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[Iarnvida]

~~~~~ note : ce rp a été écrit par moi et cerby. Comme le mot par mot était relativement difficile, nous nous contentâmes d'écrire chacun notre tour un paragraphe d'à peu près 5-6 lignes. Bonne lecture... ~~~~~~


L'aube pointait a l'horizon, mais le couple de béonides était pourtant deja bien réveillé. Il faut bien dire que le sommeil les fuyait depuis peu. Tout aurait pu sembler normal a l'observateur non-averti, pourtant en y faisant attention, on aurait remarqué que les choses n'allaient pas aussi bien... Les sourirs semblaient avoir deserté leur visage, et si on lisait toujours le meme amour dans leur regard, il semblait manquer quelque chose a leur bonheur.
Iarnvida avait le regard vide, et fixait un cuissot dans sa main qui avait déjà refroidit. Cerby, lui, ne pouvait détaché son regard de son épouse avec un air attrité, voire désolé. Les succulents mets qui ornait la table était presque intactes, ce qui était plutot inquiétant pour un déjeuner béonide. le silence régnait dans la grotte, et seul l'écoulement de l'eau du bassin plus loin se faisait entendre.
Prenant doucement la main de sa femme dans la sienne, Cerby dit d'un ton doux et apaisant : "je suis désolé cherie... Mais ne baissons pas encore les bras...L'espoir subsiste toujours... Et ca ne me déplairait pas d'essayer encore et encore..." Pourtant, cette plaisanterie sonnait faux et ni l'un ni l'autre ni sourir. La morosité qui s'était installé avait son origine dans un probleme bien trop important a leur yeux pour qu'une simple plaisanterie ne puisse la dissiper.
Néanmoins, Iarnvida répondit d'un bref sourire, un sourire doux qui aurait presque pu passer pour sincère à son époux, s'il ne la connaissait pas tant. " Je ne me fait pas de soucis, mon amour, je ne perd pas espoirs.. je sais bien qu'avec toi tout est possible..." puis, la jeune femme reposa son cuissot, toujours intacte, et se leva pour poser un main sur l'épaule de son mari, et lui glisser à l'oreille quelques mot récomfortant, avant de s'éloigner.

Mais avant d'aller plus loin dans ce morne recit, nous nous devons de revenir quelques mois en arriere, alors que le bonheur des deux epoux eclipsait le soleil lui meme. Retournons a cette matinée fatidique qui devait marqué le debut d'une ere de merveille... Iarnvida était blottie au creux de l'epaule de son epoux, dans le lit conjugal. La tendresse qui semblait se degager couple emplissait la grotte toute entiere... Alors que Cerby lui carressait doucement le visage, le regard de la béonide changea, et une question se forma lentement sur ses levres...

" chéri ? as-tu déjà.... penser à l'éventualité d'avoir des enfants ? "

Le teint de Iarnvida déjà rosit par la châleur de l'aurore se colora un peu plus, en l'attente de la réponse de son cher amour. Ce dernier, qui la serrait fort contre lui prit un air surpris... surpris oui, mais si agréablement surpris qui ne pu s'empéché d'embrasser son aimée avant de répondre.

"des petites Iarnvida qui coureraient partout, joueraient a s'eclabousser dans le bassin, taquineraient notre dragon? Oui, j'y pense... Il ne se passe pas une journée sans que l'envie d'avoir des enfants ne me prenne."

Sur ces douces paroles, il embrassa longuement sa dulcinée,avant de lui sussurer a l'oreille: "mettons-y nous tout de suite" Sous les carresses de son époux, Iarnvida gloussa de plaisir. Un bonheur immense lui emplissait le coeur : elle avait un mari parfait, qu'elle aimait par dessus tout, et bientot, elle aurait des enfants, elle fonderait une grande famille. Devant l'impatience de Cerby, elle laissa même s'échapper un petit rire. Un rire que Cerby désespérait d'entendre dorénavent.

De nombreuse nuit passée en tentative avaient passés depuis cette journée... Et pourtant, le ventre de la jolie béonide était toujours aussi plat que lors de leur nuit de noce. Il fallait se rendre a l'évidence: Ils ne pouvaient pas faire d'enfant. Et l'idée de ne jamais avoir l'occasion de fonder une famille les minait littéralement, leur otant tout plaisir dans la vie.
Le temps passait, et rien ne changeait... mais si la nature leur refusait le bonheur de créer une nouvelle vie,peut-etre la magie et la science pourrait regler leur probleme

"a moins que.... à moins que le souci vienne de toi..."
"de moi ?" s'indigna cerby.
"... non, enfin pas de toi à proprement parlé... non, j'ai rien à te reproché, répondit Iarnvida avec un regard tendre. Je faisais juste allusion à ton.... enfin, au fait que tu as... enfin que tu étais..."
"Chauff et Tagazok !!!!! Tu crois que le probleme vient de mon changement de sexe ?!! Ces crétins aurait mal fait leur boulot ?!!"
"oui, exactement, c'est fort possible..." lacha Iarnvida, en se demandant si la situation était comique ou non.

Cerby était une fois de plus étonné par la perspicacité et le sens de la deduction de son épouse...Mais cela n'était pour le moment qu'un vague sentiment dans son esprit, masqué par la colere qu'il ressentait contre les deux pauvres abruti qui avaient oublier les fonction de reproduction!

"ahh, les gueux, les abruti! J'men vai les decapiter, les egorger, les emasculer, les empaler, des scalper! 6 mois qu'on galere parcequ'ils sont feignants?! TATA YOYO"

Les levres de Iarnvida se contortionnèrent pour afficher un sourire navré. La situation était bel et bien comique à ses yeux : Cerby s'agitait dans tous les sens en maudissant Chauff et Tagazok avec un regard fou.

"ah parce que toi tu trouve que c'était une galère ces 6derniers mois ?" Plaisanta iarnvida, définitivement inapte à prendre un ton sérieux.
"Roh, rigoles, rigoles! A cette heure ci, si ces deux idiots n'avait pas foutu la merde, ton ventre serait deja rond, et j'aurai mes mains posé dessus pour sentir notre bébé bouger! mais non, bien sur, il a fallaut que ses deux imbeciles foutent la merde! Bon... Prend mon gourdin, grogne au lieu de sourir, et allons voir l'autre couillon de chauff!"

De l'écume commencait a aparaitre au coin des levres de Cerby, qui se dirigeait deja a grand pas vers la porte, obligeant son épouse a courir pour le rattraper.

"...... tout mon homme ça..." soupira la béonide en refulant un dernier sourire et en pressant le pas pour le suivre hors de la grotte.
"le frappe pas trop fort, 'faut qu'il puisse nous aider quand-même..."

Cerby était dans une colère noire. Iarnvida en chemin n'avait plus envie de plaisanté, et se demandé même ce qui allait arriver à l'alchimiste qui allait bientôt se faire enguirlander. Le trajet se fit sans un mot, sous les première lueurs du jour... Le soleil lui-même derrière les nuages avait l'air de se cacher du Béonide qui serrait les poings tout en accélérant toujours son allure...
Les quelques compatriotes qu'ils croiserent s'acerterent bien vite de leur route, sous le regard assassin de Cerby. Bientot, l'entrée de la grotte de Chauff fut visible, et s'est en courant reelement que le couple fit les dernier metres.
D'une voie guturale, Cerby hurla avec rage

"Pretre de pacotille, magicien de paille! Montre toi que je t'arrache ta virilité, que tu puisses comprendre ce que ca fai d'etre sterile!"

Un grincement timide se fit entendre lorsque la porte s'entre bailla lentement. Le béonide, encore de plus en plus furieu finit d'ouvrir la porte d'un coup de pied qui envoya le pauvre chauff sur le sol.

"...euh... salut chauff !" lança inocement Iarnvida.
"alors comme ça tu n'es pas foutu de faire ton boulot jusqu'au bout !!" cracha cerby s'était penché au dessus du prètre.
"... Tu en fait du bruit ... Quel bon vent t'emmene ? un problème mon Cerbichou ?"
" un problème ? ah oui, en effet, et c'est toi qui va en avoir des problèmes maintenant espère de flemmard !!"
"nous n'arrivons pas à avoir d'enfant..." expliqua la béonide en retrait.
"un enfant ? vous voulez en avoir un ? eh mais c'est chouette ça les amis ! félicitation !"
"tu te fous de moi ?!! par ta faute on en a toujours pas, alors tes mots doux tu te les garde !!"

Cerby arracha d'un geste rageur la porte de ses gonds, et l'envoya se cracher contre la table.
Un filet de bave pendait au coin de sa bouche alors que ses yeux injecter de sang était fixé sur Chauff.

"Regle moi ca tout de suite tas de bouse fumante!"

Le berserk envoya un coup de pied brusque dans les parties intimes de Chauff, qui verdi sous le contrecoup de la douleur.

" Goarf !!! mais t'es taré mon pauvre cerby !! c'est m.. moi qui suit stérile maintenant !! " cria Chauff d'une voix que la douleur avant déformée, tout se roulant sur le sol. " Enfoiré !!! ça va pas ?!! j'y suis pour rien moi !! "
" mon chéri.... " murmura presque Iarnvida, " tu vas peut-être un peu loin là... "
" trop loin ? si cet abruti avait bien fini son boulot, tu serai déjà enseite de notre enfant à leur qu'il est !! "

Le regard de Cerby fit frissonner la béonide qui se contenta de baisser les yeux sur le prêtre qui continuait de se tordre de douleur à leurs pieds.

"Mais bon dieu, couina Chauff entre 2 gémissements, j'y suis pour rien moi! J'ai fai qu'une greffe d'organe, si ca fonctionne pas, c'est pas de ma faute! Allez plutot castrer taga"!

La comprehension envahissant peu a peu leur regard, Cerby et iarn prenait conscience de la méprise...
d'une voie abatue, Cerby dit :

" désolé mon vieu... Bon retablissement"...

Et c'est le dos courbé qu'ils sortirent de chez le prêtre, la rage ayant fait place a l'abattement.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

~~~~~ note : ce rp a été écrit par moi et cerby. Comme le mot par mot était relativement difficile, nous nous contentâmes d'écrire chacun notre tour un paragraphe d'à peu près 5-6 lignes. Bonne lecture... ~~~~~~


L'aube pointait a l'horizon, mais le couple de béonides était pourtant deja bien réveillé. Il faut bien dire que le sommeil les fuyait depuis peu. Tout aurait pu sembler normal a l'observateur non-averti, pourtant en y faisant attention, on aurait remarqué que les choses n'allaient pas aussi bien... Les sourirs semblaient avoir deserté leur visage, et si on lisait toujours le meme amour dans leur regard, il semblait manquer quelque chose a leur bonheur.
Iarnvida avait le regard vide, et fixait un cuissot dans sa main qui avait déjà refroidit. Cerby, lui, ne pouvait détaché son regard de son épouse avec un air attrité, voire désolé. Les succulents mets qui ornait la table était presque intactes, ce qui était plutot inquiétant pour un déjeuner béonide. le silence régnait dans la grotte, et seul l'écoulement de l'eau du bassin plus loin se faisait entendre.
Prenant doucement la main de sa femme dans la sienne, Cerby dit d'un ton doux et apaisant : "je suis désolé cherie... Mais ne baissons pas encore les bras...L'espoir subsiste toujours... Et ca ne me déplairait pas d'essayer encore et encore..." Pourtant, cette plaisanterie sonnait faux et ni l'un ni l'autre ni sourir. La morosité qui s'était installé avait son origine dans un probleme bien trop important a leur yeux pour qu'une simple plaisanterie ne puisse la dissiper.
Néanmoins, Iarnvida répondit d'un bref sourire, un sourire doux qui aurait presque pu passer pour sincère à son époux, s'il ne la connaissait pas tant. " Je ne me fait pas de soucis, mon amour, je ne perd pas espoirs.. je sais bien qu'avec toi tout est possible..." puis, la jeune femme reposa son cuissot, toujours intacte, et se leva pour poser un main sur l'épaule de son mari, et lui glisser à l'oreille quelques mot récomfortant, avant de s'éloigner.

Mais avant d'aller plus loin dans ce morne recit, nous nous devons de revenir quelques mois en arriere, alors que le bonheur des deux epoux eclipsait le soleil lui meme. Retournons a cette matinée fatidique qui devait marqué le debut d'une ere de merveille... Iarnvida était blottie au creux de l'epaule de son epoux, dans le lit conjugal. La tendresse qui semblait se degager couple emplissait la grotte toute entiere... Alors que Cerby lui carressait doucement le visage, le regard de la béonide changea, et une question se forma lentement sur ses levres...

" chéri ? as-tu déjà.... penser à l'éventualité d'avoir des enfants ? "

Le teint de Iarnvida déjà rosit par la châleur de l'aurore se colora un peu plus, en l'attente de la réponse de son cher amour. Ce dernier, qui la serrait fort contre lui prit un air surpris... surpris oui, mais si agréablement surpris qui ne pu s'empéché d'embrasser son aimée avant de répondre.

"des petites Iarnvida qui coureraient partout, joueraient a s'eclabousser dans le bassin, taquineraient notre dragon? Oui, j'y pense... Il ne se passe pas une journée sans que l'envie d'avoir des enfants ne me prenne."

Sur ces douces paroles, il embrassa longuement sa dulcinée,avant de lui sussurer a l'oreille: "mettons-y nous tout de suite" Sous les carresses de son époux, Iarnvida gloussa de plaisir. Un bonheur immense lui emplissait le coeur : elle avait un mari parfait, qu'elle aimait par dessus tout, et bientot, elle aurait des enfants, elle fonderait une grande famille. Devant l'impatience de Cerby, elle laissa même s'échapper un petit rire. Un rire que Cerby désespérait d'entendre dorénavent.

De nombreuse nuit passée en tentative avaient passés depuis cette journée... Et pourtant, le ventre de la jolie béonide était toujours aussi plat que lors de leur nuit de noce. Il fallait se rendre a l'évidence: Ils ne pouvaient pas faire d'enfant. Et l'idée de ne jamais avoir l'occasion de fonder une famille les minait littéralement, leur otant tout plaisir dans la vie.
Le temps passait, et rien ne changeait... mais si la nature leur refusait le bonheur de créer une nouvelle vie,peut-etre la magie et la science pourrait regler leur probleme

"a moins que.... à moins que le souci vienne de toi..."
"de moi ?" s'indigna cerby.
"... non, enfin pas de toi à proprement parlé... non, j'ai rien à te reproché, répondit Iarnvida avec un regard tendre. Je faisais juste allusion à ton.... enfin, au fait que tu as... enfin que tu étais..."
"Chauff et Tagazok !!!!! Tu crois que le probleme vient de mon changement de sexe ?!! Ces crétins aurait mal fait leur boulot ?!!"
"oui, exactement, c'est fort possible..." lacha Iarnvida, en se demandant si la situation était comique ou non.

Cerby était une fois de plus étonné par la perspicacité et le sens de la deduction de son épouse...Mais cela n'était pour le moment qu'un vague sentiment dans son esprit, masqué par la colere qu'il ressentait contre les deux pauvres abruti qui avaient oublier les fonction de reproduction!

"ahh, les gueux, les abruti! J'men vai les decapiter, les egorger, les emasculer, les empaler, des scalper! 6 mois qu'on galere parcequ'ils sont feignants?! TATA YOYO"

Les levres de Iarnvida se contortionnèrent pour afficher un sourire navré. La situation était bel et bien comique à ses yeux : Cerby s'agitait dans tous les sens en maudissant Chauff et Tagazok avec un regard fou.

"ah parce que toi tu trouve que c'était une galère ces 6derniers mois ?" Plaisanta iarnvida, définitivement inapte à prendre un ton sérieux.
"Roh, rigoles, rigoles! A cette heure ci, si ces deux idiots n'avait pas foutu la merde, ton ventre serait deja rond, et j'aurai mes mains posé dessus pour sentir notre bébé bouger! mais non, bien sur, il a fallaut que ses deux imbeciles foutent la merde! Bon... Prend mon gourdin, grogne au lieu de sourir, et allons voir l'autre couillon de chauff!"

De l'écume commencait a aparaitre au coin des levres de Cerby, qui se dirigeait deja a grand pas vers la porte, obligeant son épouse a courir pour le rattraper.

"...... tout mon homme ça..." soupira la béonide en refulant un dernier sourire et en pressant le pas pour le suivre hors de la grotte.
"le frappe pas trop fort, 'faut qu'il puisse nous aider quand-même..."

Cerby était dans une colère noire. Iarnvida en chemin n'avait plus envie de plaisanté, et se demandé même ce qui allait arriver à l'alchimiste qui allait bientôt se faire enguirlander. Le trajet se fit sans un mot, sous les première lueurs du jour... Le soleil lui-même derrière les nuages avait l'air de se cacher du Béonide qui serrait les poings tout en accélérant toujours son allure...
Les quelques compatriotes qu'ils croiserent s'acerterent bien vite de leur route, sous le regard assassin de Cerby. Bientot, l'entrée de la grotte de Chauff fut visible, et s'est en courant reelement que le couple fit les dernier metres.
D'une voie guturale, Cerby hurla avec rage

"Pretre de pacotille, magicien de paille! Montre toi que je t'arrache ta virilité, que tu puisses comprendre ce que ca fai d'etre sterile!"

Un grincement timide se fit entendre lorsque la porte s'entre bailla lentement. Le béonide, encore de plus en plus furieu finit d'ouvrir la porte d'un coup de pied qui envoya le pauvre chauff sur le sol.

"...euh... salut chauff !" lança inocement Iarnvida.
"alors comme ça tu n'es pas foutu de faire ton boulot jusqu'au bout !!" cracha cerby s'était penché au dessus du prètre.
"... Tu en fait du bruit ... Quel bon vent t'emmene ? un problème mon Cerbichou ?"
" un problème ? ah oui, en effet, et c'est toi qui va en avoir des problèmes maintenant espère de flemmard !!"
"nous n'arrivons pas à avoir d'enfant..." expliqua la béonide en retrait.
"un enfant ? vous voulez en avoir un ? eh mais c'est chouette ça les amis ! félicitation !"
"tu te fous de moi ?!! par ta faute on en a toujours pas, alors tes mots doux tu te les garde !!"

Cerby arracha d'un geste rageur la porte de ses gonds, et l'envoya se cracher contre la table.
Un filet de bave pendait au coin de sa bouche alors que ses yeux injecter de sang était fixé sur Chauff.

"Regle moi ca tout de suite tas de bouse fumante!"

Le berserk envoya un coup de pied brusque dans les parties intimes de Chauff, qui verdi sous le contrecoup de la douleur.

" Goarf !!! mais t'es taré mon pauvre cerby !! c'est m.. moi qui suit stérile maintenant !! " cria Chauff d'une voix que la douleur avant déformée, tout se roulant sur le sol. " Enfoiré !!! ça va pas ?!! j'y suis pour rien moi !! "
" mon chéri.... " murmura presque Iarnvida, " tu vas peut-être un peu loin là... "
" trop loin ? si cet abruti avait bien fini son boulot, tu serai déjà enseite de notre enfant à leur qu'il est !! "

Le regard de Cerby fit frissonner la béonide qui se contenta de baisser les yeux sur le prêtre qui continuait de se tordre de douleur à leurs pieds.

"Mais bon dieu, couina Chauff entre 2 gémissements, j'y suis pour rien moi! J'ai fai qu'une greffe d'organe, si ca fonctionne pas, c'est pas de ma faute! Allez plutot castrer taga"!

La comprehension envahissant peu a peu leur regard, Cerby et iarn prenait conscience de la méprise...
d'une voie abatue, Cerby dit :

" désolé mon vieu... Bon retablissement"...

Et c'est le dos courbé qu'ils sortirent de chez le prêtre, la rage ayant fait place a l'abattement.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

La béonide se tourna une dernière fois vers l'entrée de la grotte - dorénavent dépourvu de porte - et navrée, elle le regarda rempant vers une chaise, gémissant.

" on viendra réparer tout ça plus ta... "
"allez vous en d'ici !!! " lança le prètre d'une voix anormalement aiguë.

les deux époux se retirèrent donc, n'osant pas rester plus longtemps. une fois à l'écart, cerby, qui avait repris son calme, glissa à l'oreille de son épouse qu'une fois encore, ils avaient commis une "boulette".

" c'est la faute de Taga... à cause de lui tu as failli émasculé le pauvre chauff ! " gronda celle-ci.
"La faute a Taga.... tu croi pas si bien dire m'est avis... Au moment de mon changement de sexe, il m'avait dit qu'il laissait une surprise pour le meurtre des deux centaures... Ce poney aurait-il osé...?"


Les pièces du puzzle s'assemblaient petit a petit dans l'esprit du béonide... Et il raconta l'anecdote entière a son épouse...
La réaction de celle-ci fut pour le moins surprenante...

" Le gueux !! tout ça pour deux malheureux petits gardes centaures de rien du tout ? mais quel abruti ce tagazok !! allez viens chéri, on va pas le laisser s'en tirer comme ça... boudiou !!"

Iarnvida reprit la marche sans attendre son époux qui la regardait s'éloigner dans pas déterminé tout en continuant de grogner contre l'alchimiste.

Par chance, la demeure de celui-ci ne se trouvait pas trop loin, et il leur fallut moins de 15 minutes pour y arriver.
Iarnvida, toujours furieuse, précéda son mari en tambourinant sur la porte, hurlant des imprecations pour le moins colorée.
Elle n'attendit pas que Tagazok ouvre, et défonca l'entrée de son antre d'un violent coup de pied.
Lorsqu'elle apercut la fasse puante du fautif, sa voix prit un ton anormalement calme:

"alors... Il parait que tu dois me donner tes couilles pour remplacer celles defectueuses de mon mari?"

Cerby en retrait n'en cru pas ses oreilles. Etait-de bien sa douce et rafinée Iarnvida qui venait de prononcer ses mots?
de l'autre côté de la porte, le vieil alchimiste n'avait pas encore entièrement réagit, laissant son regard vassiller entre la porte ouverte et la silhouette en contre jour de la béonide. N'ayant pas entendu la demande de cette dernière, Tagazok se contenta de répondre d'une voix lasse :

" Si vous voulez des potions, revenez plus tard, je suis occupé..... "

"Des potions hmmm... Comme celle dans laquelle tu as laisser "une petite surprise?"

Le regard de la béonide se fit encore plus dur si c'etait possible.

"ou alors des potions comme celles qui sont brisées sur le sol?"
"Sur le sol? hein? de quoi parlé v....."

Avant qu'il ne puisse finir sa phrase, Iarnvida avait renverser une etagere pleine de potions par terre...

"Ops"
" mais bon sang de bois !! petite idiote as-tu conscience des mois de travail et de recherche que tu viens de réduire à néant ?!!! " s'indigna le vieillard.
" j'allais justement vous dire la même chose.... "

Iarnvida se posta devant lui et son visage à quelques centimètre du siens reprit ;

" Vous devez dorénavent être plus apte à comprendre ce que peut ressentir un couple tentant vainement d'avoir un enfant après plusieurs longs mois d'espoir et d'inquiétude.... "

Lent d'esprit, le vieu schnok comprit enfin de quoi il s'agissait...

"ahhh, alors ma ptite blague a marché", ricana-t-il
"BANG!!!" Une nouvelle étagere chuta.

En moins de 30 seconde, le regard de l'alchimiste était passé de l'incomprehension, à la colere, à l'amusement pour enfin parvenir a l'affolement.

"Bon, je dois encore casser une partie de ta boutique, ou alors tu aurais une potion miracle a nous proposer?"

" c'est bon c'est bon arrête !!!! je vais vous aider !!! " dit tagazok choqué par la vision de sa grotte dévastée. " il existe un remède.... "

iarnvida changea tout de suite de regard et arrêta sa marche vers la prochaine étagère.

" pas d'entourloupe cette fois-ci ? pas de mensonge n'est-ce pas ?" dit-elle d'un ton menaçant, le regard plongé dans le siens.
" la vérité apporte déjà une situation assez périlleuse et drôle pour qu'elle me suffise... " susurra le vieil homme avec un sourire satisfait.


Cerby, en retrait depuis le début de la scène, s'avança alors et posa une main apaisante sur l'épaule tendue de sa femme, qui sans son intervention aurait sans doute frapper l'alchimiste.

"Eh bien voila..." commenca le viellard, "... Selon certaines légendes de laponie nord-orientale-tribale-oubliée-au-pieds-qui-puent, il existerait une race inconnue de tous: les VENUSIENS! Envahisseur d'une autre planete, ils se cacheraient de nous depuis des temps immemoriaux. Ils nous observent, et attendent leur heure.
Il est dit que si les Dieux... du moin les faux dieux, ont déclenché la guerre perpetuelle, c'est uniquement pour nous entrainer en vue de l'invasion futur!
Mais le plus étrange dans cette mythologie, est la forme de ses extra-terrestre... Ils seraient composé de pagne, de jupons, de corset, et autres dessous...
Enfin voila, le grimoire que j'ai retrouvé, nomé "connerie en tout genre" indique que l'antidote a ma... blaguounette, c'est l'élastique d'un général Venusien nomé "Nylon"... Maintenant demerde toi"

l'expression des deux époux était indescriptible : un mélange subtil d'accablement, d'incrédulité et de doute quant à la réaction à avoir devant cette annonce. au bout de longues secondes de silence où Cerby et Iarnvida restèrent pantois, cerby repris la parole.

" c'est quoi cette histoire ? tu te fous pas un peu de moi par hasard ? "
c'était la première fois depuis leur arrivée que tagazok entendit la voix de Cerby : celle-ci était différente qu'à l'accoutumé.

Tagazok éclata de rire.
" je crois que vous n'avez pas d'autre choix que de me faire confiance..... "
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

La béonide se tourna une dernière fois vers l'entrée de la grotte - dorénavent dépourvu de porte - et navrée, elle le regarda rempant vers une chaise, gémissant.

" on viendra réparer tout ça plus ta... "
"allez vous en d'ici !!! " lança le prètre d'une voix anormalement aiguë.

les deux époux se retirèrent donc, n'osant pas rester plus longtemps. une fois à l'écart, cerby, qui avait repris son calme, glissa à l'oreille de son épouse qu'une fois encore, ils avaient commis une "boulette".

" c'est la faute de Taga... à cause de lui tu as failli émasculé le pauvre chauff ! " gronda celle-ci.
"La faute a Taga.... tu croi pas si bien dire m'est avis... Au moment de mon changement de sexe, il m'avait dit qu'il laissait une surprise pour le meurtre des deux centaures... Ce poney aurait-il osé...?"


Les pièces du puzzle s'assemblaient petit a petit dans l'esprit du béonide... Et il raconta l'anecdote entière a son épouse...
La réaction de celle-ci fut pour le moins surprenante...

" Le gueux !! tout ça pour deux malheureux petits gardes centaures de rien du tout ? mais quel abruti ce tagazok !! allez viens chéri, on va pas le laisser s'en tirer comme ça... boudiou !!"

Iarnvida reprit la marche sans attendre son époux qui la regardait s'éloigner dans pas déterminé tout en continuant de grogner contre l'alchimiste.

Par chance, la demeure de celui-ci ne se trouvait pas trop loin, et il leur fallut moins de 15 minutes pour y arriver.
Iarnvida, toujours furieuse, précéda son mari en tambourinant sur la porte, hurlant des imprecations pour le moins colorée.
Elle n'attendit pas que Tagazok ouvre, et défonca l'entrée de son antre d'un violent coup de pied.
Lorsqu'elle apercut la fasse puante du fautif, sa voix prit un ton anormalement calme:

"alors... Il parait que tu dois me donner tes couilles pour remplacer celles defectueuses de mon mari?"

Cerby en retrait n'en cru pas ses oreilles. Etait-de bien sa douce et rafinée Iarnvida qui venait de prononcer ses mots?
de l'autre côté de la porte, le vieil alchimiste n'avait pas encore entièrement réagit, laissant son regard vassiller entre la porte ouverte et la silhouette en contre jour de la béonide. N'ayant pas entendu la demande de cette dernière, Tagazok se contenta de répondre d'une voix lasse :

" Si vous voulez des potions, revenez plus tard, je suis occupé..... "

"Des potions hmmm... Comme celle dans laquelle tu as laisser "une petite surprise?"

Le regard de la béonide se fit encore plus dur si c'etait possible.

"ou alors des potions comme celles qui sont brisées sur le sol?"
"Sur le sol? hein? de quoi parlé v....."

Avant qu'il ne puisse finir sa phrase, Iarnvida avait renverser une etagere pleine de potions par terre...

"Ops"
" mais bon sang de bois !! petite idiote as-tu conscience des mois de travail et de recherche que tu viens de réduire à néant ?!!! " s'indigna le vieillard.
" j'allais justement vous dire la même chose.... "

Iarnvida se posta devant lui et son visage à quelques centimètre du siens reprit ;

" Vous devez dorénavent être plus apte à comprendre ce que peut ressentir un couple tentant vainement d'avoir un enfant après plusieurs longs mois d'espoir et d'inquiétude.... "

Lent d'esprit, le vieu schnok comprit enfin de quoi il s'agissait...

"ahhh, alors ma ptite blague a marché", ricana-t-il
"BANG!!!" Une nouvelle étagere chuta.

En moins de 30 seconde, le regard de l'alchimiste était passé de l'incomprehension, à la colere, à l'amusement pour enfin parvenir a l'affolement.

"Bon, je dois encore casser une partie de ta boutique, ou alors tu aurais une potion miracle a nous proposer?"

" c'est bon c'est bon arrête !!!! je vais vous aider !!! " dit tagazok choqué par la vision de sa grotte dévastée. " il existe un remède.... "

iarnvida changea tout de suite de regard et arrêta sa marche vers la prochaine étagère.

" pas d'entourloupe cette fois-ci ? pas de mensonge n'est-ce pas ?" dit-elle d'un ton menaçant, le regard plongé dans le siens.
" la vérité apporte déjà une situation assez périlleuse et drôle pour qu'elle me suffise... " susurra le vieil homme avec un sourire satisfait.


Cerby, en retrait depuis le début de la scène, s'avança alors et posa une main apaisante sur l'épaule tendue de sa femme, qui sans son intervention aurait sans doute frapper l'alchimiste.

"Eh bien voila..." commenca le viellard, "... Selon certaines légendes de laponie nord-orientale-tribale-oubliée-au-pieds-qui-puent, il existerait une race inconnue de tous: les VENUSIENS! Envahisseur d'une autre planete, ils se cacheraient de nous depuis des temps immemoriaux. Ils nous observent, et attendent leur heure.
Il est dit que si les Dieux... du moin les faux dieux, ont déclenché la guerre perpetuelle, c'est uniquement pour nous entrainer en vue de l'invasion futur!
Mais le plus étrange dans cette mythologie, est la forme de ses extra-terrestre... Ils seraient composé de pagne, de jupons, de corset, et autres dessous...
Enfin voila, le grimoire que j'ai retrouvé, nomé "connerie en tout genre" indique que l'antidote a ma... blaguounette, c'est l'élastique d'un général Venusien nomé "Nylon"... Maintenant demerde toi"

l'expression des deux époux était indescriptible : un mélange subtil d'accablement, d'incrédulité et de doute quant à la réaction à avoir devant cette annonce. au bout de longues secondes de silence où Cerby et Iarnvida restèrent pantois, cerby repris la parole.

" c'est quoi cette histoire ? tu te fous pas un peu de moi par hasard ? "
c'était la première fois depuis leur arrivée que tagazok entendit la voix de Cerby : celle-ci était différente qu'à l'accoutumé.

Tagazok éclata de rire.
" je crois que vous n'avez pas d'autre choix que de me faire confiance..... "
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Cerbie_Mercantilus]

Une fois sorti de la grotte, le regard de Iarnvida se fixa sur le pagne de Cerby:
"et ben mon cheri... faut bien commencer par quelque part... Enleve ca! Moi, je vais chercher les pinces et les braises! Mouahahaha"
Cette histoire de fou avait-elle achevé la raison de la Béonide? En tout cas, c'est ce que semblait indiquer son rire hysterique...

Pourtant, un sourir carnassier s'épanouit sur la face de Cerby...
"Ahhh, je me souvien justement assez bien de ce que mon pere expliquait dans ses memoires sur les techniques de tortures... Mouhahahaha"

conservant un regard fou, cerby arracha son pagne dans un cri bestial. Il saisit le vêtement dans son poing et le leva bien haut en déclamant :
" Rien ne viendra défaire ma détermination !! Nous trouverons ce remède dussai-je déshabiller tous les êtres vivant ici-bas !! torturant un par un chacuns des dessous ne voulant pas cohopérer !! nous triompherons ! Qu'ils viennent ces bout de tissus, je ne les craint pas ! Qu'ils se battent ou qu'ils se range à notre noble cause !! à l'assault !! "


De retour dans leur antre, le couple prépara fébrilement les instruments nécéssaires à la triste scène qui allait suivre...
Utilisant aiguilles, fil, dés à coudre, fer à repasser, epingles, ciseau........ Ce qui était un pagne 30 minutes auparavant ressemblait désormais à un chiffon usé (celui qui dit que ca ressemblait deja à ca s'en prend une!).
Mais ce bout de tissu tremblait désormais. Il était agité de spasmes et de convulsions.
Alors que les deux amants contemplaient ce spectacle, une voie se fit entendre dans leur tete: "

mon ourlet ! mon si bel ourlet !! arretez ! je ne ressemble plus à rien maintenant !! pitié stoppez donc ces actes de barbarries !! je m'avoue vaincu créatures répugnantes !! mais ne posez plus vos sales pattes sur mes subtiles mailles !! bouhouhou... Que vais-je devenir maintenant, je ne suis guère plus qu'un vulgaire chiffon... pauvre de moi !! "


les deux béonides se figèrent.

Par télépathie, il venait de recevoir les pensées d'un... pagne. Mais par dessus tout... d'un vénusien !


Les memes mots exactement leur vinrent aux levres:
"Alors l'autre abruti de salopio disait pas que des conneries sorties d'un cul de poule?"

Une fois de plus, leurs muscles se contracterent lorsque le murmure dans leur tete repris:
"Biensur que non, "connerie en tout genre" est le livre le plus véridique qui puisse exister! Un corset de bas-étage en dicta son contenu a celui que vous appellez Cain... SHOLVA!"

"Bon, petit pagne de pacotie, maintenant dit nous ou est le général Nylon!"

"Dans ton cul connard!... Jamais je ne trahirai les miens!"

iarnvida empoigna violemment le misérable bout de tissus tremblant.

" écoute vieux chiffon, je pense pas que tu sois trop bien placé pour jouer les héros ! si tu refuse de coopérer tu restera notre prisonnier jusqu'à ce qu'on ait obtenu ce que l'on veut ! je te trainerai dans la boue, me moucherai sur toi, et essuerai mes chaussure boueuse sur ton visage de vénusien ! te voilà prévenu ! "

le pagne resta immobile tel un vêtement sans vie. Iarnvida continua de le secouer, criant injustes et menaces. Cerby, qui avait peu à peu repris son calme, posa une main apaisante sur l'éaule de son épouse.

" ne t'en fais pas... Il ne s'en tirera pas aussi facilement. En attendant, suivons la première piste que nous avons : allons voir Cain. "

[Cerbie_Mercantilus]

Une fois sorti de la grotte, le regard de Iarnvida se fixa sur le pagne de Cerby:
"et ben mon cheri... faut bien commencer par quelque part... Enleve ca! Moi, je vais chercher les pinces et les braises! Mouahahaha"
Cette histoire de fou avait-elle achevé la raison de la Béonide? En tout cas, c'est ce que semblait indiquer son rire hysterique...

Pourtant, un sourir carnassier s'épanouit sur la face de Cerby...
"Ahhh, je me souvien justement assez bien de ce que mon pere expliquait dans ses memoires sur les techniques de tortures... Mouhahahaha"

conservant un regard fou, cerby arracha son pagne dans un cri bestial. Il saisit le vêtement dans son poing et le leva bien haut en déclamant :
" Rien ne viendra défaire ma détermination !! Nous trouverons ce remède dussai-je déshabiller tous les êtres vivant ici-bas !! torturant un par un chacuns des dessous ne voulant pas cohopérer !! nous triompherons ! Qu'ils viennent ces bout de tissus, je ne les craint pas ! Qu'ils se battent ou qu'ils se range à notre noble cause !! à l'assault !! "


De retour dans leur antre, le couple prépara fébrilement les instruments nécéssaires à la triste scène qui allait suivre...
Utilisant aiguilles, fil, dés à coudre, fer à repasser, epingles, ciseau........ Ce qui était un pagne 30 minutes auparavant ressemblait désormais à un chiffon usé (celui qui dit que ca ressemblait deja à ca s'en prend une!).
Mais ce bout de tissu tremblait désormais. Il était agité de spasmes et de convulsions.
Alors que les deux amants contemplaient ce spectacle, une voie se fit entendre dans leur tete: "

mon ourlet ! mon si bel ourlet !! arretez ! je ne ressemble plus à rien maintenant !! pitié stoppez donc ces actes de barbarries !! je m'avoue vaincu créatures répugnantes !! mais ne posez plus vos sales pattes sur mes subtiles mailles !! bouhouhou... Que vais-je devenir maintenant, je ne suis guère plus qu'un vulgaire chiffon... pauvre de moi !! "


les deux béonides se figèrent.

Par télépathie, il venait de recevoir les pensées d'un... pagne. Mais par dessus tout... d'un vénusien !


Les memes mots exactement leur vinrent aux levres:
"Alors l'autre abruti de salopio disait pas que des conneries sorties d'un cul de poule?"

Une fois de plus, leurs muscles se contracterent lorsque le murmure dans leur tete repris:
"Biensur que non, "connerie en tout genre" est le livre le plus véridique qui puisse exister! Un corset de bas-étage en dicta son contenu a celui que vous appellez Cain... SHOLVA!"

"Bon, petit pagne de pacotie, maintenant dit nous ou est le général Nylon!"

"Dans ton cul connard!... Jamais je ne trahirai les miens!"

iarnvida empoigna violemment le misérable bout de tissus tremblant.

" écoute vieux chiffon, je pense pas que tu sois trop bien placé pour jouer les héros ! si tu refuse de coopérer tu restera notre prisonnier jusqu'à ce qu'on ait obtenu ce que l'on veut ! je te trainerai dans la boue, me moucherai sur toi, et essuerai mes chaussure boueuse sur ton visage de vénusien ! te voilà prévenu ! "

le pagne resta immobile tel un vêtement sans vie. Iarnvida continua de le secouer, criant injustes et menaces. Cerby, qui avait peu à peu repris son calme, posa une main apaisante sur l'éaule de son épouse.

" ne t'en fais pas... Il ne s'en tirera pas aussi facilement. En attendant, suivons la première piste que nous avons : allons voir Cain. "

[Cerbie_Mercantilus]

Perdu dans leurs pensées, la route ne leur paru pas bien longue...
L'ancien monolythe pointa à l'horizon alors que le soleil se couchait... Mais la clarté etait encore suffisante pour le passer aujourd'hui.
C'est à peine s'ils sentirent le leger frisson de la teleportation.
Une carte à la main, ils trotinerent jusqu'a Cain, afin de faire enfin la lumiere sur cette histoire biscornue...

Etrangement, le Vieu sage ne sembla pas surpris de les voir arriver
" je commençais à m'impatienter." déclara ce dernier avec un regard malicieux.

" comment cela ? vous nous attendiez ?! "

cerby qui commençait à etre dépassé par toutes ces dernieres révélations et surprises, ne savait même plus s'il s'agissait bel et bien de la réalité... il en était de même de sa femme qui dévisageait le vieux Cain.
" où en etes-vous, reprit le sage, qu'avez-vous appris jusque maintenant ? "

Cain, sans attendre la réponse du couple, se pencha en avant vers Iarnvida qui eut un mouvement de recul. sortant la main de son long manteau, il attrapa dans le dos de la béonide le morceau de tissus bayonné, le vénusien qui était leur prisonnier.
Cain ne put s'empecher de rire à la vue du pagne en loque, se balançant au bout d'un cordage .

"Et bien, vous n'y êtes pas aller de main morte! Bah, je suppose qu'il l'avait bien chercher... du thé?"

"Bordel! Vous allez nous expliquer ce que c'est ce foutoir général! Entre les slip-parlant, et les croulant-barbant, on est servit aujourd'hui!", s'emporta le béonide.

"Du calme mes jeunes amis... Bon, puisque vous connaissez une partie de la vérité, autant tout vous raconter:

Lors de la jeunesse de l'univers, Gaia créa un premier peuple, les vénusiens. Mais elle considera cela comme un echec. Pas assez robustes pour survivre dans la théorie, elle les abandonna pour s'ateller à la création de notre monde et des créatures qui le peuplent... Mais alors qu'elle les pensait disparus, les vénusiens surviverent grace à leur intelligence retorse, et mirent au point des technologies que meme George Lucas il imaginerait pas!"

" Jorj luka ? " reprit inocemment iarnvida.

"Alors que nous stagnions à l'etat primaire dans un espece d'Eden, ils develloperent un instinct de survit à tout épreuve. Leur rancune envers Gaia grandit en meme temps que leur civilisation.

Lorsqu'ils decouvrirent notre existence à nous, créatures cheries de Gaia, ils planifierent notre destruction... Mais La conscience de l'univers ne le voyait pas de cette facon...
Et bien que son éthique lui interdisent d'aneantire ses propres créations ou d'intervenir de facon directe, elle noma un leader par race, et lui attribua une grande puissance.
Ces leaders sont aujourd'hui connus comme des "dieux", titre qu'ils se donnerent alors que leur ego depassaient toute mesure.

Mais à l'époque, devant la crise et le risque de voir tout disparaitre, ils prirent une décision unanime: Amener chaques races à se battre perpetuellement, afin d'entrainer les peuples à la guerre.

Ils mirent au point des armées, nous donnerent la magie... Tout ce qui pouvaient servir au combat à venir contre les vénusiens.
Et bien qu'ils soient aujourd'hui aveugler par leur seule soif de puissance, ils nous permirent de develloper notre potentiel guerrier au dela de l'imaginable.

Mais maintenant, l'heure du combat approche mes amis... Peut-etre les Dieux se souviendront-ils du role que leur a attribué Gaia.

Bref, passons. Vous n'etes pas la pour sauver la planete, je trouverai un héros de rpg pour ca. J'hésite encore entre Link et Cloud... Fin quelqun d'habitué à sauver le monde quoi!

Pour votre cas, je ne puis qu'indiquer l'endroit ou se trouve actuellement le général nylon: Au quartier général des venusiens en terres xmiennes: juste sous la forteresse de la zone humaine! Le passage qui y conduit démarre sous l'ancien monolythe.
Bonne chance à vous!"

blasé par les rebondissements de ce rp quelque peu révolutionnaire, nos deux béonides partirent sans demander leur reste, devant un Cain déçu de ne pas avoir choqué d'avantage son auditoire.

" attendez, c'est des supers révélations que je viens de vous raconté ! vous pourriez au moins faire mine d'etre surpris ! "
cerby se contenta d'un signe de main en repartant en direction de l'ancien monolithe.


après quelques pas fatigués, Iarnvida se tourna vers son époux, s'intérrogeant :

" chéri.... mais c'est qui Link et Kloude ? "

[Cerbie_Mercantilus]

Perdu dans leurs pensées, la route ne leur paru pas bien longue...
L'ancien monolythe pointa à l'horizon alors que le soleil se couchait... Mais la clarté etait encore suffisante pour le passer aujourd'hui.
C'est à peine s'ils sentirent le leger frisson de la teleportation.
Une carte à la main, ils trotinerent jusqu'a Cain, afin de faire enfin la lumiere sur cette histoire biscornue...

Etrangement, le Vieu sage ne sembla pas surpris de les voir arriver
" je commençais à m'impatienter." déclara ce dernier avec un regard malicieux.

" comment cela ? vous nous attendiez ?! "

cerby qui commençait à etre dépassé par toutes ces dernieres révélations et surprises, ne savait même plus s'il s'agissait bel et bien de la réalité... il en était de même de sa femme qui dévisageait le vieux Cain.
" où en etes-vous, reprit le sage, qu'avez-vous appris jusque maintenant ? "

Cain, sans attendre la réponse du couple, se pencha en avant vers Iarnvida qui eut un mouvement de recul. sortant la main de son long manteau, il attrapa dans le dos de la béonide le morceau de tissus bayonné, le vénusien qui était leur prisonnier.
Cain ne put s'empecher de rire à la vue du pagne en loque, se balançant au bout d'un cordage .

"Et bien, vous n'y êtes pas aller de main morte! Bah, je suppose qu'il l'avait bien chercher... du thé?"

"Bordel! Vous allez nous expliquer ce que c'est ce foutoir général! Entre les slip-parlant, et les croulant-barbant, on est servit aujourd'hui!", s'emporta le béonide.

"Du calme mes jeunes amis... Bon, puisque vous connaissez une partie de la vérité, autant tout vous raconter:

Lors de la jeunesse de l'univers, Gaia créa un premier peuple, les vénusiens. Mais elle considera cela comme un echec. Pas assez robustes pour survivre dans la théorie, elle les abandonna pour s'ateller à la création de notre monde et des créatures qui le peuplent... Mais alors qu'elle les pensait disparus, les vénusiens surviverent grace à leur intelligence retorse, et mirent au point des technologies que meme George Lucas il imaginerait pas!"

" Jorj luka ? " reprit inocemment iarnvida.

"Alors que nous stagnions à l'etat primaire dans un espece d'Eden, ils develloperent un instinct de survit à tout épreuve. Leur rancune envers Gaia grandit en meme temps que leur civilisation.

Lorsqu'ils decouvrirent notre existence à nous, créatures cheries de Gaia, ils planifierent notre destruction... Mais La conscience de l'univers ne le voyait pas de cette facon...
Et bien que son éthique lui interdisent d'aneantire ses propres créations ou d'intervenir de facon directe, elle noma un leader par race, et lui attribua une grande puissance.
Ces leaders sont aujourd'hui connus comme des "dieux", titre qu'ils se donnerent alors que leur ego depassaient toute mesure.

Mais à l'époque, devant la crise et le risque de voir tout disparaitre, ils prirent une décision unanime: Amener chaques races à se battre perpetuellement, afin d'entrainer les peuples à la guerre.

Ils mirent au point des armées, nous donnerent la magie... Tout ce qui pouvaient servir au combat à venir contre les vénusiens.
Et bien qu'ils soient aujourd'hui aveugler par leur seule soif de puissance, ils nous permirent de develloper notre potentiel guerrier au dela de l'imaginable.

Mais maintenant, l'heure du combat approche mes amis... Peut-etre les Dieux se souviendront-ils du role que leur a attribué Gaia.

Bref, passons. Vous n'etes pas la pour sauver la planete, je trouverai un héros de rpg pour ca. J'hésite encore entre Link et Cloud... Fin quelqun d'habitué à sauver le monde quoi!

Pour votre cas, je ne puis qu'indiquer l'endroit ou se trouve actuellement le général nylon: Au quartier général des venusiens en terres xmiennes: juste sous la forteresse de la zone humaine! Le passage qui y conduit démarre sous l'ancien monolythe.
Bonne chance à vous!"

blasé par les rebondissements de ce rp quelque peu révolutionnaire, nos deux béonides partirent sans demander leur reste, devant un Cain déçu de ne pas avoir choqué d'avantage son auditoire.

" attendez, c'est des supers révélations que je viens de vous raconté ! vous pourriez au moins faire mine d'etre surpris ! "
cerby se contenta d'un signe de main en repartant en direction de l'ancien monolithe.


après quelques pas fatigués, Iarnvida se tourna vers son époux, s'intérrogeant :

" chéri.... mais c'est qui Link et Kloude ? "

[Iarnvida]

La monotone ligne d'horizon se déforma enfin pour dessiner les contours de l'ancien monolithe. le couple ne s'était pas reposé depuis le matin, et sous les lueurs de la lune, leurs silhouettes courbées par la fatigue et l'acablement étaient de plus en plus inquiétante. Au pied de l'édifice, iarnvida exténuée se laissa tomber sur le sol dans un bruit sourd. Seuls les grognements du vénusien prisonnier venait briser le morgne silence de cette triste nuit.

" bande de nazes, vous croyez vraiment que vous ferez le poids à vous deux... seuls contre tout mon peuple ? vous etes pathétiques ! j'ai honte d'etre votre prisonnier... encore si vous aviez été puissant, j'aurai été celui qui avait lutté en héros mais là... regardez-vous ! deux molassons qui se traine et vont s'envoyer à la mort sans réfléchir... mince, j'ai vraiment honte... et que penseront les jolis bustiers en me voyant arriver comme ça... décousus et sali par vos main craseuses... franchement j'ai vraiment pas de vei..."
" LA FERME !!!!!!! " avait hurlé cerby, d'une voix tellement forte qu'elle résonna sur la plaine.
" on ferait mieux de se reposer un peu avant de s'engager dans ce mystérieux passage mon chéri."
"tu as raison Iarn... tu crois que ca fait fonction reveil ce venusien? non je suppose"

Exténuées par leur journée, les jeunes epoux ne prirent meme pas la peine de monter un camp, et s'endormit aussitot couchés. Le matin venu, la carresse du soleil les reveilla. Encore un peu fatigués de la vielle (saloperie de fatigue qui reduit l'attaque!), ils se sentaient tout de meme assez en forme pour affronter la fin de leur quete, et en finir avec cette absurdité. Le passage qui s'ouvrait a leur pied ne pouvait etre que celui decrit par Cain. Effectivement, le panneau indicateur "venusien a 1 kilometre" indiquant le tunnel semblait un bon indice. C'est donc d'un bon pas qu'ils s'engagerent dans le mysterieux chemin, redoutant a chaque enjambée de tombée sur une foule de sous vetements en colere.


le sombre et long tunnel n'avait rien de rassurant.. conditionnés dans ce lugubre passage, les béonides s'apprétaient à devoir se battre à tout moment. La main sur son fourreau d'épée, iarnvida attendait avec crainte mais impatience de voir au bout du tunnel la base secrete apparaitre. elle sentait contre elle frémir le pagne ligotté, pressé d'etre libérré par ses compagnons. " vous allez vous faire rosser !! bien fait pour vous !! " chantonnait le vieux tissus, ravi de pouvoir à son tour torturer l'esprit de ses geoliers. mais les deux époux n'avait cure de ses railleries : ils étaient trop occupé à penser à se qu'il les attendait, à espéré réussir cette intrusion... et récupéré le précien élastique du général Nylon... la clef qui leur permettrai de devenir un jour parents. une faible lueur bleuté dansait sur les parois du tunnel... la sortie était proche.

Des soleils miniatures brillaient maintenant au plafond... Et l'air ne sentait plus le renfermé, mais il n'avait plus d'odeur... Drole de sensation! Tout a coup, ils furent assaillis par des vagues de sensation! Des mots et des phrases apparurent en tout sens dans leur esprit:
"vas-y, un dernier crochet!"
"et hop, revers long de ligne!"
"allez, le strike!!!!!"
Nos héros mirent quelques temps a ignorer ces voix avant de continuer a avancer. Enfin, une grande piece s'ouvrit devant eux... Quel étrange spectacle que des sous vetements tenant dans leur pli des especes de batons blanc, et fixant un bout de mur qui bougeait sans cesse!

"ALERRRTTTTTTEEEEEUUUHHHH!", hurla mentalement le prisonnier. ....aucune réaction.... "mais euh, bougez, on est attaqué!"
Un jupon rose-bonbon se retourna et dit négligement: "tais-toi, on joue a la wii!"

profitant de la distraction des sous-vetements, Cerby ne jeta sur le tas de vénusien, les empoignant par poignée dans son énorme main, les étirant, les froissants, les prenant à deux main pour déchiré leur tissus à pleines dent... Iarnvida ne tarda pas non plus à le suivre, un sourire cruel se dessinant sur ses lèvres. Hurlant, donnant l'alerte, les pagnes, culottes, et corset s'affolé, dépassés par les évenement. Le prisonnier, toujours ligotté au dos de la béonide, se contentait de se plaindre de n'etre jamais écouter, et regarder impuissant ses compères se faire massacré. Dans sa frénésie, cerby d'un grand mouvement de bras fit tombé sur le sol l'immence boite qui illuminait la pièce et qu'avait l'air de vénéré les vénussiens. dans un fracas et un éclair de lumière, l'objet implosa, et devant ce spectacle, les rescapé furent outrés. " mais quel con ! il a bousillé la télé !!! " cria un petit pagne avant de se jeter sur Cerby. En rage, les autres vénusien se jetèrent tous ensemble sur les deux intrus, rendant leurs mouvement difficiles.

" ça devait etre une idole que tu vien de détruire ! " cria Iarnvida, arrachant de ses vétement les vénusien qui s'agripait.
" Kapoué !!! " cria Cerby en se libérant des assaillants, les piettinants en sautant sur place, et perdant patience : " Où est- ce satané général Nylon ?!!!!! "

"Dtc petit morveux!"

Un étrange morceau de tissu flottait maintenant a l'extremité de la salle. Malgré son apparence pour le moin ridicule (comme ce rp ^^), il rayonnait de charisme. Soutenir son regard (parceque il a des petits bonshommes dessinné partout sur lui, donc plein de nyeux!) était impossible! (ben oui, comme il a plus d'yeux que toi, le regarder dans les yeux, c'est pas trop possible!).
Ce n'était pas un pagne, mais ca fonction devait etre similaire. Il semblait bien trop fin pour tenir chaud, et l'imaginer etre porter par une créature semblait risible.

"Frere Vénusiens, cessez donc de vous battre comme des chiffon...niers! Euh, excusez mon humour... Allez chercher vos laser top ultra de la mort qui tue tout! Niveau d'alerte vert-jaunatre-qui-tire-sur-l'indigot! Hop hophop, on se bouge les couture!"

un ridicule petit bout de tissus bleu ricana avant de donné l'alerte pour de bon. En quelques secondes à peine, le chaos de la panique des vénusiens avait laisser place à un bataillon organisé et armé, trônant devant celui qui avait l'air d'etre leur chef.
C'était un spectacle plus que déroutant pour les deux béonides : en face d'eux, se trouvait maintenant des rangées de bout de tissus équipés par des armes multicolores... dont l'utilité restait bien mystérieuse.

Contrairement à Cerby pour qui de petits "gadjets" ne pouvait rivalisé avec sa force de frappe, Iarnvida resta suspicieuse et apréhendait la suite des évênements.

" vous cherchiez le général Nylon n'est-ce pas... vous l'avez trouvé." déclara posément la caricature de pagne au fond de la salle. " Néanmoins, j'ai le regret de vous annoncer que votre quête se termine ici."

Le bout de tissus en chef flotta un peu plus haut et leva une extrémité de sa couture pour faire un signe à son armée.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

La monotone ligne d'horizon se déforma enfin pour dessiner les contours de l'ancien monolithe. le couple ne s'était pas reposé depuis le matin, et sous les lueurs de la lune, leurs silhouettes courbées par la fatigue et l'acablement étaient de plus en plus inquiétante. Au pied de l'édifice, iarnvida exténuée se laissa tomber sur le sol dans un bruit sourd. Seuls les grognements du vénusien prisonnier venait briser le morgne silence de cette triste nuit.

" bande de nazes, vous croyez vraiment que vous ferez le poids à vous deux... seuls contre tout mon peuple ? vous etes pathétiques ! j'ai honte d'etre votre prisonnier... encore si vous aviez été puissant, j'aurai été celui qui avait lutté en héros mais là... regardez-vous ! deux molassons qui se traine et vont s'envoyer à la mort sans réfléchir... mince, j'ai vraiment honte... et que penseront les jolis bustiers en me voyant arriver comme ça... décousus et sali par vos main craseuses... franchement j'ai vraiment pas de vei..."
" LA FERME !!!!!!! " avait hurlé cerby, d'une voix tellement forte qu'elle résonna sur la plaine.
" on ferait mieux de se reposer un peu avant de s'engager dans ce mystérieux passage mon chéri."
"tu as raison Iarn... tu crois que ca fait fonction reveil ce venusien? non je suppose"

Exténuées par leur journée, les jeunes epoux ne prirent meme pas la peine de monter un camp, et s'endormit aussitot couchés. Le matin venu, la carresse du soleil les reveilla. Encore un peu fatigués de la vielle (saloperie de fatigue qui reduit l'attaque!), ils se sentaient tout de meme assez en forme pour affronter la fin de leur quete, et en finir avec cette absurdité. Le passage qui s'ouvrait a leur pied ne pouvait etre que celui decrit par Cain. Effectivement, le panneau indicateur "venusien a 1 kilometre" indiquant le tunnel semblait un bon indice. C'est donc d'un bon pas qu'ils s'engagerent dans le mysterieux chemin, redoutant a chaque enjambée de tombée sur une foule de sous vetements en colere.


le sombre et long tunnel n'avait rien de rassurant.. conditionnés dans ce lugubre passage, les béonides s'apprétaient à devoir se battre à tout moment. La main sur son fourreau d'épée, iarnvida attendait avec crainte mais impatience de voir au bout du tunnel la base secrete apparaitre. elle sentait contre elle frémir le pagne ligotté, pressé d'etre libérré par ses compagnons. " vous allez vous faire rosser !! bien fait pour vous !! " chantonnait le vieux tissus, ravi de pouvoir à son tour torturer l'esprit de ses geoliers. mais les deux époux n'avait cure de ses railleries : ils étaient trop occupé à penser à se qu'il les attendait, à espéré réussir cette intrusion... et récupéré le précien élastique du général Nylon... la clef qui leur permettrai de devenir un jour parents. une faible lueur bleuté dansait sur les parois du tunnel... la sortie était proche.

Des soleils miniatures brillaient maintenant au plafond... Et l'air ne sentait plus le renfermé, mais il n'avait plus d'odeur... Drole de sensation! Tout a coup, ils furent assaillis par des vagues de sensation! Des mots et des phrases apparurent en tout sens dans leur esprit:
"vas-y, un dernier crochet!"
"et hop, revers long de ligne!"
"allez, le strike!!!!!"
Nos héros mirent quelques temps a ignorer ces voix avant de continuer a avancer. Enfin, une grande piece s'ouvrit devant eux... Quel étrange spectacle que des sous vetements tenant dans leur pli des especes de batons blanc, et fixant un bout de mur qui bougeait sans cesse!

"ALERRRTTTTTTEEEEEUUUHHHH!", hurla mentalement le prisonnier. ....aucune réaction.... "mais euh, bougez, on est attaqué!"
Un jupon rose-bonbon se retourna et dit négligement: "tais-toi, on joue a la wii!"

profitant de la distraction des sous-vetements, Cerby ne jeta sur le tas de vénusien, les empoignant par poignée dans son énorme main, les étirant, les froissants, les prenant à deux main pour déchiré leur tissus à pleines dent... Iarnvida ne tarda pas non plus à le suivre, un sourire cruel se dessinant sur ses lèvres. Hurlant, donnant l'alerte, les pagnes, culottes, et corset s'affolé, dépassés par les évenement. Le prisonnier, toujours ligotté au dos de la béonide, se contentait de se plaindre de n'etre jamais écouter, et regarder impuissant ses compères se faire massacré. Dans sa frénésie, cerby d'un grand mouvement de bras fit tombé sur le sol l'immence boite qui illuminait la pièce et qu'avait l'air de vénéré les vénussiens. dans un fracas et un éclair de lumière, l'objet implosa, et devant ce spectacle, les rescapé furent outrés. " mais quel con ! il a bousillé la télé !!! " cria un petit pagne avant de se jeter sur Cerby. En rage, les autres vénusien se jetèrent tous ensemble sur les deux intrus, rendant leurs mouvement difficiles.

" ça devait etre une idole que tu vien de détruire ! " cria Iarnvida, arrachant de ses vétement les vénusien qui s'agripait.
" Kapoué !!! " cria Cerby en se libérant des assaillants, les piettinants en sautant sur place, et perdant patience : " Où est- ce satané général Nylon ?!!!!! "

"Dtc petit morveux!"

Un étrange morceau de tissu flottait maintenant a l'extremité de la salle. Malgré son apparence pour le moin ridicule (comme ce rp ^^), il rayonnait de charisme. Soutenir son regard (parceque il a des petits bonshommes dessinné partout sur lui, donc plein de nyeux!) était impossible! (ben oui, comme il a plus d'yeux que toi, le regarder dans les yeux, c'est pas trop possible!).
Ce n'était pas un pagne, mais ca fonction devait etre similaire. Il semblait bien trop fin pour tenir chaud, et l'imaginer etre porter par une créature semblait risible.

"Frere Vénusiens, cessez donc de vous battre comme des chiffon...niers! Euh, excusez mon humour... Allez chercher vos laser top ultra de la mort qui tue tout! Niveau d'alerte vert-jaunatre-qui-tire-sur-l'indigot! Hop hophop, on se bouge les couture!"

un ridicule petit bout de tissus bleu ricana avant de donné l'alerte pour de bon. En quelques secondes à peine, le chaos de la panique des vénusiens avait laisser place à un bataillon organisé et armé, trônant devant celui qui avait l'air d'etre leur chef.
C'était un spectacle plus que déroutant pour les deux béonides : en face d'eux, se trouvait maintenant des rangées de bout de tissus équipés par des armes multicolores... dont l'utilité restait bien mystérieuse.

Contrairement à Cerby pour qui de petits "gadjets" ne pouvait rivalisé avec sa force de frappe, Iarnvida resta suspicieuse et apréhendait la suite des évênements.

" vous cherchiez le général Nylon n'est-ce pas... vous l'avez trouvé." déclara posément la caricature de pagne au fond de la salle. " Néanmoins, j'ai le regret de vous annoncer que votre quête se termine ici."

Le bout de tissus en chef flotta un peu plus haut et leva une extrémité de sa couture pour faire un signe à son armée.
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Présentant ce qui allait se passer, Cerby murmura a sa compagne:

"tien moi la main cherie... et tien toi prete!"

il ferma les yeux, et attendit.
L'attente ne fut pas bien longue, tres vite, le mot
fatidique retentit:
"FEU!" (on se demande pourquoi on dit feu pour des lasers, alors qu'il n'y a pas la plus petite eticelle... Mais laissons la ces considerations futiles)

Dans une gerbe d'etincelle (oui, j'ai di qu'il y avai pas d'étincelles, mais la c'est pas pareil, c'est pour epater avec les effets speciaux), nos deux héros moururent, main dans la main. Leur depouilles immobiles ne refletaient plus leur vigueur. Ils n'étaient plus que deux tas de chaire fumante et carbonisée.

FIN...
Euh... on me souffle a l'oreillette que non en fait. Ah
oui, j'oubliai.

Alors que les vénusiens s'approcherent des defunts béonides, une joyeuse phrase retentie: "ouh! J'ai respouner!" (avec ou sans culotte, c'est toujours là la question). Iarnvida se dressait fierement derriere les lignes venusiennes, son mari se tenant a coté d'elle. (Alors la, prenez conscience de tout le super suspens qu'on a mi en oeuvre, j'entend votre coeur battre a tout rompre d'ici!)

"mais qu'elle est cette sorcellerie ?!!" s'étrangla le général pris de surprise et de panique.

Iarnvida, un sourire éclatant aux lèvres, empoigna le leader des vénussiens :

" il ne s'agit ni plus ni moins d'une ruse de mon époux, expliqua-t-elle en posant un baiser sur la joue de ce dernier. Il est prévoyant, il fera un excellent père !"

elle serra le tissus au dessus de sa tete, menaçant les soldats de déchirer leur chef au moindre mouvement.

" c'est une chance qu'on se soit distribué la caisse ces derniers jours... remarqua Cerby. j'ai vraiment bien fait de faire le pleins de parchos... en particulier ceux de résurection controlée !"

Quel retournement de situation ! même les auteurs ne s'y attendaient pas ( ou presque... ) le moment était plus que critique pour les vénussiens...

" baissez vos armes que diable !! " vociféra le tissus des mains de Iarnvida d'une voix tremblante. Tous posèrent sur le sol leurs lasers, avec abattement.

"ouaiiiiis !!! je suis libre !! " cria à l'autre bout de la salle l'ancien prisonnier, qui n'était pas réaparrut avec les deux béonides... " un peu de plus et je me faisait trouer les mailles moi aussi !!! mais quelle joie je suis vivant !! " Tous ses confrères lui lancèrent un regard noir.

Impuissant face a la situation, le général des force d'invasion gigotait, essayant vainement de se liberer. Ses soldats le regardaient (fin sans yeux, mais le regardaient quand meme) d'un air mi-affolé, mi-amusé.
Dans un murmure, Iarnvida souffla: "finalement, les 20 000 PO donné a l'arnaqueuse de sorciere vont peut etre servir...."

se concentrant, elle tendit la paume en avant pour lancer une boule de feu. Malheureusement, le peu d'habitude de la pratique de la magie se fit ressentir. Et une minuscule flameche jaillit des doigts de la béonides. Mais du tissu... ca brule! Niark niark niark!

" Général Nylon, déclara Iarnvida fièrement, en prenant garde de ne pas voir s'éteindre la minuscule flammèche qui brillait fébrilement au bout de ses doigts, vous détenez une chose qui nous interesse au plus haut point... et je crois que vous n'etes pas en position de nous la refuser... "

" Nous, les vénussiens, nous triompherons sur vous, puis nous conquerons le monde d'iksème tout entier !! et ce ne sont pas deux béonides crasseux comme vous qui nous en empècheront ! "
gémissait-il alors que les plis de son tissus lui donnaient un air cruel.

il fit un mouvement leger du bout de sa couture, et ses sujets réagirent aussi sec : tout alla alors très vite...

les éléments les plus rapides de l'armée rammassèrent leurs lasers et les pointèrent sur Cerby. Iarnvida eut juste le temps de tendre le bras vers les vénussiens...

Le premier a avoir atteind son arme fut vite touché par le feu. Dans sa panique, il bouscula ses camarades qui devinrent à leur tour des torches mouvantes.
tres vite, se fut la debandade. La fumée empechait les reste de l'armée encore intact de viser nos deux héros. Bientot, ils coururent tous vers leur engin spaciaux a mega fusée retro-active de la mort qui tue... oubliant que ceux-ci etant eux meme fait en tissu bruleraient tout pareil au autres fiottes...

Hurlant la victoire, Cerby dansait au milieu des tas de sous-vetement carboniser, urinant meme sur un afin de prolonger son agonie en ralentissant le feu!

Quel spectacle c'était! Le carburant commencant a explosé en tout sens, les lumieres s'éteignant sous la challeure...

Voyant les poils de leur fesses roussir, les béonides coururent alors vers la sortie, le général sous le bras.

le couloir si sombre qu'ils avaient empreinté en venant était dorénavant illuminé par le magnifique feu d'artifice vénussien qu'ils laissaient derrière eux.
pendant leurs courses, Iarnvida souriait.

" qu'est-ce qu'il y a ? " lui demanda son époux, balançant d'avant en arrière le général écrasé dans sa main puissante.
" ça sent bon le barbeuk ! "

la sortie se rapprochait, bientot la lumière du soleil iksèmien reprenait le dessus sur les lumières rougissante du brasier envihissant l'ancien repère vénussien.

Le retour jusqu'a la montagne se passa sans encombre, et leur parut bien calme comparé a leurs dernieres aventures. Apres quelques temps, le Venusiens captif s'était calmé, et c'est en silence qu'ils arriverent chez Tagazok.
Celui-ci était affairé a réparer sa porte, et une lueur de crainte envahi ses yeux lorsqu'il apercut le couple de Béonides.

"Salut Taga! Nan, t'inquiete, on te pourrira pas cette fois... Du moins si tu prepare ce qu'on a besoin. On a le général Nylon avec nous !", fit Cerby en montrant le sous-vetement qu'il tenait, "A toi de jouer!"

le vieil alchimiste, les yeux agards, regardait de haut en bas ses deux visiteurs... son regard s'arrete sur le tissus boudant dans la main du béonide.
" nom d'un pommier pourri !! vous avez vraiment été chercher le bestiot ! eh ben... je suis bleuffé !!"
il arracha le général Nylon des mains de cerby et comme un enfant venant d'obtenir un jouet désiré depuis des mois, il commença à l'osculter sous toute les coutures, oubliant complétement Iarnvida et son époux.

Prenant des notes sur un calepin, une expression tendue sur le visage, il semblait ne plus etre conscient du monde l'entourant.
Un tape sur l'arriere de la tete le ramena a la réalité.
"Bon, tu le fait cet antidote?"
"Mais enfin! On peut pas abimer un si beau specimen, on peut revolutionner le monde!"
"Moi je veux revolutionner ma famille... Alors au boulot, ou tu sera plus la pour voir aucune revolution!"
"Bon bon, poussez pas, je vais le faire. Laisser moi travailler une petite heure, et ca sera pret!"

******

Cerby poussait la porte de sa grotte... ses traits fatigués trahissait une journée remplie de combats...
" chérie ? 'suis rentré !! "
il posa sur le sol les maigres cuissots humains qu'il avait ramené, maudissant tout bas l'alliance avec les centaures qui l'obligé à se priver de son met préféré.

Iarnvida, jaissant dans la pièce lui sauta au cou. Elle l'embrassa lougoureusement avant de le laisser parler :
" eh bien, qu'est-ce que tu as encore fait comme bêtise pour me faire un accueil si charmant ? "
Iarnvida ignora cette remarque et les yeux mouillés de larmes de joie :
" Mon amour... ça y est... On va enfin avoir un bébé ! "


FIN...... ou pas !
_________________
fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.

[Iarnvida]

Présentant ce qui allait se passer, Cerby murmura a sa compagne:

"tien moi la main cherie... et tien toi prete!"

il ferma les yeux, et attendit.
L'attente ne fut pas bien longue, tres vite, le mot
fatidique retentit:
"FEU!" (on se demande pourquoi on dit feu pour des lasers, alors qu'il n'y a pas la plus petite eticelle... Mais laissons la ces considerations futiles)

Dans une gerbe d'etincelle (oui, j'ai di qu'il y avai pas d'étincelles, mais la c'est pas pareil, c'est pour epater avec les effets speciaux), nos deux héros moururent, main dans la main. Leur depouilles immobiles ne refletaient plus leur vigueur. Ils n'étaient plus que deux tas de chaire fumante et carbonisée.

FIN...
Euh... on me souffle a l'oreillette que non en fait. Ah
oui, j'oubliai.

Alors que les vénusiens s'approcherent des defunts béonides, une joyeuse phrase retentie: "ouh! J'ai respouner!" (avec ou sans culotte, c'est toujours là la question). Iarnvida se dressait fierement derriere les lignes venusiennes, son mari se tenant a coté d'elle. (Alors la, prenez conscience de tout le super suspens qu'on a mi en oeuvre, j'entend votre coeur battre a tout rompre d'ici!)

"mais qu'elle est cette sorcellerie ?!!" s'étrangla le général pris de surprise et de panique.

Iarnvida, un sourire éclatant aux lèvres, empoigna le leader des vénussiens :

" il ne s'agit ni plus ni moins d'une ruse de mon époux, expliqua-t-elle en posant un baiser sur la joue de ce dernier. Il est prévoyant, il fera un excellent père !"

elle serra le tissus au dessus de sa tete, menaçant les soldats de déchirer leur chef au moindre mouvement.

" c'est une chance qu'on se soit distribué la caisse ces derniers jours... remarqua Cerby. j'ai vraiment bien fait de faire le pleins de parchos... en particulier ceux de résurection controlée !"

Quel retournement de situation ! même les auteurs ne s'y attendaient pas ( ou presque... ) le moment était plus que critique pour les vénussiens...

" baissez vos armes que diable !! " vociféra le tissus des mains de Iarnvida d'une voix tremblante. Tous posèrent sur le sol leurs lasers, avec abattement.

"ouaiiiiis !!! je suis libre !! " cria à l'autre bout de la salle l'ancien prisonnier, qui n'était pas réaparrut avec les deux béonides... " un peu de plus et je me faisait trouer les mailles moi aussi !!! mais quelle joie je suis vivant !! " Tous ses confrères lui lancèrent un regard noir.

Impuissant face a la situation, le général des force d'invasion gigotait, essayant vainement de se liberer. Ses soldats le regardaient (fin sans yeux, mais le regardaient quand meme) d'un air mi-affolé, mi-amusé.
Dans un murmure, Iarnvida souffla: "finalement, les 20 000 PO donné a l'arnaqueuse de sorciere vont peut etre servir...."

se concentrant, elle tendit la paume en avant pour lancer une boule de feu. Malheureusement, le peu d'habitude de la pratique de la magie se fit ressentir. Et une minuscule flameche jaillit des doigts de la béonides. Mais du tissu... ca brule! Niark niark niark!

" Général Nylon, déclara Iarnvida fièrement, en prenant garde de ne pas voir s'éteindre la minuscule flammèche qui brillait fébrilement au bout de ses doigts, vous détenez une chose qui nous interesse au plus haut point... et je crois que vous n'etes pas en position de nous la refuser... "

" Nous, les vénussiens, nous triompherons sur vous, puis nous conquerons le monde d'iksème tout entier !! et ce ne sont pas deux béonides crasseux comme vous qui nous en empècheront ! "
gémissait-il alors que les plis de son tissus lui donnaient un air cruel.

il fit un mouvement leger du bout de sa couture, et ses sujets réagirent aussi sec : tout alla alors très vite...

les éléments les plus rapides de l'armée rammassèrent leurs lasers et les pointèrent sur Cerby. Iarnvida eut juste le temps de tendre le bras vers les vénussiens...

Le premier a avoir atteind son arme fut vite touché par le feu. Dans sa panique, il bouscula ses camarades qui devinrent à leur tour des torches mouvantes.
tres vite, se fut la debandade. La fumée empechait les reste de l'armée encore intact de viser nos deux héros. Bientot, ils coururent tous vers leur engin spaciaux a mega fusée retro-active de la mort qui tue... oubliant que ceux-ci etant eux meme fait en tissu bruleraient tout pareil au autres fiottes...

Hurlant la victoire, Cerby dansait au milieu des tas de sous-vetement carboniser, urinant meme sur un afin de prolonger son agonie en ralentissant le feu!

Quel spectacle c'était! Le carburant commencant a explosé en tout sens, les lumieres s'éteignant sous la challeure...

Voyant les poils de leur fesses roussir, les béonides coururent alors vers la sortie, le général sous le bras.

le couloir si sombre qu'ils avaient empreinté en venant était dorénavant illuminé par le magnifique feu d'artifice vénussien qu'ils laissaient derrière eux.
pendant leurs courses, Iarnvida souriait.

" qu'est-ce qu'il y a ? " lui demanda son époux, balançant d'avant en arrière le général écrasé dans sa main puissante.
" ça sent bon le barbeuk ! "

la sortie se rapprochait, bientot la lumière du soleil iksèmien reprenait le dessus sur les lumières rougissante du brasier envihissant l'ancien repère vénussien.

Le retour jusqu'a la montagne se passa sans encombre, et leur parut bien calme comparé a leurs dernieres aventures. Apres quelques temps, le Venusiens captif s'était calmé, et c'est en silence qu'ils arriverent chez Tagazok.
Celui-ci était affairé a réparer sa porte, et une lueur de crainte envahi ses yeux lorsqu'il apercut le couple de Béonides.

"Salut Taga! Nan, t'inquiete, on te pourrira pas cette fois... Du moins si tu prepare ce qu'on a besoin. On a le général Nylon avec nous !", fit Cerby en montrant le sous-vetement qu'il tenait, "A toi de jouer!"

le vieil alchimiste, les yeux agards, regardait de haut en bas ses deux visiteurs... son regard s'arrete sur le tissus boudant dans la main du béonide.
" nom d'un pommier pourri !! vous avez vraiment été chercher le bestiot ! eh ben... je suis bleuffé !!"
il arracha le général Nylon des mains de cerby et comme un enfant venant d'obtenir un jouet désiré depuis des mois, il commença à l'osculter sous toute les coutures, oubliant complétement Iarnvida et son époux.

Prenant des notes sur un calepin, une expression tendue sur le visage, il semblait ne plus etre conscient du monde l'entourant.
Un tape sur l'arriere de la tete le ramena a la réalité.
"Bon, tu le fait cet antidote?"
"Mais enfin! On peut pas abimer un si beau specimen, on peut revolutionner le monde!"
"Moi je veux revolutionner ma famille... Alors au boulot, ou tu sera plus la pour voir aucune revolution!"
"Bon bon, poussez pas, je vais le faire. Laisser moi travailler une petite heure, et ca sera pret!"

******

Cerby poussait la porte de sa grotte... ses traits fatigués trahissait une journée remplie de combats...
" chérie ? 'suis rentré !! "
il posa sur le sol les maigres cuissots humains qu'il avait ramené, maudissant tout bas l'alliance avec les centaures qui l'obligé à se priver de son met préféré.

Iarnvida, jaissant dans la pièce lui sauta au cou. Elle l'embrassa lougoureusement avant de le laisser parler :
" eh bien, qu'est-ce que tu as encore fait comme bêtise pour me faire un accueil si charmant ? "
Iarnvida ignora cette remarque et les yeux mouillés de larmes de joie :
" Mon amour... ça y est... On va enfin avoir un bébé ! "


FIN...... ou pas !
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fidèle à mes maîtres Gârÿth et Dëñèthör..
Protectrice de la caisse Diplodocus.
Tavernière de la Montagne.