire et attendit un peu avant de lui venir en aide, profitant encore un peu du spectacle comique qu’offrait le visage de Cerbie de plus en plus concentré.

Enfin, le vêtement qui avait donné du fil à retordre à Cerbie était ôté. Pour Iarnvida c’était un cap à passer, et maintenant elle sentait en elle monter un sentiment étrange, mêlant appréhension et bonheur. Un mélange unique d’émotions… une sensation qui lui fit fermer les yeux inconsciemment, comme pour intérioriser ce sentiment qui lui était si agréable.

Elle rouvrit les yeux sur le visage comblé de son époux, qui n’avait plus bougé depuis l’épisode du soutien-gorge.

Iarnvida comprit qu’elle devait lui redonner confiance en lui, et lui faire comprendre qu’il n’avait commis aucun faux pas, qu’elle était plus qu’heureuse de ce moment. Elle ne pouvait plus contenir cette joie de partager tout ceci avec lui… Elle saisit la main tremblante de Cerbie et tout en sentant monter en elle la plus parfaite des passions, elle lui offrit des mots qu’il était le seul à pouvoir recevoir.

« Je t’aime. »

Sur ce, elle resserra davantage sa main sur celle de son époux et la guida jusqu’à sa poitrine. Elle espérait que ce geste lui redonnerai de l’assurance.

Car aujourd’hui son corps était le sien, et qu’ils ne formeraient bientôt qu’un…
Parce qu’elle voulait partager tout ce qui lui appartenait, et que ce geste qu’elle venait de faire était synonyme d’un don de soi… d’une volonté d’union totale…
Parce que ce sentiment qui lui réchauffait le cœur, elle le lui devait, et qu’elle désirait plus que tout au monde qu’à partir de maintenant, ainsi en était-il d’eux : plus d’elle sans lui, plus de lui sans elle.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Cerbie_Mercantilus]

Se laissant emporter par une joie pure et profonde, Cerbie carressa le corps de sa compagne avec des plus en plus d'ardeur et, tour à tour l'embrassant fougueusement et lui mordillant le cou...

Sentir le corps chaud de la jeune béonide, pouvoir aller à sa découverte.... Jamais Cerbie n'aurait imaginer en tirer autant de bonheur.
Une telle créature de rêve qui s'offrait à lui... Elle méritait qu'il prenne soin d'elle, qu'il se surpasse pour qu'elle puisse ressentir le plaisir qu'il revait de lui offrir.

Embrassant un teton, puis mordillant l'autre, il lui arracha un premier gemissement de plaisir, ce qui l'emplit d'une certaine fierté, et d'une joie immense.

Se calmant quelque peu, il saisit Iarnvida dans ces bras, et l'alongea doucement sur le sable près du bord, la ou il n'y avait qu'environ 5 centimetre d'eau...
Il prit une seconde pour apprécier à sa juste valeur le corps de sa fiancée, magnifique dans sa quasi nudité.

Lentement, il fit glisser ses mains depuis les épaules de Iarnvida, suivit la courbe de ses seins, passa sur son ventre...
Et enfin, d'un geste quasi-religieu, il fit doucement glisser sa culotte de son aimée, révelant lentement le saint des saints, le dernier des sanctuaires... L'endroit le plus intime du corps de sa moitié, celui grace auquel il pourrait enfin lui apporter le plaisir qu'elle méritait tellement...
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Cerbie_Mercantilus]

Se laissant emporter par une joie pure et profonde, Cerbie carressa le corps de sa compagne avec des plus en plus d'ardeur et, tour à tour l'embrassant fougueusement et lui mordillant le cou...

Sentir le corps chaud de la jeune béonide, pouvoir aller à sa découverte.... Jamais Cerbie n'aurait imaginer en tirer autant de bonheur.
Une telle créature de rêve qui s'offrait à lui... Elle méritait qu'il prenne soin d'elle, qu'il se surpasse pour qu'elle puisse ressentir le plaisir qu'il revait de lui offrir.

Embrassant un teton, puis mordillant l'autre, il lui arracha un premier gemissement de plaisir, ce qui l'emplit d'une certaine fierté, et d'une joie immense.

Se calmant quelque peu, il saisit Iarnvida dans ces bras, et l'alongea doucement sur le sable près du bord, la ou il n'y avait qu'environ 5 centimetre d'eau...
Il prit une seconde pour apprécier à sa juste valeur le corps de sa fiancée, magnifique dans sa quasi nudité.

Lentement, il fit glisser ses mains depuis les épaules de Iarnvida, suivit la courbe de ses seins, passa sur son ventre...
Et enfin, d'un geste quasi-religieu, il fit doucement glisser sa culotte de son aimée, révelant lentement le saint des saints, le dernier des sanctuaires... L'endroit le plus intime du corps de sa moitié, celui grace auquel il pourrait enfin lui apporter le plaisir qu'elle méritait tellement...
_________________
j'ai l'avatar le plus horrible du monde : heureusement pour compenser, j'ai l'épouse la plus jolie de l'univers !

[Iarnvida]

Ce dernier geste de la part de Iarnvida eut l’effet souhaité : Cerbie, plus confiant que jamais, reprit ses caresses avec plus de zèle que jamais… On aurait dit qu’il était animé par une frénésie ; ses gestes de plus en plus ardents, cet engouement qui l’emportait… Iarnvida sourit même de le voir ainsi, parcourir son corps de ses lèvres, tel un enfant étreignant un nouveau jouet qu’il aurait désiré depuis si longtemps.

Ses lèvres effleuraient maintenant sa poitrine… Cerbie, dont le plaisir manifeste semblait éclabousser les alentours tant il était aux anges, fut enchanté d’entendre glousser sa compagne sous ses cajoleries.

Cerbie ralentit alors ses gestes, et délicatement la prit dans ses bras pour la poser, là, sur le bord du bassin où l’eau venait former un fin tapis cristallin qui venait épouser les contours de leurs silhouettes.

Ils échangèrent un regard… le moment était venu. Déjà, les mains de Cerbie descendait le long de la cuisse de Iarnvida, en emportant avec elles la culotte de la béonide qui sentait son cœur s’arrêter.

Le moment était venu. Iarnvida ne savait plus si elle voulait fermer les yeux, et s’offrir à lui, ou bien continuer à le regarder et retenir cet instant encore un peu…

Etait-ce de la peur qu’elle ressentait en elle, ou bien une impatience… Aucun mot ne saurait décrire parfaitement les mille et une facettes du sentiment qui avait conquis le corps frissonnant de Iarnvida.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Ce dernier geste de la part de Iarnvida eut l’effet souhaité : Cerbie, plus confiant que jamais, reprit ses caresses avec plus de zèle que jamais… On aurait dit qu’il était animé par une frénésie ; ses gestes de plus en plus ardents, cet engouement qui l’emportait… Iarnvida sourit même de le voir ainsi, parcourir son corps de ses lèvres, tel un enfant étreignant un nouveau jouet qu’il aurait désiré depuis si longtemps.

Ses lèvres effleuraient maintenant sa poitrine… Cerbie, dont le plaisir manifeste semblait éclabousser les alentours tant il était aux anges, fut enchanté d’entendre glousser sa compagne sous ses cajoleries.

Cerbie ralentit alors ses gestes, et délicatement la prit dans ses bras pour la poser, là, sur le bord du bassin où l’eau venait former un fin tapis cristallin qui venait épouser les contours de leurs silhouettes.

Ils échangèrent un regard… le moment était venu. Déjà, les mains de Cerbie descendait le long de la cuisse de Iarnvida, en emportant avec elles la culotte de la béonide qui sentait son cœur s’arrêter.

Le moment était venu. Iarnvida ne savait plus si elle voulait fermer les yeux, et s’offrir à lui, ou bien continuer à le regarder et retenir cet instant encore un peu…

Etait-ce de la peur qu’elle ressentait en elle, ou bien une impatience… Aucun mot ne saurait décrire parfaitement les mille et une facettes du sentiment qui avait conquis le corps frissonnant de Iarnvida.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.