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[moundaye]

voilà voilà!!!

après 3 mois de retard j'ai enfin entamé mon entrée dans la quète de Yamaël (http://xm.lost-oasis.net/ftopic2750-0-0-asc-.php)!!!

le nom de ce rp laisse à désiré mais en fait c'est parce que je n'ai aucune idée de la façon dont il va se poursuivre...
il est possible aussi qu'il me faille 5 ou 6 messages pour arriver jusqu'à la quète... mais j'y arriverai je te l'ai promis Yamaël, je le ferais!!!

bonne lecture à vous!!!

(je signalerais lorsque ce rp se terminera pour rejoindre le post de la quète)
_________________
cui cui cui cui!!!
CUUUUUIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!

[moundaye]

voilà voilà!!!

après 3 mois de retard j'ai enfin entamé mon entrée dans la quète de Yamaël (http://xm.lost-oasis.net/ftopic2750-0-0-asc-.php)!!!

le nom de ce rp laisse à désiré mais en fait c'est parce que je n'ai aucune idée de la façon dont il va se poursuivre...
il est possible aussi qu'il me faille 5 ou 6 messages pour arriver jusqu'à la quète... mais j'y arriverai je te l'ai promis Yamaël, je le ferais!!!

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[moundaye]

La plaine…
Verdoyante et sentant bon l’herbe, les fleurs, l’eau fraîche et pure…
Paysage enchanteur…

Pourtant, à y regarder de plus près, on peur voir que toute cette verdure cache bien des exactions !
Meurtres, vols, destructions, pillages…
Si belle pourtant mais si peuplée. Cette plaine est devenue l’un des principaux champs de bataille.
Tout y est exacerbé…
Les pillages y sont les plus nombreux.
La chasse aux loups est presque devenue un passe-temps plutôt qu’une nécessité pour la sécurité des habitants ou pour des préparations culinaires.
Les loups eux-mêmes connaissent des moments de très forte agressivité.
Lieu de villégiature des dieux protecteurs des 4 races dominantes, ceux-ci sont parfois pourchassés, attaqués, blessés, tués même comme de simples gibiers.
Les temples, les moines… bafoués, attaqués, tués…
Mais toujours remis sur pieds à tour de rôle par les prêtres et les prêtresses…

Prêtresse…
Moundaye l’était…
Arrivée là, elle étudiait encore et méditait sur les rares écrits religieux et théologiques laissés par les anciens…
Pourquoi ce choix ?
Elle qui était si bien dans la plaine désertique où elle était née.
La vie passe et change les gens. Elle les amène d’un endroit à un autre.
Pourquoi ?

Pourquoi…
Pourquoi Moundaye n’arrivait-elle pas à comprendre les écrits ? Leur clarté semblait s’estomper au fil des jours dans son esprit.
Et cette perle pendu à son cou…
Cadeau de sa mère qui l’avait eu elle-même de sa propre mère. Transmise depuis des générations pas ces femmes, guerrières, fermières, savantes…
Jamais elle n’avait été perdue, mais sa provenance n’était plus connue.
Et ce sang…
Prisonnier de cette gangue minérale formant la perle…
Tantôt écarlate, tantôt presque noir… rien ne semblait expliquer ses variations.
Mais jamais de mémoire de femme il ne s’était mis à tourbillonner ainsi.

Alors pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ?
Et pourquoi le flux du sang à l’intérieur de la sphère semblait s’accélérer à mesure que Moundaye perdait de sa clairvoyance, de son esprit d’initiative ? Pourquoi ?
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cui cui cui cui!!!
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[moundaye]

La plaine…
Verdoyante et sentant bon l’herbe, les fleurs, l’eau fraîche et pure…
Paysage enchanteur…

Pourtant, à y regarder de plus près, on peur voir que toute cette verdure cache bien des exactions !
Meurtres, vols, destructions, pillages…
Si belle pourtant mais si peuplée. Cette plaine est devenue l’un des principaux champs de bataille.
Tout y est exacerbé…
Les pillages y sont les plus nombreux.
La chasse aux loups est presque devenue un passe-temps plutôt qu’une nécessité pour la sécurité des habitants ou pour des préparations culinaires.
Les loups eux-mêmes connaissent des moments de très forte agressivité.
Lieu de villégiature des dieux protecteurs des 4 races dominantes, ceux-ci sont parfois pourchassés, attaqués, blessés, tués même comme de simples gibiers.
Les temples, les moines… bafoués, attaqués, tués…
Mais toujours remis sur pieds à tour de rôle par les prêtres et les prêtresses…

Prêtresse…
Moundaye l’était…
Arrivée là, elle étudiait encore et méditait sur les rares écrits religieux et théologiques laissés par les anciens…
Pourquoi ce choix ?
Elle qui était si bien dans la plaine désertique où elle était née.
La vie passe et change les gens. Elle les amène d’un endroit à un autre.
Pourquoi ?

Pourquoi…
Pourquoi Moundaye n’arrivait-elle pas à comprendre les écrits ? Leur clarté semblait s’estomper au fil des jours dans son esprit.
Et cette perle pendu à son cou…
Cadeau de sa mère qui l’avait eu elle-même de sa propre mère. Transmise depuis des générations pas ces femmes, guerrières, fermières, savantes…
Jamais elle n’avait été perdue, mais sa provenance n’était plus connue.
Et ce sang…
Prisonnier de cette gangue minérale formant la perle…
Tantôt écarlate, tantôt presque noir… rien ne semblait expliquer ses variations.
Mais jamais de mémoire de femme il ne s’était mis à tourbillonner ainsi.

Alors pourquoi maintenant ? Pourquoi elle ?
Et pourquoi le flux du sang à l’intérieur de la sphère semblait s’accélérer à mesure que Moundaye perdait de sa clairvoyance, de son esprit d’initiative ? Pourquoi ?
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[moundaye]

Depuis combien de temps déjà Moundaye arpentait-elle la zone neutre afin de rendre visite aux moines et prier dans les temples ?
Elle ne savait plus…
Priait-elle encore ?
Ses journées passaient sans qu’elle s’en aperçoive.
Elle semblait s’éveiller parfois et se retrouvait en train de marcher, de méditer ou de défendre l’un de ses temples…
Puis tout redevenait vague…

La réalité…
Rares étaient les moments où elle y avait pied.
Des rêves… beaucoup de rêves… ou bien des fragments de vie ?

Parfois une louve, grise et sage déambulait à côté d’elle…
De plus en plus souvent elle sentait sa présence…
Ses moments d’éveils devenaient un peu plus longs au fil des jours.

Etait-ce cela qui lui manquait ? Une présence ?
Tout ceci avait-il commencé à partir du moment où Snaker, son mari, était parti seul à travers monts et vallées ?
Son absence l’avait-elle plus rudement touchée que ce qu’elle se l’avouait ?
Peut-être…

Mais le sang tourbillonnait toujours aussi vite dans la perle.
Tellement vite et depuis si longtemps que le bijou semblait commencer à s’échauffer…

Non. La présence de la louve à ses côtés ne semblait qu’atténuer les effets de la perle sur Moundaye.
Se débarrasser de cet objet maudit ? Non, c’était son seul souvenir intact de sa mère.

Elle le savait maintenant !!! Elle devait chasser, faire des réserves et partir tant qu’il était encore temps !!
Mais partir où ? Elle l’ignorait encore. Elle le saurait le moment venu. La perle, quelque chose ou même quelqu’un d’autre la guiderait jusqu’à se destination…
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cui cui cui cui!!!
CUUUUUIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!

[moundaye]

Depuis combien de temps déjà Moundaye arpentait-elle la zone neutre afin de rendre visite aux moines et prier dans les temples ?
Elle ne savait plus…
Priait-elle encore ?
Ses journées passaient sans qu’elle s’en aperçoive.
Elle semblait s’éveiller parfois et se retrouvait en train de marcher, de méditer ou de défendre l’un de ses temples…
Puis tout redevenait vague…

La réalité…
Rares étaient les moments où elle y avait pied.
Des rêves… beaucoup de rêves… ou bien des fragments de vie ?

Parfois une louve, grise et sage déambulait à côté d’elle…
De plus en plus souvent elle sentait sa présence…
Ses moments d’éveils devenaient un peu plus longs au fil des jours.

Etait-ce cela qui lui manquait ? Une présence ?
Tout ceci avait-il commencé à partir du moment où Snaker, son mari, était parti seul à travers monts et vallées ?
Son absence l’avait-elle plus rudement touchée que ce qu’elle se l’avouait ?
Peut-être…

Mais le sang tourbillonnait toujours aussi vite dans la perle.
Tellement vite et depuis si longtemps que le bijou semblait commencer à s’échauffer…

Non. La présence de la louve à ses côtés ne semblait qu’atténuer les effets de la perle sur Moundaye.
Se débarrasser de cet objet maudit ? Non, c’était son seul souvenir intact de sa mère.

Elle le savait maintenant !!! Elle devait chasser, faire des réserves et partir tant qu’il était encore temps !!
Mais partir où ? Elle l’ignorait encore. Elle le saurait le moment venu. La perle, quelque chose ou même quelqu’un d’autre la guiderait jusqu’à se destination…
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[moundaye]

Les préparatifs avaient été longs et épuisants. Elle ne pouvait s'y consacrer que lorsqu'elle était en état de lucidité. Le reste du temps, elle reprenait sa vie monotone de prêtresse sans s'en apercevoir.
Ses moment d'éveils étaient un peu plus longs certes, mais elle devait faire un gros effort sur elle même pour pouvoir agir à sa guise, sans quoi elle ressombrait vite dans sa torpeur.

Quand tout fut prêt pour son départ, elle alla retrouver sa louve qui batifolait avec d'autres loups sauvages.

Elle n'avait prévenue personne... Il lui aurait fallu expliquer... perdre du temps en somme. Du temps c'est de l'énergie.
Et de l'énergie il ne lui en restait pas beaucoup alors même que son voyage n'était pas entamé.

Peut-être quelqu'un l'avait-elle vu se préparer et partir. Mais elle ne savait de nouveau plus très bien...




Hallaserke...
Un vieux mage tout rabougri et grincheux qui avait installé son commerce quelque part vers le centre de la plaine.
Son commerce, car oui cela en est un, consiste à vendre des voyages.
Je ne parle pas là de vacances, de voyage de noces ou autres promenades. Je parle de se faire de ballotter cette plaine jusqu'à un endroit éloigné en l'espace de quelques secondes.

Moundaye n'avait ni but ni destination. Mais elle s'était dis que pour aller quelque part, même si elle ne savait pas où, c'était ce vieux rapiat qu'elle devait aller voir.

Elle avança lentement... tellement lentement qu'elle mis plusieurs jours pour arriver à destination. Pas d'embûche ni de pièges. Sa louve la guidait avec précision.

Moundaye s'épuisait.
Rester consciente était la seule préoccupation de son esprit. Mais un tel effort l'obligeait à dormir... beaucoup dormir afin de récupérer suffisamment de forces pour pouvoir continuer.

Elles y arrivèrent. Louve et humaine. Côte à côte. Aussi éreintées qu'après plusieurs semaines d'un rude voyage. L’une luttant contre le sommeil afin de veiller sur l'autre qui luttait pour garder sa propre conscience éveillée.

Elles l'aperçurent... un halo lumineux et une silhouette... un centaure.
Il allait falloir payer pour voyager... Le prix était faramineux. Une attaque était peut-être en préparation.
Il allait lui falloir attendre qu'un autre humain arrive. Attendre... que de temps perdu encore...
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[moundaye]

Les préparatifs avaient été longs et épuisants. Elle ne pouvait s'y consacrer que lorsqu'elle était en état de lucidité. Le reste du temps, elle reprenait sa vie monotone de prêtresse sans s'en apercevoir.
Ses moment d'éveils étaient un peu plus longs certes, mais elle devait faire un gros effort sur elle même pour pouvoir agir à sa guise, sans quoi elle ressombrait vite dans sa torpeur.

Quand tout fut prêt pour son départ, elle alla retrouver sa louve qui batifolait avec d'autres loups sauvages.

Elle n'avait prévenue personne... Il lui aurait fallu expliquer... perdre du temps en somme. Du temps c'est de l'énergie.
Et de l'énergie il ne lui en restait pas beaucoup alors même que son voyage n'était pas entamé.

Peut-être quelqu'un l'avait-elle vu se préparer et partir. Mais elle ne savait de nouveau plus très bien...




Hallaserke...
Un vieux mage tout rabougri et grincheux qui avait installé son commerce quelque part vers le centre de la plaine.
Son commerce, car oui cela en est un, consiste à vendre des voyages.
Je ne parle pas là de vacances, de voyage de noces ou autres promenades. Je parle de se faire de ballotter cette plaine jusqu'à un endroit éloigné en l'espace de quelques secondes.

Moundaye n'avait ni but ni destination. Mais elle s'était dis que pour aller quelque part, même si elle ne savait pas où, c'était ce vieux rapiat qu'elle devait aller voir.

Elle avança lentement... tellement lentement qu'elle mis plusieurs jours pour arriver à destination. Pas d'embûche ni de pièges. Sa louve la guidait avec précision.

Moundaye s'épuisait.
Rester consciente était la seule préoccupation de son esprit. Mais un tel effort l'obligeait à dormir... beaucoup dormir afin de récupérer suffisamment de forces pour pouvoir continuer.

Elles y arrivèrent. Louve et humaine. Côte à côte. Aussi éreintées qu'après plusieurs semaines d'un rude voyage. L’une luttant contre le sommeil afin de veiller sur l'autre qui luttait pour garder sa propre conscience éveillée.

Elles l'aperçurent... un halo lumineux et une silhouette... un centaure.
Il allait falloir payer pour voyager... Le prix était faramineux. Une attaque était peut-être en préparation.
Il allait lui falloir attendre qu'un autre humain arrive. Attendre... que de temps perdu encore...
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[moundaye]

Une lumière vive... une autre téléportation.
Quelle race? Un humain d'après la silhouette.

Oui c'était bien un humain... Elle allait pouvoir partir. Mais où?
Elle laissa le soin au sage de la mener jusqu'où la porterait sa magie.

Elle serra sa louve contre elle. Ne pas se perdre pendant la téléportation...

Une bataille... floue. Mais de plus en plus nette... Moundaye apparaissait lentement
Des centaures, des béonides aussi sans doute. Elle n'eut pas le temps de voir. Une flèche perdu vint de planter dans son front -encore cette fichue manie de ne pas porter de casque.

La téléportation d'Hallaserke n'était pas terminée. Cette mort la porta vers d'autres lieux mais ne la sépara pas de sa louve.

Elle atterrit rudement sur le sol pierreux.
Ses jambes ne la portaient plus. Elle s'évanouit.
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cui cui cui cui!!!
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[moundaye]

Une lumière vive... une autre téléportation.
Quelle race? Un humain d'après la silhouette.

Oui c'était bien un humain... Elle allait pouvoir partir. Mais où?
Elle laissa le soin au sage de la mener jusqu'où la porterait sa magie.

Elle serra sa louve contre elle. Ne pas se perdre pendant la téléportation...

Une bataille... floue. Mais de plus en plus nette... Moundaye apparaissait lentement
Des centaures, des béonides aussi sans doute. Elle n'eut pas le temps de voir. Une flèche perdu vint de planter dans son front -encore cette fichue manie de ne pas porter de casque.

La téléportation d'Hallaserke n'était pas terminée. Cette mort la porta vers d'autres lieux mais ne la sépara pas de sa louve.

Elle atterrit rudement sur le sol pierreux.
Ses jambes ne la portaient plus. Elle s'évanouit.
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[moundaye]

Une terre aride, exempte de végétation et de présence animale.
Voilà l’endroit où elles avaient atterrit.

Moundaye avait été réveillée par le coulis d’un petit ruisseau.
Inspectant les alentours, elle cru reconnaître les terres démones.
Mieux valait ne pas trop toucher à cette eau. Même claire, elle pouvait toujours transporter les restes d’un cadavre ou d’une charogne en décomposition.

Autour de Moundaye tout était désert.
Par où se diriger ?
Il n’y avait aucun point de repère pour évaluer les distances ou même seulement savoir en quel point de la zone elle se trouvait.

Elle avait donc pour seules possibilités d’errer au hasard à travers ce désert, ou bien remonter le cours du ruisseau.
Elle choisit cette seconde voie. C’était la plus aisée à suivre, elle ne tournerait pas en rond sans savoir où aller; et puis avec un peu de chance elle aurait au moins de l’eau potable pour se désaltérer elle et sa louve.

Le ruisseau ne faisait pas plus d’1m50 aux endroits les plus larges. Sa source ne devait pas être très éloignée.
Il serpentait à travers une terre légèrement vallonnée.
Juste de petites collines. Lieu idéal pour rester à l’abri lorsque l’on se trouve en plein territoire ennemi.

Au bout de quelques heures, Moundaye se trouva face à un embranchement. Ou plutôt au point où se mêlaient les eaux de deux petits ruisseaux de taille à peu près égale.
Rien ne pouvait l’aider à orienter sa route d’un côté ou de l’autre.
Mêmes arbustes, même débit d’eau, mêmes roches couleur des sables…
Non…
Aux abords d’un des deux cours d’eau s’élevait un empilement de pierres à la forme étrange. L’observant mieux, Moundaye cru le voir bouger.
Peut-être un effet du soleil qui par sa chaleur distordait les rayons lumineux et induisait parfois en erreur par ses jeux d’ombre.
Pourtant la louve avait dressé ses oreilles, en alerte, observant elle aussi l’étrange apparition.

Moundaye longea la rive du ruisseau sur quelques mètres afin de mieux voir. La silhouette lui faisait penser au troll-nain qui lui avait servit de nounou dans son enfance, mais en beaucoup plus grand et plus massif.

Le sol était jonché de pierres. Elle reporta son attention sur le sol accidenté du passage qui lui permettrait d’atteindre l’objet qui avait retenue son attention.
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[moundaye]

Une terre aride, exempte de végétation et de présence animale.
Voilà l’endroit où elles avaient atterrit.

Moundaye avait été réveillée par le coulis d’un petit ruisseau.
Inspectant les alentours, elle cru reconnaître les terres démones.
Mieux valait ne pas trop toucher à cette eau. Même claire, elle pouvait toujours transporter les restes d’un cadavre ou d’une charogne en décomposition.

Autour de Moundaye tout était désert.
Par où se diriger ?
Il n’y avait aucun point de repère pour évaluer les distances ou même seulement savoir en quel point de la zone elle se trouvait.

Elle avait donc pour seules possibilités d’errer au hasard à travers ce désert, ou bien remonter le cours du ruisseau.
Elle choisit cette seconde voie. C’était la plus aisée à suivre, elle ne tournerait pas en rond sans savoir où aller; et puis avec un peu de chance elle aurait au moins de l’eau potable pour se désaltérer elle et sa louve.

Le ruisseau ne faisait pas plus d’1m50 aux endroits les plus larges. Sa source ne devait pas être très éloignée.
Il serpentait à travers une terre légèrement vallonnée.
Juste de petites collines. Lieu idéal pour rester à l’abri lorsque l’on se trouve en plein territoire ennemi.

Au bout de quelques heures, Moundaye se trouva face à un embranchement. Ou plutôt au point où se mêlaient les eaux de deux petits ruisseaux de taille à peu près égale.
Rien ne pouvait l’aider à orienter sa route d’un côté ou de l’autre.
Mêmes arbustes, même débit d’eau, mêmes roches couleur des sables…
Non…
Aux abords d’un des deux cours d’eau s’élevait un empilement de pierres à la forme étrange. L’observant mieux, Moundaye cru le voir bouger.
Peut-être un effet du soleil qui par sa chaleur distordait les rayons lumineux et induisait parfois en erreur par ses jeux d’ombre.
Pourtant la louve avait dressé ses oreilles, en alerte, observant elle aussi l’étrange apparition.

Moundaye longea la rive du ruisseau sur quelques mètres afin de mieux voir. La silhouette lui faisait penser au troll-nain qui lui avait servit de nounou dans son enfance, mais en beaucoup plus grand et plus massif.

Le sol était jonché de pierres. Elle reporta son attention sur le sol accidenté du passage qui lui permettrait d’atteindre l’objet qui avait retenue son attention.
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la suite dans le post de Yamaël normalement http://xm.lost-oasis.net/ftopic2750.php

donnez moi vos avis par mp
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