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l'Ordre d'Airain

 
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sokaris
duc
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Localisation: Penn Ar Bed
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MessagePosté le: 06 Fév 23:02    Sujet du message: l'Ordre d'Airain Répondre en citant

Le soleil déclinait et ses rayons chatouillaient l’horizon lointain. Le bleu de la voûte , pâle en hiver, se diluait peu à peu dans la teinte rose-orangée que projetait l’astre solaire dans sa course lancinante. Bientôt l’obscurité triompherait et la nuit recouvrirait le monde de son voile protecteur.
On apercevait déjà Eikos, l’étoile de Phuomos qui scintillait et vacillait dans le cosmos, sa teinte variant selon les heures de la nuit.
En dessous de cette immuable beauté, s’étendait une vaste plaine couverte de neige. Des sapins ça et là dépassaient de cet amas immaculé, et de minuscules ramures dénudées perçaient timidement le manteau neigeux. De temps en temps, quelques rochers noirs érodés par les vents émergeaient de la tourmente comme des îles inexplorées sur une mer de glace. La neige, emportée par le souffle, s’entassait par endroits et évoquait les dunes de sable d’un désert décoloré. La blizzard, dont la violence des courants avait sculpté certaines congères en des creux et pics évoquant les vagues d’un océan congelé en pleine tempête, avait rugit toute la nuit durant et s’était finalement calmée
L’hiver était déjà bien entamé et plus aucun animal ne pointait le museau hors de son refuge. Il n’y avait donc pour seul bruit que le bruissement des épines de pins, tendrement ballottées par la brise hivernale.
Soudain, un bruit étrange vint briser ce silence mélancolique. Un décochement de flèche puis le bruit sourd de son impact.
Sokaris s’entraînait à la lueur de la Lune. Son arc, de facture elfique, était léger et d’une extrême puissance. En sycomore, il était gravé de runes et serti de pierres semi-précieuses qui scintillaient à la faveur de la déesse blanche, telles Eikos.
Le froid était mordant, et le jeune elfe émettait de la fumée à chaque expiration.
Voilà plusieurs semaines qu’il souffrait de violents maux de tête, s’amplifiants au fil des jours. Sokaris essaya toutes les herbes médicinales et toutes les autres formes de remèdes qu’il pût, de même que son si précieux nectar d’abdanys. Mais rien n’y fit. D’ordinaire, la maladie ne trouve jamais refuge en lui, mais cette fois c’était différent. Le seul semblant d’apaisement qu’il avait était l’arc. Il ne savait pourquoi, le fait de se concentrer sur sa cible, la sentir et la faire venir à lui atténuait cette atroce douleur. Une de celles qui se répand en vous comme le venin d’un serpent, qui finit par vous arracher les entrailles et vous donne l’impression que votre tête est sur le point d’exploser.
Fatigué, il s’assit sur une vieille souche recouverte de neige. Celle-ci perça sa tunique, un frisson remonta alors le long de son dos et le fit tressaillir.
Tout en faisant glisser le médaillon le long de son cou, sokaris scrutait la large plaine qui s’étendait devant lui … pas un bruit, pas un mouvement. La forteresse se dressait au loin … celle des béos. Il resta plusieurs minutes à écouter les chants, les rires et le lutrin du barde. Une immense peine l’envahit et il ne put châtier ses larmes, il luttait difficilement contre l’envie de les rejoindre et de festoyer avec eux.
Bien entendu c’était inconcevable. Il avait fait un serment à ses nouveaux compagnons d’armes et il n’était pas dans sa nature de trahir ses promesses. Cependant, les agissements de certains humains avaient vivement ébranlés sa volonté et son engagement.
Voilà plusieurs jours que le jeune elfe se tenait à l’écart du groupe, il ne comprenait pas certains comportements et ne voulait pas risquer de mettre fin à sa première étape impulsivement. Il ne savait plus quoi penser, ni que faire. Tuer était devenu un véritable supplice, était-ce en rapport avec cette lame qu’un vieil elfe moribond lui avait donné lors de son dernier voyage en Erathia ? Il avait délaissé ses épées courtes pour celle-ci, bien plus imposante. Faite d’argent trempé, sa garde était finement gravée en lettre d’or du mot « Maglor Elendil ». Il avait eu beaucoup de mal à s’y habituer, elle était lourde et peu maniable. Cependant, après quelques semaines d’entraînement il la maniait aussi aisément qu’une dague d’Orhil. Puis un beau jour, par une belle après midi froide mais ensoleillée, il fût pris en embuscade par 3 brigands. Ils n’en voulaient malheureusement pas qu’à ça bourse et il dut se défendre. Ce qu’il advint restera à jamais gravé en lui. C’était la première fois qu’il se servait de la lame. Après une lutte acharnée dont il préférais omettre les détails, alors que ses trois agresseurs gisaient, l’un la gorge tranchée, et les deux autres les entrailles délogées de leur corps, il fût pris d’une violente douleur à la gorge et au ventre. Le violence de l’affliction le désarma. Il tentait tant bien que mal de contracter ses muscles afin de luttait contre la souffrance, en vain. Le jeune elfe s’écroula dans le sang des cadavres fraîchement abattus, et il perdit connaissance. Depuis ce jour, lorsqu’il perçait la chair de ses assaillants, il ressentait une vive douleur. Sans doute celle qu’il infligeait lui même. Ou probablement une autre manifestation de son dégoût pour la violence. Malheureusement, dans ce monde sans pitié, elle était nécessaire à sa survie, il fut donc dans l’obligation de se servir de Maglor Elendil bien d’autres fois et ces souffrances revenaient, il parvenait cependant à les surmonter au fil des combats forcés.
Le froid l’arracha à ses réflexions, il se leva et se dirigea vers son refuge pour la nuit. Il s’agissait d’un pin compagnon, un gigantesque résineux dont les ramures retombent à la manière d’un saule pleureur, offrant un abris aux voyageurs. D’où son nom, puisqu’il est le compagnon des âmes errantes sur les chemins.
Lorsqu’il eût allumé le feu, il s’assit et commença à préparer sa soupe d’épices. Son esprit vagabondait et il se perdit dans le flux ininterrompu de ses pensées. Comment rester humain sans se détruire, ni tenter d’imposer sa conception de la vie aux autres ? Soudain, il lui vint une idée, il connaissait au moins deux personnes qui partageaient les mêmes aspirations que lui, les mêmes rêves. Un monde où l’ordre du Bien régnerait ! Il lui fallait fonder un ordre aussi résistant que l’airain et aussi juste que sa conception de mortel le lui permettrait. Ses deux amis l’aideraient sûrement se dit il. Ils sont aussi sage que les Dieux et leur puissance déracinerait des chênes centenaires.
Il voulait créer une caste, un clan, la chevalerie !
Une fois de plus le jeune prêtre ne put pousser son raisonnement à son terme. Quelqu’un ou quelque chose approchait. Une démarche svelte et équilibrée, une respiration haletante mais cependant quasi inaudible … pas de doute, il s’agissait d’un loup.
Sokaris se leva d’un bond et tira la lame de son fourreau, la note éclatante pure et distincte se propagea dans l’air ambiant. Il sortit du couvert de son arbre et vit les yeux scintillant de son visiteur. Celui-ci s’avança et bondit sur l’elfe qui n’eut que le temps de se jeter sur le flanc. Il planta son épée au sol, excédé.


_ Emppu ! est tu devenus fou ? si la Lune ne t’avais pas révélée à moi je t’aurais embroché !

Le jeune loup fit quelques pas vers l’elfe, la tête basse puis vint lui lécher le visage. Sokaris ne put s’empêcher de rire.

_ Que fais tu là chenapan ? Tu as bien grandi mon vieux ! Tu n’es plus un louveteau à présent.

Emppu se mit à faire les cent pas et se pavana, fier du compliment.

_ Je t’en prie, fais attention la prochaine fois, je m’en voudrais énormément de te faire du mal. Où est donc ton maître ? J’ai besoin d’avoir une discussion avec lui.

C’est alors que Gorthol, vêtu de son long manteau bleu, s’avança vers lui le sourire aux lèvres mais les yeux emplis d’une profonde tristesse . A sa suite, sokaris reconnut l’éclat du regard d’Aracy.

_ Croyais tu m’avoir milady ? Tes yeux te trahiront toujours ! Et bien je dois dire que je suis heureux de vous voir … j’avais à vous parler. Quelle merveilleuse coïncidence que les Dieux vous aient menés jusqu’à moi !

Sokaris leva les yeux vers les étoiles. Il savait que les coïncidences n’existaient pas…


_Malheureusement je n’ai que de la soupe d’épices à vous offrir, mais je vous en pris, asseyons nous un moment, j’ai des choses à vous dire.

Ils se jetèrent un regard qui traduisait leur désarrois.

_Nous aussi …
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Dernière édition par sokaris le 06 Fév 23:16; édité 1 fois
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aracy
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MessagePosté le: 06 Fév 23:04    Sujet du message: Répondre en citant

Aracy se posait souvent cette question et jamais elle ne trouva de réponse en laquelle elle croyait vraiment...Tout était si flou, si compliqué...La principale raison qui l'avait poussée à revenir était sa préocupation pour les humains...son départ brutal, elle n'avait pas réussi à le supporter...Elle devait retourner chez les humains pour prendre des nouvelle et voir si tout se déroulait bien. Mais la situations a bien changée, Aracy fut quelque peu déçue mais ne tenta rien...d'autres personnes étaient là pour guider les humains comme bon lui semblait.
Mais Aracy était une démocrate...où était donc passée la démocratie chez les humains ? Depuis plusieurs mois la même personne dirigeait le peuple qui l'avait adopté...Aracy n'aimait pas la politique chez les humains, trop de discussions et peu d'action. Les hommes pourraient lui dire ce qu'ils voudraient, jamais cet avis ne sortirait de sa tête...Ce diplomate...Aracy l'avait incité à se présenter aux élections apres son mandat...Mais la diplomatie qui fut instauré et adopté par la quasi totalité des humains ne lui plaisait guère...La jeune femme aimait le changement, l'action...Mais l'eclaireur n'était pas si têtue...

Elle se plia aux décisions sans s'opposer à quiconque ni à qui que ce soit. Son mécontentement elle le gardait pour elle et elle seule. Mais qu'importe ! Elle savait que son retour à la Montagne se rapprochait, bien que n'ayant rien prévu elle le sentait et le voulait plus que tout...Mais Aracy était lasse, lasse de tuer, de servir un peuple, de tenter de déjouer les pièges de ces terres hostiles et ravagées par la guerre, de se méfier de tout le monde...Seul le fait de se déplacer à travers ce monde, priant Thor pour qu'il la préserve elle et ses plus chers amis, saluant un allié ou un ami qu'elle rencontrait ici et là, la rejouissait...Mais pourquoi continuer à se battre alors ? Peut être une obligation...une sorte de dette que l'on se doit de payer aux dieux, les créateurs de ces races...Chaque dieu veut que son peuple soit vainqueur ainsi cette bataille dure depuis des siècles et se poursuit sans relâche ni trève. Mais Aracy ne supportait plus ; elle avait servit Thor depuis un long moment et savait que cette guerre serait interminable et sans vainqueur. Mais était t'elle seule à penser celà ? Elle l'ignorait...Peut être devrait-elle en parler à un ami, un prêtre qui pourrait lui dire que faire...Il fallait qu'elle en discute avec Sokaris...

Aracy se dirigea vers la couche de l'elfe qu'elle trouva vide...Levant les yeux au ciel l'air exaspéré elle murmura pour elle :

-Evidement, toujours debout avant tout le monde celui là, reste à savoir où il est maintenant...

Question qui, d'après elle, était stupide, car elle connaissait déjà la réponse...Les falaises...Après s'être équipée elle décida de prendre Emppu avec elle afin d'avoir de la compagnie. Elle écrivit un court message sur un morceau de parchemin qui trainait dans sa sacoche, expliquant à Gorthol qu'il ne devait s'inquiéter si Emppu n'était pas là.
Fin prête elle marcha sous la neige durant quelques minutes et atteignit le lieu de prière du prêtre. Il était assis dos à elle mais d'une voix calme il lui dit :


-Approche Aracy...ton esprit semble troublé...qu'est ce qui ne va pas ?

Aracy pris une profonde inspiration et expliqua, dans le moindres détails, ce qu'elle pensait, ce qu'elle aimait et ne supportait plus...
Sokaris sourit en entendant tout celà...une majorité de ces avis et pensées étaient les siens.
Après quelques minutes silencieuses Emppu commençait à s'impatienter et Aracy demanda :


-Je vais rentrer voir Gorthol, tu m'accompagnes ?

D'une voie lasse, fatiguée, son ami lui répondit :


-Je préfère rester seul, je vous rejoindrez plus tard.

Aracy n'insista pas, saisit sa sacoche et se mit en route, Emppu trottant gaiement à côté d'elle...

_________________
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gorthol
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MessagePosté le: 06 Fév 23:06    Sujet du message: Répondre en citant

Ce fut le froid qui le réveilla. Il tombait de gros flocons et son visage était déjà presque enseveli. La douleur lui arracha un gémissement quand il se dressa sur un coude. Clignant des yeux dans la blancheur éblouissante de la neige, Gorthol mis plusieurs secondes avant de comprendre. Les démons … une embuscade … la meute … La meute ! Malgré la longue plaie qui marquait son flanc, Gorthol sauta sur ses pieds. Il était debout au milieu d’une mare de sang, du sang de loups. Il reconnu à terre les dépouille affreusement mutilées de Vadim et Tuomas, deux magnifiques loups blancs parmi de nombreux corps démoniaques. Le dresseur se laissa glisser à terre, secoué de sanglots, ses mains caressant une dernière fois les douces fourrures tachées de sang. « Pourquoi ?! » cria-t-il vers le ciel.
Il resta ainsi prostré, des heures durant, laissant la neige s’accumuler sur son long manteau. La nuit était tombée. Un silence profond régnait sur les lieux du carnage. Soudain, l’humain releva la tête. Il venait d’entendre un cri. A nouveau, la voix retentis, plus proche. Une voix qu’il reconnaîtrait entre toute. « Gorthol ! » Les appels continuaient. D’une voix lasse, il répondit « Je suis ici, Aracy ».
Son amie l’avait quitté tôt le matin, avant son réveil, emmenant Emppu, le loup gris. Il y eu un bruit de course et son amie apparut, suivie de près par Emppu. Le puissant animal soudain tressaillit. Il s’approcha lentement de la neige rougie, la reniflât et, soudain, renversant largement la tête, poussât un long hurlement, poignant, déseperé. Au loin, un de ses semblable répondit, puis un autre, et encore un autre … Bientôt, toute la plaine résonnait d’un vibrant chant funèbre et sauvage … Le dresseur éclatât en sanglot et, se dressant dans la nuit, lui aussi cria, cria sa douleur, cria l’injustice, joignant ses pleures à ceux des bêtes qui étaient devenues sa raison de vivre.
Le cœur d’Aracy se serra. Jugeant l’endroit peu sûr, elle ramassa l’épée de l’humain, et, le prenant doucement la main, l’entraîna vers un bourg proche. Le dresseur, anéanti, se laissa guider. Les deux amis s’installèrent dans une auberge.
Le lendemain, Gorthol avait repris ses esprits. Un soigneur s’était occupé de sa blessure, il avait pris une bonne nuit de sommeil et, maintenant, son esprit bouillonnait. « Il faut faire quelque chose. De tels massacres ne doivent plus avoir lieu. »
Il vida d’une traite sa chope de bière puis, regardant autour de lui, il demanda « Sais-tu où est Sokaris ? J’avais un message pour lui quand j’ai été attaqué. Et j’aimerai lui rendre compte des évènements. »
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sokaris
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MessagePosté le: 06 Fév 23:25    Sujet du message: Répondre en citant

Les 3 amis se rejoignirent sur la falaise, durant toute la nuit, sous un ciel sans nuage, ils parlèrent de leurs aspirations, de leurs rêves de justice et de paix.
Chacune de leurs paroles s'accordaient à merveille et l'idée de l'Ordre fût énnoncé.
C'était donc décidé, l'Ordre d'Airain serait fondé.

Gorthol se racla alors la gorge et de sa plus belle voix entonna ce chant :

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gorthol
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Localisation: Dans la tanière avec mes loups
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MessagePosté le: 06 Fév 23:27    Sujet du message: Répondre en citant

Jeune héro pressé
Ou sage en quête de spiritualité
Vien donc lire ces Tables
Tu comprendras notre but véritable


Il y a des années
Fut créé ce monde
Terre de toute beauté
Au sein de l’immonde
Apparurent aussi
Des dieux sans merci
Qui peuplèrent ces terres
Comme leur caractère
Humains et démons
Les nobles, les félons
Centaures orgueilleux
Béonides joyeux
Mais ces divisions
Créèrent des tensions
La guerre éclata
Et jamais ne cessa
Les prairies souillées
Les maisons brûlées
Mais les cœurs aussi
Se couvrirent de nuit
Tous devinrent cruels
Egoïstes, rebelles
La faveur des Dieux changeât
Folie gagnât même Gaïa

C’est en ce monde chao
Que je vous parle à présent
C’est en ce monde de chao
Que nous mourrons prochainement


Quand trois jeunes guerriers
Posèrent leurs armes
Trois, le cœur brisé
Les yeux pleins de larme
Lassés de tuer
Sans autre raison
Que des haines passées
Ou des religions
Un Ordre fut créé
Un Ordre de fidélité
Un Ordre d’honneur
Pour que cessent les pleurs
Un Ordre de respect
Pour l’amour et l’amitié
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sokaris
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Thème: xm-jdr (983)
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MessagePosté le: 06 Fév 23:33    Sujet du message: Répondre en citant

La voix mélodieuse se répandit dans les airs, parcourant chaque terres, murmurant dans chaque oreilles, si bien que pas une seule créature de ce monde n'échappa à son message...

_Espèrons que notre appel sera entendu dit sokaris.


Que la Justice soit forte, que la force soit juste !


[ HRP : l'idée est donc de créer autre chose qu'un monde basé sur la violence et les guerres sans fins, cet Ordre est inter ethnique et acceuil chaque personne étant prête à faire du rp.
La demande d'admission se fait par un poste sur le forum de l'Ordre :
http://ordredairain.xooit.com/. ( ces temps ci, il arrive que la connexion vous soit refusée, maintenance ou je ne sais quoi :s)
Là, vous y trouverez la table des Lois sur le seul forum ouvert à tous, le reste requiérant l'autorisation.

Le forum fonctionne à nouveau normalement ! Très content ]
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